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 Ethan De Luca [100%]

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Ethan De Luca [100%] Empty
MessageSujet: Ethan De Luca [100%]   Ethan De Luca [100%] EmptySam 31 Déc - 18:18

Carte d'identité

Nom : De Luca.
Prénom : Ethan.
Âge : 26 ans.
Sexe : Masculin.
Groupe : Criminel. Connu des services de police sous le nom de " Feu Follet ".
Rang : //




Portrait Robot & Psychologie

Description Physique

Base de donnée de la maison d'arrêt de Rome.

« ▬ Faîtes entrer le prisonnier ! »

C'est donc dans un grincement de porte que le prisonnier immatriculé #169C3B entra dans la salle. Une salle reconnaissable entre toute, une salle qu'il avait vu tant de fois, et toujours fréquemment. Facilement toutes les deux semaines, le jeune homme était amené dans le commissariat pour un interrogatoire, et à passer plus de vingt-quatre bonnes heures dans une cellule complètement décrépite. C'était toujours le même quotidien, même rengaine, il en était plus qu'assez de vivre pareil routine, mais pour le jeune Ethan c'était normal, et puis il s'amusait toujours à embêter le Commissaire. Mais revenons-en à l'entrée en scène de Feu Follet. C'est d'un pas lent, habitué et sûr qu'il foula le sol de la pièce exiguë et toute en longueur, s'arrêtant au milieu de la pièce, l'épaule presque collée contre le mur, mur qui avait pour décoration : les lignes de taille, n'oublions pas qu'il est dans une pièce où on prend régulièrement des photos des criminels arrêtés. Je me suis encore égaré ? Ah là là... que de vieille manie ! Reprenons !

C'est derrière une vitre blindée que nous avons pu voir, le tueur en série prendre sa pose tranquillement, une allure complètement décontractée face à celle des autres prisonniers qui arrivent ici. L'habitude ? C'est une certitude. Complètement détendu et relâché dans une atmosphère sensée être oppressante, mais non, ce jeune homme est simplement relâché : main droite sur la hanche, tête penchée sur le côté gauche, jambe gauche à moitié pliée, le caractériel typique du jeune "m'enfoutisme". Et pourtant, ce n'est pas vraiment ça qui le détache des autres criminels, enfin si, mais non, enfin... c'est compliqué, chaque criminel à sa part d'originalité. Lui, c'est sa façon d'être et surtout le style qu'il a. Toujours habillé d'un pantalon bleu ciel, parfois déchiré, parfois usé, parfois nickel, parfois recouvert de rouge, c'est bien un pantalon qui a subit à peu près tous les assauts démesurés du psychopathe. Enfin bref, c'est un pantalon qui est souvent jeté ou rapiécé, après tout son propriétaire n'est pas riche ou encore dans la classe moyenne, il se doit donc d'en faire son devoir, oui un devoir important de recoudre ce pantalon qui doit tenir le temps de recevoir sa prime ou sa paye lorsqu'il tue pour quelqu'un. Voilà toute l'histoire de ce pauvre pantalon à plusieurs vies ! C'est limite un matou ! Comment nous le savons ? Il nous l'a simplement dit lorsqu'on l'interrogeait sur le cadavre d'une fille, il a vite déballé la vie entière de son jeans bleu ciel.... Le monde est étrange, non ?

Par la suite, si on descend un peu plus on remarque une paire de chaussure.... Tient ?! Ce n'est pas les mêmes que les autres fois ! Étrange !? Pas spécialement, il arrive toujours au commissariat avec de nouvelles chaussures aux pieds. Si on y réfléchit bien... il n'a que trois paires de chaussures ! Récapitulons ! Il a en ce moment même des vans, de couleur noire, avec la languette sur le côté blanche ou plutôt d'un bleu cyan assez claire.... En faite, non. L'une a la languette blanche et l'autre bleu cyan, la semelle juste en-dessous de la languette est de la même couleur, quel emmerdeur finit celui-là pour des chaussures ! Le seul truc qui correspond et qui est identique c'est le reste... tissus noir, graffitis de la police d'écriture assez baroque en bleu cyan, style de la personnalisation de ces chaussures de malheur poussée à l'extrême. Les lacets... on laisse tomber, il y a quatre couleurs différentes ! Bleu, blanc, noir et rouge ! On laisse tomber ! Une chose est sûr, il ce sont ses chaussures favorites. Après il y a bien entendu les rangers noirs militaire qu'il adopte pour son "délire inhumain", il ne faut pas chercher bien loin, la dernière paire de chaussures qu'il adore sont des converses, là aussi elles sont simplement bleu foncé avec des graffitis, il n'a pour une fois pas abusé. Il n'est pas "gravure de mode", mais ça fait très peur... et pas qu'un peu, surtout quand on sait ce qu'il a fait avec ses chaussures juste avant de venir. Imaginez juste le plaisir d'écraser la boite crânienne des victimes avec chacune de ces paires de chaussures.... Brrr....

Remontons rapidement vers son torse, oui rapidement car le rire sadique d'Ethan m'a fait littéralement sursauter, même derrière une vitre blindée il a réussit à m'effrayer. J'ai plus que peur, j'ai la trouille ! Enfin bref, je m'égare à nouveau... pas ma faute aussi, son rire m'a foutu des frissons partout. Son haut, son torse, oui. En ce moment même, il est affublé d'un t-shirt banal d'un violet profond, à l'habitude il porte toujours un t-shirt noir assez sombre, son goût son style surtout. Car, un t-shirt sombre pour lui est juste là pour montrer le côté hargneux de la bête. Je me souviens encore de son sourire et de son corps entièrement tâché de sang, surtout le haut... on avait l'horrible impression qu'il avait dévoré la victime et il niait toute évidence, même si les preuves sont irréfutables, on ne peut le condamner sans un aveu, ce fut la pire des journées pour moi, surtout que j'ai l'impression que c'est le même t-shirt qu'il porte ! Oh ! Sainte Maria ! Enlevez moi cette image de mes yeuuuux ! Je divague.... Revenons-en à ce monstre. Il aime aussi porter des pulls qui descendent de ses épaules les dévoilant, il est un tantinet provocateur sur les bords. Il aime aussi sa veste, ou gilet je ne sait plus qui est d'un rouge flamboyant et dérangeant, c'est presque perturbant, comme son porteur qui l'est tout au tant, ça fait très peur, ça vous empêche de dormir et j'en sais quelque chose, ma femme en est témoin.

Euh... par la suite, il met beaucoup de longs colliers qui servent strictement à rien, comme des bagues, piercings à ses oreilles. Beaucoup de chose dans ce genre là. Mais que voulons-nous et encore une fois, ça lui donne un côté sadique... et je ne mens pas ! Attendez ! Regardez-le avec sa pose et tous vêtements ! Il faut bien un corps pour entrer là-dedans, non ? Un corps plutôt mince et svelte, je dirais un tantinet musclé et élancé. De taille d'environ un mètre soixante dix-huit pour facilement une masse graisseuse de quatre-vingt cinq kilogramme. Il n'est pas trop maigre, du moins vu sa corpulence sans savoir les chiffres il a l'air bien portant, mais derrière à une silhouette fine et gracile, se cache une force dangereuse et malicieuse, il est tout simplement assez fort pour porter son arme, démembrer ses victimes et bien entendu faire du mal, toujours du mal aux autres. Sa peau blafarde et très peu bronzé renforce cette impression de faiblesse dangereuse chez lui, surtout que cette pointe de clarté est de suite assombrit par sa courte chevelure d'un noir d'encre qui possèdent certains reflets violet. Une courte chevelure totalement ébouriffée et une frange irrégulière venant toujours caché ses yeux. Une chevelure qui change souvent de couleur de cheveux, mais reste toujours proche du noir, allant parfois jusqu'au vert sombre, vert délavé, mais ça c'est souvent un délire qu'il a, "Feu Follet" possède souvent des flammes noirs et vertes, il ne faut donc pas chercher plus loin.... Oh Sainte mère de Dieu, ses yeux... toujours d'un bleu profond et démoniaque, un bleu qui se change rapidement en rouge à cause de son atout préféré. Son masque à gaz tout simplement horrible, un masque qu'il met tout le temps pour tuer ou sortir. A part ça il adore mettre des lentilles de contact de couleur variées, comment je le sais ? Parce que à chaque interrogatoire il se ramène avec des pupilles de différentes couleurs, ça en devient effrayant. Ça fait vraiment peur, trop même, je ne peut plus voir ce sourire sur ses lèvres, un sourire toujours en coin qui est soit sadique, soit taquin ou joueur, c'est plus qu'insupportable. Faites le sortir nom d'un chien ! Je ne peux plus le voir ! Je perd la raison ! Si vous voulez tant savoir à quoi il ressemble, après avoir lu mon rapport sur le prisonnier Ethan De Luca. Allez le voir ! Je peux plus écrire quelque chose sur lui, c'est insoutenable !



Description mentale

Compte-rendu de l'interrogatoire.

« ▬ Bien nous allons faire simple, monsieur De Luca, avouez-nous tous ! »

Avouer quoi, monsieur le commisaire ? Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.

« ▬ Ne faites pas l'innocent ! Nous savons que c'est vous qui avez tué toutes ces personnes ! »

Ah bon !? Je ne le savais pas !

Voilà comment débuta l'interrogatoire, une question sérieuse, une réponse sarcastique et blagueuse, voilà ce qui résumait le portrait de cet homme assez étrange, il était d'une logique impossible, devenant lui-même l'illogique dans ce monde ordonné. Il faut bien le rappeler, qui est simplement logique dans cette pièce ? Le commissaire ? Lui-même va finir par avoir mal au crâne en pensant que le jeune homme en face de lui est un crétin doublé d'un attardé. Un crétin ? Il l'est ! Ne cherchez pas ! Ethan est quelqu'un de très con, bien que parfois il ne l'est pas. Enfantin et surtout très taquin, il a le profil psychologique du parfait dérangé mental... du moins en apparence.

« ▬ Arrêtez donc de jouer avec nous ! Monsieur De Luca ! Vous rendez vous comptes de ce que vous avez fait !? Vous avez tué des personnes innocentes ! Cessez donc de jouer à l'innocent ! Ça ne prend pas avec nous ! »

Je ne joue pas. J'affirme simplement ne pas avoir tué toutes ses personnes. On m'a aidé crétin de policier ! Tu crois vraiment que j'ai pu faire ça tout seul !? Nyaaaaaah ah Non ! On m'a aidé espèce de flic misanthrope et coincé ! Tu veux des aveux ? Tu vas en avoir ! La première personne que j'ai tué ! T'sais celle qui à la mâchoire en moins ! Un coup de crosse dans la gueule et elle a pas tenu, ensuite j'ai enfoncé le pied dans sa bouche ! La pauvre, elle pleurait tellement, j'ai tourné mon pied pour lui déboîté la mâchoire ! Han ~ Extase de la voir crier sans le pouvoir, ensuite j'ai-----

Sincère ? Sincère ! Et surtout joueur. Il joue toujours sur les mots et adore ça, après tout, la vie est là pour être manipulée et déchirée. C'est ainsi qu'il voit le monde. Comme un immense terrain de jeu, après tout il est décérébré, totalement imprévisible au contraire de son acolyte Joseppe. Son très précieux compagnon de jeu avec qui il prend toujours autant son pied à tuer. C'est à peu près l'inverse, ils sont opposés mais si semblable. Ils sont et seront toujours des malades mentaux. Faire preuve de cruauté envers les femmes est un passe-temps favoris, car oui « môsieur » le tueur au masque n'aime pas les femmes, ça lui rappel sa mère. Il hait les femmes, il les déteste et le montre clairement en les faisant souffrir d'une horrible manière, toujours faire durer le moment crucial ou enfin, on écrase l'insecte d'un coup. Il tutoyait d'un coup, non ? Eh bien oui, il tutoie quand on le cherchait, et surtout pour provoquer les poulets. C'était un peu pour énerver. Sa phrase fut nonobstant coupée pour une beigne du commissaire, sa pommette souffrait énormément, la marque de la chevalière du policier avait laissé une trace et une déchirure musculaire qui le faisait saigner intérieurement, sous la peau. Il ne supportait mal le fait qu'on le frappe ainsi et devant tout le monde, seul Joseppe avait le droit de le frapper d'après lui. Sa mère avait osé il y a bien des années avant, mais elle en avait payé le prix fort. Intérieurement, sa fierté était bafouée lorsqu'il se frappait ainsi devant d'autres hommes ou femmes, il ne supportait pas cette façon d'être, ça le rendait agressif et surtout son manque de respect allait se faire plus grand.

Ça va ? Tranquille je frappe un suspect, p'tit merdeux. Si tu crois que ça va me faire culpabiliser ou encore me faire vociférer des aveux ou encore des pardons, ben je te dis tu t'es mis le doigt bien profond dans le cul ! Flic de mierda ! Tu crois que j'ai peur ? Tss....

Un autre coup, il était sincère, et tenace, jamais il ne plierait devant l'ennemi ou la justice, jamais. Il serait certes sarcastique ou autre, mais jamais il ne se laissera dominer de cette façon, la violence ? Une partie de plaisir ! Un regard glacial envers le commissaire, puis un sourire provoquant, il était ce qu'on pouvait appeler un crétin-heureux.

« ▬ Vraiment ? Regardez donc ça, Ethan... n'est-ce pas des photos de votre mère ? »

OUI VRAI---- .... Où... où avez-vous eu ça ?! Où !??? OUUU !! Je vais tous vous tuer ! Nyaaah ah ! Comme sur la place ! On va tous vous trucider !

« ▬ Ceci n'est qu'une simple photo de votre mère que nous avons trouvé chez vous. Votre état montre bien que vous l'aimiez bien, n'est-ce pas ? »

Son visage se figea, car oui, le sujet sur sa mère est assez compliqué à mettre en place... à mettre sur le tapis. Il n'aime pas sa mère, mais il a une certaine affection, ce fut sa première victime, il en tremble presque en y repensant, il ne supporte pas de devoir se souvenir de tout ça, il n'aime pas du tout qu'on lui en parle, c'est peut être ça, oui ça qui le fit abandonner. Il a baissé la tête, complètement démuni de toute cause.

Ne parlez plus... d'elle, vous ne méritez pas que ces mots sortent de votre bouche suintant la corruption !

« ▬ Co-- COMMENT ! Réfléchissez à vos actes meurtrier ! Vous ferez moins le malin devant le tribunal ! »

J'ai déjà hâte ! Nyaaaaaaah ah ah ah !

Vraiment, ceci doit bien résumer le tempérament de ce jeune Italiens, non ? Après nous pouvons rajouter qu'il n'aime pas spécialement les blonds, pourquoi ? Personne ne sait, pas même lui, c'est trop propre pour lui. Mais ne parlons pas de malheur ou de bonheur. Il est un être psychopathe et qui ne sait pas vraiment ce qu'il veut, mais c'est aussi ça qui laisse le compagnon de jeu de Ethan assez satisfait des massacres qu'ils font ensemble, non ? Après tout il ne sera jamais quelqu'un de normal, mais un pauvre et con de criminel, non ?


Ambitions & Souhaits

Ethan, aurait-il des souhaits ? Des ambitions ? Lui ? Un crétin de première ? Attention à ce que vous pouvez penser de lui à première vu, il a des ambitions, oh que oui et pas des plus petits. Son objectif est d'être reconnu comme le criminel le plus craint de tous ! Un rêve qu'il peut, peut être mettre en place. Ensuite, il espère monter son propre gang pour rivaliser avec la célèbre Blaue Hunde, car pour lui, il trouve que c'est inutile de faire une immense société pareil.... Rien de tel que des mercenaires ou des tueurs à gages.... C'est totalement illogique ! Normal, pour lui, le plaisir dans tout ça est de simplement rivaliser avec eux, le plaisir de jouer au chat et à la souris ! A-t-il un souhait, autre que son objectif ? Oui, son souhait est bien différent du reste. Beaucoup plus modeste et simple. Trouver quelqu'un qui puisse le comprendre et ne pas s'enfuir devant son mental complètement dérangé. C'est si peu exigeant comparé au reste, il ne souhaite que ça en fin de compte, vouloir rencontrer quelqu'un qui le comprendra, mais c'est pas gagné.




Préférences & Relations

Quelques précisions

Orientation sexuelle : Homosexuel.
Loisirs : Tuer encore et tout le temps ! Jouer de la guitare et parfois chantonner des paroles. Bidouiller son arme de prédilection. Flâner dans les rues. Pioncer dans un coin. Fumer. Boire. A peu près tout ce genre de chose.
Objet fétiche : Attention, objet fétiche ? Bien entendu ! Son arme ! Son fusil de Sniper ! .... Je laisse la place à Ethan pour expliquer, son arme de prédilection....

- Hey ! Mon objet fétiche est un Snaiperskaya Vintovka Dragunova ou "Fusil de précision Dragunov", ou plus simplement un SVD de l'armée russe ! J'aime ce fusil qui est plus une arme de soutien qu'un fusil de sniper. En faite ! Le Dragunov bien qu'il soit un fusil de précision n'a pas été conçu dans cet objectif premier ! Il doit normalement servir pour le soutient, et pourtant, cette arme peut tirer jusqu'à une distance de 800 mètres. Oh !! J'oublie ! C'est une arme qui peut avoir une baïonnette au bout du canon, ce qui est assez rare sur des armes à distance en Europe ! Ça permet déjà de se défendre au corps à corps ! Je sais très bien me servir de cette arme, ça va faire des années que je l'utilise. Un inconvénient avec cet objet fétiche ? Hm... le fait qu'il ne possède qu'un chargeur de dix cartouches, avec trente coups par minutes ? Oh ! Cette bête à une jolie couleur ! Noir avec des rayures pourpre, ce qui le différencie des autres. Sur la cross, il y a un autocollant désignant le cycle biohazard.

Il est aussi raide dingue de son masque à gaz, mais ça c'est une tout autre histoire....
Autre : Autre chose à préciser ? Hm... le fait qu'il aime le poisson comme les chats ? Et qu'il va limite se prendre pour un matou parfois ? Sinon rien ~


Situation Relationnelle

Hm, Ethan n'est pas très connu, il évite pour l'instant de l'être, ou tout simplement il est trop crétin pour faire attention. Après tout, il surtout connu des services de police italienne pour ses meurtres sanglants, il ne le cache pas. Après tout dépend du milieu, dans le trafique d'arme et de drogue, il surtout connu comme le "chien-chien" à Joseppe, ou plutôt son garde du corps à moitié timbré, mais tout cela va être détaillé, ne soyez pas perdu.

  • Joseppe Benzi : Compagnon de jeu dans les meurtres et ami d'enfance. C'est toute une histoire. Chef du duo infernal, il est un peu le commandant, le cerveau, car c'est à se demander si Ethan a un cerveau.... Enfin, bon. Joseppe considère un peu "beaucoup", son coéquipier comme un garde du corps ou un chien-chien à tout faire lors des transactions de drogues ou d'armes. Ami de longue date ils se sont connus très tôt, leur esprit étant encore "saint", c'est à cette période que tout à basculé pour eux-deux, surtout quand on comprend toute l'étendu du cerveau de Joseppe. Compagnon de meurtre, non ? Oui, bien entendu, toujours là pour s'amuser avec Ethan, ça fait d'eux un duo impensable et sadique. Des amis inséparables, autant dans les assassinats que dans le monde.

  • Police Italienne : Des jouets tout à fait intéressant pour notre jeune Feu Follet, très connu parmi leur base de donnée, il n'a plus rien à prouver envers eux. Il fait parti de la célèbre liste noire des commissariats italiens. Beaucoup de policiers ont souffert entre les mains psychopathe du jeune De Luca, ne jamais rentrer dans le jeu tortueux de ce meurtrier était une mise en garde lancé à tous les bleus qui arrivaient dans leur service. Il ne faut surtout pas obligé qu'il est classé comme très dangereux avec son comparse. A force de tuer de manière aléatoire et avec aucune propreté, il a été surnommé "Feu Follet", le feu fou, fou pour ses meurtres et feu pour son arme : un fusil de sniper. Que dire de plus, il est juste très craint en Italie, même la mafia n'ose pas l'abattre pendant les trafics. Reconnu comme étant un fou furieux, il n'a de réputation que son sadisme !

  • Police International : Comparé à son acolyte, Ethan s'est déjà frotté à des groupes de mafieux, tel la Mafia Italienne, mais ça c'était du menu-fretin d'après lui. Il a déjà essayé à plusieurs reprises de faire des attentats à la bom--- non non, pas à la bombe. Il a carrément déjà essayé d'entrer dans le principal secteur de justice militaire pour taper son boxon. Du point de vue de la Police International, il n'est pas très connu dans leur bande de donnée, mais figure tout de même à un niveau effrayant par rapport à certains criminels très recherchés. Il restera un grain de sable très dangereux qu'il faudra surveiller.

  • Blaue Hunde : Grande histoire... ou pas. En faite, c'est assez complexe. Il a juste tenté de foutre le bordel une fois, tout seul, il a essayé de péter le plus de chose possible. Déjà à l'époque de l'attaque pour lui c'était des rivaux, il se devait de bien leur transmettre le message. Message qui... n'a toujours pas trouvé de sens, mais bon, il ne faut pas chercher. Ethan a toujours été un provocateur, le seul souvenir que peu avoir l'organisation serait peut être l'explosion d'un de leur entrepôt ? Et si c'est à refaire, Ethan ne se gênera en aucun cas à retenter l'expérience !

  • Trafiquants d'armes : Hm... hm.... Là, il ne faut pas trop plaisanter. Ethan est plutôt connu des trafiquants d'armes, il est peut être le seul client qui vient de manière trop régulière pour acheter des munitions. Toujours nickel quand il arrive au premier rendez-vous pour un achat et par la suite... il s'en fout à présent de faire bonne impression, quand il arrive, il arrive ensanglanté ou nickel chrome, mais tant qu'il donne de l'argent pour ses emplettes, les trafiquants s'en foutent. Il n'est pas considéré comme un "gros client" non, loin de là, juste comme un acheteur régulier et digne de confiance. Connu de leur service, il achètera toujours, même au prix de se faire arrêter par la police qui aura surement suivi sa trace... ou simplement la vente phénoménal de cartouche 7,62 x 54 Mosin Nagant, c'est que c'est pas donné ces trucs. Donc pour résumer, c'est un bon client pour eux et surtout le "chien-chien" de Joseppe quand il s'agit de négocier avec son acolyte.




Biographie

Passé


Un tapotement de main, un son sourd qui se faisait entendre à intervalle régulier, un pied qui bougeait rapidement dans le vide au rythme d'une pulsation évidente de musique. Des doigts qui laissaient fureter leur empreinte sur les cordes dures de l'instrument, de la guitare. Le flanc de l'instrument était calé sur la cuisse de son possesseur, son autre main occupée à appuyer chaque note, chaque corde pour laisser le son enchanteur se répandre dans toute la minuscule pièce. Une vague de son qui s'en alla d'un coup, après avoir laissé le grincement horriblement de la corde se faire entendre. Un raclement de chaise, une guitare qui chuta violemment des genoux de son joueur, un grognement de dédain, un poing qui s'abattit sur le bureau. Tout cet énervement était dû à la vu d'une photo, une vieille photo : une photo de groupe, de famille, l'homme et sa mère. Les souvenirs resurgirent trop rapidement....

*
**

La vie n'est jamais facile. Le monde est divisé en deux : les puissants et les faibles. C'est du côté des faibles que le marmot sans cervelle est né, dans une famille totalement endettée et sans homme pour payer les innombrables factures. Tiens, ça commence bien, pas de vrai mâle pour s'occuper d'une femme et de son gosse, mais où va le monde ? En enfer ! Voilà ce que mon cerveau me dit de cracher sur la photo. Rien que la vue de cette photo à demi-heureuse me donne l'envie de vomir, de laisser la pourriture de mes paroles acerbes suinter de mes lèvres. Et pourtant, cette enfance perdue était loin d'être un enfer sur Terre, j'avais eu une "mère", une jolie femme qui s'occupait de moi quand elle y pensait, du moins je sais qu'avant mes premiers vrais souvenirs j'ai été élevé dans une joie immense, et avec beaucoup de soin. C'est surement vers cinq ans qu'elle a totalement oublié mon existence, je me souviens avoir hurler longtemps et toujours avec la plus grande force, à vive voix, mais non. MADAME ne voulait point m'adresser un regard ! Et quand, elle le faisait j'avais droit à un quignon de pain, alors qu'elle, oui elle... se mangeait une soupe. Un quignon de pain, une minuscule portion de la baguette qu'elle m'avait donné, c'était presque aussi répugnant qu'égoïste, me laissait crever de faim, pour ça je lui en ais toujours voulu, après tout, elle était biologiquement programmé pour que je la haïsse, non ? Ah ? Biologiquement programmé pour m'aimer ? Vous vous êtes plantés, nah ? Parce que c'est impossible, regardez-là avec sa soupe à fixer le mur d'en face comme si j'étais pas là. C'est comme ça que tout tomba dans un enfer digne de la classe social des faible, surtout en Italie, pays où les puissants imposent leurs lois, avec la corruption et tout ce qui s'en suit. C'est à partir de cinq ans que les souvenirs sont claires et emmerdant !

*
**

Cinq ans, quel âge de mierda, je me souviens des nombreux gargouillements de mon pauvre ventre ! J'étais normal, un pauvre marmot, mais elle avait l'impression d'être seule, oui seule, cette pauvre mère qui avait comme l'impression de vivre dans une solitude étouffante. Une solitude qui vous étrangle, qui vous empêche de respirer, c'était ça, oui ça qu'elle ressentait, une impression de suffoquer, ici, dans cette pièce avec moi, son fils de cinq ans. C'est comme ça, je ne pouvais pas la changer. Pendant des mois elle ne m'a jamais rien donné à part un maudit quignon de pain et encore j'étais heureux de voir ce petit morceau chaque soir. Elle devait avoir des remords en ce qui concernait de me laisser mourir de faim. Surement, probablement, certainement, car à chaque fois elle m'appelait par le nom entier que mon père m'avait donné : Ethanelot. Son compagnon lui manquait et elle espérait surement que je lui offre le sentiment que je le remplace ? Elle pouvait toujours crever ! Du moins... à cette époque je n'avais pas pensé à ça, j'étais trop innocent et j'avais joué le jeu pour recueillir de l'amour, l'amour d'une mère qui ne l'était pas, et qui ne le sera jamais. C'est ainsi que je la vois à présent. Mais à l'époque, elle était pour moi, mon idylle, ma déesse, la seule femme que j'ai jamais vu, la seule mère qui me traitait mal, mais que je prenais pour une marque d'attention. A cinq ans, j'étais si naïf, je voulais toujours attirer son attention sur moi ! Je voulais croiser ses beaux yeux bleus encore et toujours, je voulais plonger dans cet océan de saphir, de topaze, de lapis-lazuli. Prendre entre mes petits doigts ses longues boucles noires aux reflets violet, je voulais toucher cette texture, frotter ses mèches contre ma joue, sourire face à cette douceur innée, être enfin heureux et rire avec elle. Je voulais à cette époque entendre son rire. C'est ainsi que j'ai connu pour la première fois ma mère selon mes envies et mes souhaits égoïstes. A cinq ans, toute ma vie avait tournée autour d'une femme : ma mère.

*
**

C'est vers huit ans, oui huit ans, que j'ai enfin réussis à m'échapper de cet enfer. A l'époque, j'aimais ma mère au point de mourir de faim, malgré que je voulais me nourrir, mais j'étais naïf et très innocent. Mais ce jour-là, oui ce fameux jour, elle n'était pas à la maison, du moins son esprit. Il était ailleurs comme toujours, regard rivé sur la pendule qui ne fonctionnait pas, normal les piles coûtaient extrêmement chère, et elles coûtent toujours aussi chère maintenant. Moi, je furetais dans l'unique pièce de l'appartement, passant devant les fenêtres sans grand plaisir, mais quelque chose avait attiré mon regard, c'était un enfant, ou plutôt un groupe d'enfant qui jouait. Du moins, c'est ce que je pensais, en tout cas le garçon en bas avait l'air de beaucoup s'amuser. C'est peut être dans un excès de stupidité ? De naïveté que j'ai ouvert la porte vitré pour aller sur le petit balcon, escaladant la rambarde pour me laisser tomber, chutant dans la poubelle ou plutôt la benne. Rapidement remit de cette forte émotion, j'étais sorti de là et mettais approché des enfants qui pleuraient autour d'un autre gosse qui riait aux éclats. Le fameux enfant s'était approché de moi et m'avait demandé si je voulais jouer avec lui, en toute naïveté j'avais acquiescé. Puis, se fut le commencement de tout, d'une nouvelle vie. Se gamin se disait s'appeler Joseppe, son canif avait été pour moi une nouveauté, je ne connaissais pas cet objet, mais j'avais du me déshabiller, puis tout chamboula mon esprit, il avait réussit à me faire culpabiliser, réussit à me caresser, à... prendre les rênes de mon destin, de ma vie. Il avait réussit à faire de moi son chien, son animal, sa chose, j'étais devenu son homme à tout faire en quelque sorte, il m'avait pris sous son aile, je ne connaissais rien de lui, mais je lui faisais confiance, il était pour moi un véritable ami, même si lui ne le prenait pas ainsi et s'en foutait. Mais, jamais, non jamais je ne le quitterais car s'était lui qui avait provoqué ma renaissance, oui lui.

*
**

Quinze ans... après sept ans, sept longues années où j'avait appris à connaître Joseppe, je vivais heureux, mais étrangement tout a été détruit, tout par les mains de ma mère, tout oui tout, je me répète mais c'est vrai. Elle a tout déchiré, mon âme ainsi que la sienne, nous sommes condamnés. Nos mains resteront liés chère mère, oui. C'est par une nuit noire, j'avais quinze ans, ma mère était en colère, j'avais encore fugué pour aller voir Joseppe, elle ne supportait pas ce gosse de riche comme le disait bien. Elle me hurlait dessus, je ne l'avais jamais entendu me hurler ainsi depuis des années, c'était même la première fois que je l'entendais me crier dessus, c'était certes impressionnant, oui impressionnant, mais inutile. C'est pas cette soirée sombre qu'elle avait porté la main sur moi, laissant la trace rouge du coup sur ma joue, le regard écarquillé, je l'avais regardé, effrayé. Puis, le noir, un déclic évident. Elle venait de me comparer à mon père, un père que je n'avais jamais connu, c'est ce qui m'énerva, surtout à l'entendre m'appeler Ethanelot. Ma main en poing avait heurté son visage, puis le noir et le rouge. Après avoir reprit mes esprit, je voyais qu'une chose, le sang qui recouvrait mes mains et la tête arraché de ma mère. Un fin sourire naquit et j'avais ri avec éclat. C'est à ce moment que mon état de sadique et de tueur était né, je mettais même réfugié chez Joseppe, le trouvant dans le hall, le sourire aux lèvres et le regard fou, j'étais plus qu'heureux, maintenant j'étais libre et utile et sans aucun remord. Je m'étais littéralement jeté sur Joseppe en lui hurlant que je l'avais tué, que j'étais libre, que j'étais enfin moi-même, j'étais celui que je cherchais. Voilà ce dont je me souviens de cette partie. Surtout en fixant la photo.

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Ces souvenirs avaient fait surface comme le ferait une pensée vive lorsqu'on regarde un objet qui se rapproche d'un passé lointain. C'était tout ça et rien qui avait décidé de mon sort, après cet événement, je ne me souvenais plus de grand chose, à part peut être, l'idée de mon futur acolyte de reprendre les rênes d'une affaire. Je m'en foutais un peu, mais j'étais le chien, le "gentil" soldat de môsieur Joseppe. Donc je l'avais suivit dans toutes ses magouilles, jouant les garde du corps pendant les transactions, d'où mon premier surnom de "Chien Fou" car oui, à chaque fois j'avais soit, tué le client, soit ses hommes, mais je m'en foutais, on ne menaçait pas mon compagnon, non, on ne faisait pas ça ! Par les années, on avait réussit à se faire un nom dans la base de donnée de la police italienne, des tueurs en séries, des trafiquants d'armes, on était enfin inscrit dans la triste célèbre "Black List", cela était un honneur, bien que j'étais pas intéressé par ça. Par le temps, on a plus ou moins décidé de faire profil bas et de partir pour Londres, jolie ville je devais l'admettre. C'est à vingt quatre ans que j'avais osé me frotter à la célèbre organisation de la Blaue Hunde, faisant littéralement l'hécatombe dans un de leur locaux, après tout je voulais les provoquer, cela avait été amusant. Toujours tueur et criminel, on s'était planqué Joseppe et moi dans un vieil appartement, une planque en gros, mais on commettait toujours des crimes, essayant là aussi de remonter la pente pour se faire connaître internationalement. C'est pour ça et seulement ça que de mon côté j'essayais de faire naître mon projet sans que mon acolyte le sache.



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Hm.... Rien d'autre à rajouter, peut être que les laitiers se feront dévaliser presque 24h/24 et 7j/7 ! Ne vous étonnez pas de le voir avec une brique ou bouteille de lait en main, ça a toujours été ainsi depuis longtemps. Après j'ai rien d'autre a rajouté.... Du moins je pense !!! Minou-minou vient là !!! //SBAFF narrateur massacré//



    Derrière l'écran


    Surnom : Biohazard.
    Fréquence de connexion : Hm... lorsque je vois l'envie d'allumer mon pc.
    Découverte du forum : Par partenariat sur Dragonica.
    Niveau de jeux de rôle : Hm... je ne sais pas. Je me classe dans les moyens ou débutants, malgré certains avis.
    Autre : Je veux un chatooooooooooooooooon et une brique de laiiiiiiiiiiiiiiiiiit *°* //MUR//


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MessageSujet: Re: Ethan De Luca [100%]   Ethan De Luca [100%] EmptySam 3 Mar - 13:20

    Up ! Je sais, je sais après 4 bon gros mois, j'ai fini et ça me dégoûte d'avoir un temps fou à finir ! Mais voilà c'est fait ! S'il faut modifier dite le moi !! Ensuite faite pas gaffe aux fautes ~
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MessageSujet: Re: Ethan De Luca [100%]   Ethan De Luca [100%] EmptyVen 9 Mar - 11:15

x) Pas grave pour les quatre mois, le résultat me plait, d'autant plus qu'on a été un peu au point mort pour le moment. xD

Oh, un beau criminel homo.♥ *va tripoter Ethan puisque Joseppe le frappe s'il s'approche de lui* J'aime beaucoup de personnage. x) /sbreum/ Tu es validé, bon jeu~♥
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MessageSujet: Re: Ethan De Luca [100%]   Ethan De Luca [100%] EmptyVen 9 Mar - 12:14

*Shoot Victom* Laisse mon chien-chien tranquille.
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MessageSujet: Re: Ethan De Luca [100%]   Ethan De Luca [100%] Empty

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