Expérience 30040054 : Lavi ~~

Invité

Carte d'identité

Nom : N'en a pas ... ou ne le connais pas (voir histoire)
Prénom : Expérience 30040054 (pour quelques Blaue Hunde il est aussi appelé "Renaissance") puis Lavi
Âge : 15 petites années
Sexe : ♂ ou masculin
Groupe : Red Victom Justice
Rang : Espion ou Missionnaire

Portrait Robot & Psychologie

Description Physique

Les gens te trouvent plutôt mignon, le type d'enfant martyre qui devrait toujours être protégés par les plus forts. Ton visage est tellement angélique qu'on a l'impression que si on te frôle tu risques de te briser en deux. La réalité en est tout autre, depuis ton opération dont tu ne gardas qu'une légère cicatrice qui te parcourait tout le long de tes plantes de pied. Mais, grâce à ça, tu étais devenu bien plus robuste qu'avant, ton agilité n'avait qu'un égal c'était ton incroyable souplesse, un véritable chat. Ton allure plutôt fantomatique te donne toujours un air décaler comme si le monde qui t'entourait n'existais pas, la moitié de ton temps dans la lune tu te tamponnais très souvent aux personnes qui se trouvaient devant toi.

Tes cheveux coupé en dégrader te tomber sur ton visage de poupon, elle était entre la coupe des cheveux cours des garçons et la queue de cheval long des filles, une coupe qui mettait en valeur ta petite bouille. Ils étaient si doux au toucher, sentant d'un doux mélange entre la rose et le lys quand on les respirait. Tu aimais leurs couleurs entre le blond et le marron clair, quand le soleil s'amusait à passer ses rayons dans ta douce chevelure, ils prenaient tout d'un coup des reflets d'un blanc pur qui te donnait un air maladif. Une partie de ta mèche te cacher ton pauvre petit front à cause des barrettes qui ne les tenaient pas. Donc on tombait toujours nez a nez avec tes sourcils plutôt sombres comparé à ta chevelure. Puis sur tes grands yeux, toi qui avait la peau extrêmement pale, tu avais au contraire de grand yeux à l'iris coloré d'un magnifique bleu azur ou océan qui te donnait cet air si seul, si pitoyable que tout le monde te prenait en compassion.

Ton petit nez qui se retrouvait juste au milieu de ton petit visage se sentait peut être un peu seul entre les deux joues légèrement rosées qui l'entourait-. Tes lèvres n'étaient ni trop fines, ni trop épaisses. Elles sont seulement comme devraient être celle d'un jeune garçon de quinze ans qui n'avaient jamais embrassé personne. Quand tu rigolais même si c'était rare, on pouvait voir tes petites dents blanches. Quand tu te moquais de certaines personnes, tu t'amusais à leur tirer ta petite langue tout rouge/rose comme un petit gamin de six ou sept. Un menton fier se dressé. Pour finir si on remontait sur tes petites oreilles, en forme ovale qui comblait ton magnifique physique du haut de tête. Tout en te donnant la possibilité d'avoir une ouïe affûter

Tu ne sais pas pourquoi, mais tu aimes bien porter ce t-shirt traditionnel chinois. Il est plutôt large tout en te serrant au pantalon. Tu portes un pantalon très serré avec une ceinture pour éviter qu'il tombe, elle te permettait aussi de cacher des revolvers et tes pistolets comme ça tu ne resterais jamais sans armes. Tu aimais attacher une manche au départ de ton coude et qui t'allait jusqu'au poignet. Cela cachait quelques bombes puantes qui auraient fait une poussière et une odeur assez nauséabonde pour que tu puisses t'en fuir en cas de problème, tes fines mains avaient développées un sens du toucher un peu comme celui des aveugles, normal on t'avait privé de ta vue pendant un long moment. Ton bas, il était noir, d'un noir lugubre, une couleur qui était complètement le contraire de ton haut, ton pantalon descendait jusqu'aux chevilles, aux genoux, il y avait une sorte de bandage qui te permettait, là aussi de garder des petits kunaïs bien tranchant que tu prenais toujours pour te protèges. En chaussure du port de grosses botes de militaire noires avec des sangles blanches qui te permettaient de te les serrer un peu plus pour sauter ou faire des figures acrobatiques.

Les autres parties de son anatomie sont à découvrir enfin si vous y arrivez à les découvrir

Description mentale

Est-ce un crime d'être diffèrent ? De ne pas avoir eu un père et une mère pour t'apprendre la vie ? Toi, depuis toujours, tu avais tout appris tout seul. Tu es né indépendant du monde, tu devais le rester pour que rien autour de toi ne soit pas détruit. Ton coeur ne devait jamais goûter au fruit défendu qui était l'amour. Alors, seul, tu traçais ta route dans ce que les autres appelaient les ténèbres. Pour toi ce manque de vie dans ton âme, ne te surprenais pas. Pourquoi en aurais tu ? De toutes façons cela t'allait très bien. Toute ta solitude et toutes tes peurs restaient cachés derrière ce masque qu'avec les années tu t'étais forgé.

Un enfant qui sourit malgré tout son passé qui aurait rendu déprimé et poussé jusqu'à la mort toutes les autres personnes qui auraient été dans la même situation. Un sourire toujours présent qui montrait bien ton envie de vivre, mais qui derrière, n'avait laissé place cas un grand vide. Ton âme et ton coeur avait était brisé a jamais. Recoller les morceaux pour que tu retrouves toutes les joies passées prenais du temps. Et encore, est-ce que tu étais réellement heureux dans cet immense endroit qui te privait de ta chère liberté. N'avais-tu eu jusqu'à présent des personnes qui te disaient des belles choses, mais qui finissaient toujours par mourrir, ne laissent que de grande cicatrises dans ton coeur.

Quand on te regardait, on ne voyait qu'un enfant plein de gentillesse, le coeur sur la main, un peu trop naïf au goût de certain. Gentil, aimable et surtout très polie. Une sorte de personne qui tape sur les nerf à force de s'excuse pour un rien. Timide comme personne, tu évite les grands lieux publiques de peur de te ridiculiser et de plus tu détestais le regroupement de plusieurs personnes autours de toi. Le seul mot qui venait à l'esprit des gens qui te croisent est « ange » mais, tu es loin d'être un ange. Il suffit simplement de te mettre en condition de combat.

Dès que la mission t'es donné, tu ne vis plus que pour elle. Aucun sentiment pour l'ennemie. Ton coter angélique disparais. Tu retrouvais le pourquoi tu es née, le carnage. Ne fessent pas réellement dans la dentelle, tu aimais voir le sang de t'es victimes rependus sur le sol. La souillure de ce liquide à la couleur si rouge t'avais déjà tout engloutis et tu n'essayais même pas de te repentirs pour ça. C'est vraiment dans ses moment-là qu'on remarque à quel point ton cote innocent n'es qu'une façade. Tu es bien plus calculateurs et minutieux que la normal peut être à cause d'avoir était aveugle pendant un certain temps, tu avais appris à faire une confiance sans limite à ton instinct. Mais souvent tu ne montrais que cette facette assez sordide que quand tu es seul dans une mission avec peu ou sans témoins.

Quand on te fait travailler en équipe. Tu as tendance a foncer dans le tas pour échapper à la surveillance de ton coéquipier. Pas vraiment le sens de l'équipe. Bien sûr, tu n'es pas cruel et tu ne laisserais pas nourrir, mais tu attendrais le bon moment pour faire ton entré. Quel enfant sadique. Tu fais même souffrir tes camarades des champs. Mais si tu ne le faisais pas toutes ces missions t'ennuierais et tu aurais perdu la seule raison de ta vie. De tes main ne pouvais naître que le chaos alors ne pourquoi pas les mettre au service du bien ? Détruire l'organisation qui t'avais mise au monde ton but ultime. C'est pour ça que tu as un profond respect pour le chef de la Red Victom Justice. Comme un chien, tu seras fidèle à ton nouveau chez toi. Temps qu'elle n'aura de cesse de chercher à détruire Frau Blau et son gang, toi tu seras liée à l'agence.

Pourtant la seule qui serait capable de te parler de ton passé avant le laboratoire pourrait bien être Frau. Alors, ton désir de la tuer n'aurait-il pas une faille ? Les liens qui te tenaient à elles n'étaient que de la haine et peut-être avec un fond d'espoir pour retrouver ton passé..

Ambitions & Souhaits
Qu'est-ce que tu pourrais bien souhaiter à la vie ? Le fait de ne jamais avoir vu le jour ? De ne jamais avoir eu besoins de toucher une arme ? Tes souhaits sont aussi étrange que toi. Il t'étais impossible de revenir en arrière, tu le savais bien. Peut-être, trop bien, les morts ne revient pas à la vie, alors arrête de te faire des illusions et de souhaiter le retrouver, c'est impossible. Il devait être dans une de ses grosses boîtes à homme mis six pieds sous terre. S'il te revenait, ça serait dans tes rêve. Mais bon, tu as promis sur son seuil de mort de devenir le meilleur des tueurs et de détruire tout ce qu'a accomplie Frau. C'est ton but ultime. Le seul qui te permet de vivre. L'ambition de détruire les Blaue Hunde conduit ta vie.

Préférences & Relations

Quelques précisions
Orientation sexuelle : à vrai dire, il cherche encore son orientation sexuel
Loisirs : Tuer, s'entraîner, espionner, passer des heures entières dans les bibliothèques ou bien, jouer aux jeux vidéos
Objet fétiche : Il n'a que ses revolvers et ses barrettes qu'il porte pratiquement tout le temps. Un souvenir de cette personne....
Autre : Autre chose à préciser ? Autre chose à préciser ? Oui, Lavi est traumatisé avec le vide et la peur de chuter d'une grande hauteur. Pour faire simple, il a le vertige qu'il essaye tant bien que mal de cacher.

Situation Relationnelle
Lavi est une personne très discrète, maladroite donc il préfère faire guise de tapisserie quand il est avec du monde. Les rencontres qu'il fait avec les autres sont simplement dûs au fait qu'il soit souvent dans la lune et qu'il se tamponne avec les autres personnes dans les couloirs ou dans la rue, car messieurs ne regardait pas devant lui. Lavi se dit souvent lié à la directrice des Blaue Hunde. Seule personne à sa connaissance qui connaît son passé. À part ça notre jeune homme n'a que de la pitié pour cette agence où il est reconnu pour être une oeuvre ratée ou le spécimen de la réussite ça dépend comme on le voit

Biographie

Passé

Il fut trouvé dans le bureau de Frau Bleue alors âgé de même pas trois semaines. Prise de pitié par ce pauvre petit être sans défense elle le garda jusqu'à ses un ans. Là, elle trouva une meilleure idée pour ce bambin. Elle donna à des chercheurs spécialiser dans la création d'armes en leur ordonnant de faire de lui grâce à des moyens chimiques le meilleur assassin possible. Il fut rapidement emmené dans un des nombreux laboratoires des Blaue Hunde. C'est ainsi que ce jeune garçon coupais du reste du monde et de Berlin allait grandir dans ce lieu sans foi ni amour.

Le commencement

Aujourd'hui, ça faisait cinq ans que la chose appelait toi existe. Tu n'étais rien de plus qu'une chose nommait expérience 30040054. Le pire déchet de l'humanité. Un être dépourvus de bons sens qui avait risqué sa misérable existence d'objet d'expérience pour pouvoirs apercevoir le ciel bleu azure du monde extérieure. Comme toutes ses choses qu'on te décrivait dans les livres, mais que toi, objet rater n'avais jamais pu apercevoir avec tes yeux. Tu étais pourtant le mieux traiter de toutes les personnes pressentes dans ce lieu sordide. Traiter comme un petit prince, toujours bien garder par des hommes robuste qui te suivaient partout comme des petit chiens. Ils te faisaient peur avec leur lunette noire et leurs costume toute aussi sombre. Tu prenais la fuite à chaque fois que tu avais la possibilité de retourner à la bibliothèque lire les bouquins que tu n'avais lus que cinq ou six fois.

Tu avais vite compris qu'ici, tu n'étais rien de plus qu'un instrument qu'on utiliserait tôt ou tard pour les besoins toujours plus pressant de la recherche. Un jour, tu serras comme tous les enfants que tu avais pu côtoyer emmener de pleins grée sous de force dans une salle dont tu n'avais vu que la grande porte qui te séparait de tes camarades. Elle était aussi grande que le plafond et y avait marqué en rouge sang comme des lettres mortes le signe qui ne fallait pas entrer. Alors, simplement pour éviter de te faire enfermer dans le laboratoire des Blaue Hunde, tu avais risqué ta misérable vie pour sortir. Le dehors, un endroit qui t'avais toujours trop fasciné pour quelqu'un qui aurait du gentiment se laissait faire. Tu était telle un oisillon en cage qui ne pouvait pas crocheter son cadenas pour prendre son premier envole, à la merci des chats qui te rodaient au tour telle des rapace pour te croquer à plein dents.

Tu n'avais été utilisait pour la première fois, la veille d'un jour tes spécial pour toi. Tu allais fêter t'es six premières années. Dans le monde des hommes, tu les appelais comme ça, car c'était les gens qui ne vivaient pas ici, dans le laboratoire donc ils étaient obligés d'êtres diffèrent de toi non ? Ben eux, c'est gens là, il appelle le jour de leurs naissances, un anniversaire, mais pour toi c'était ridicule. Ce n'étais rien de plus qu'un jour à passait après tout. Tu ne voyais pas l'importance que ça avais de gagner un an de plus ou de moins, mais tu te forçais à faire comme tous les enfants du labo qui sautaient au plafond à chaque fois qu'on leurs disaient "bon anniversaire".

Tous en passent à cette idée qui n'était rien d'autres que grotesque, tu déambulais dans les couloirs comme si tu cherchais quelque chose, quelque chose de précieux à tes yeux, mais qui pourtant te savais introuvable dans ce lieu. Ton esprit devenait de plus en plus vide comme ton cœur, tu foulais à pied nu le sol glacer du laboratoire, l'air filtrait de sembler d'un seul horriblement poisser, irrespirable. La fatigue pris en même temps tes muscles, il t'étais maintenant difficile d'avancer et de respirer, mais tu continuais prenant appuis contre le mur tu avançais plein nord comme ça si ta vie était en jeu. Tu titubais plusieurs fois, trainant le pied, te les accrochant parfois jusqu'à que ta joue rencontre le sol froid. Ton sang ce figea, tu frissonnais et tes larmes commençais à perler sur ton visage. Pourquoi ? Qu'est-ce qui t'arrivais ? Tu vis, un peu trop près de ton visage des chaussure trop propre à ton goût, une chaussure d'homme. La fin d'une chemise blanche écarlate venais d'aveugler, un chercheurs ? Quelqu'un qui travaillait dans le laboratoire ? Tu te posais comme ça, plein de questions sans vraiment avoir une réponse et sans vraiment chercher à comprendre. La voie d'une femme coupa cour à ces réfections qui ne t'avançaient pas et qui au contraire t'empêcher de te concentrer sur t'es mystérieux interlocuteurs qui n'avaient pas encore bougé le petit doigt pour t'aider à te relever.

« Expérience 30040054 ? Avec ou sans votre accord nous allons vous opérer alor ... »

Tu n'avais compris que la moitié de la phrase, mais tu ressentais comme de la peur, une impression qu'après tout ce que tu avais vécu tu allais tout changer, ta vie, ton passé, ton présent et ton futur. Tu ne suivais plus rien de leurs discutions, tu étais déjà a moitié dans les vapes. Quelqu'un de pris comme un sac à patate avec toute la délicatesse d'un bourreaux et la dernière chose que tes yeux vu sont le carrelage du sol sur lequel tu étais étalé quelque seconde plus tôt qui défilait défiler doucement, à cause de ton étrange porteurs qui avançaient. Malgré tous tes efforts, tu étais vidée de tous tes force, tes yeux se fermèrent peu à peu, tu te laissas gagner par le sommeil

Le Laboratoire

Une atroce douleurs de tira de ta léthargie. Un courant électrique qui te parcourait le corps de long en larges qui de foudroyer à chaque fois que tu essayais de bougeais. Ton dos était tout courbaturé à force d'êtres rester trop longtemps sur cette table en fer. Tes paupières qui était jusqu'à la close s'ouvraient lèchement te laissent apercevoir le plafond blanc. Et ben, tout était blanc ici, même la lumière qui t'empêchait de voir les traites des personnes avec leurs combinaisons qui leurs prenais tout le corps même le haut du crane. Leurs bas du crane aussi était tout caché avec les masques à rhume. Tu cherchas a remonté ta main pour te protèges le visage, malheureusement tes mains étaient tenues par des liens, tu voulus regarder ce qui te tenait ainsi, mais les mêmes liens te tenaient le cou t'étranglant si tu essayais de trop te relever

« Doctor, he woke up »

Des voies ce fessait entendre, mais rien qui te semblaient cohérent ou compréhensible, on aurait dit des cigale qui chantaient en plein été, quelle brouhaha c'était horriblement pour t'es oreilles si sensibles. Tu aperçus pleins de choses ce penché sur toi certainement des visages. Tu refermas les yeux, essayant d'oublier le mal qui te rongeait de l'intérieur. Tes jambes te fessaient atrocement mal, comme si on te tirait les muscles jusqu'à ce qu'ils se brisaient en miette toutes en te les plongeant dans 19O° degrés d'eau bouillent. Cette sensation si désagréable te fit montait les larmes aux yeux et avec une immense envie de hurler à toutes ces personnes qui te faisaient vivre ce martyre. Mais ta voie n'avais pas l'air de vouloir sortir et de se faire entendre.

Tu ne pouvais pas après tout il y avait ce drôle de masque à gaz sur ton visage. Tu était réellement dans une salle d'examen ton tu étais toi-même le sujet de toute leur machinerie, un véritable sujet d'expérience qui n'avait ni le droit de parler et bougeais. Tu avais simplement le droit de te laissais faire.

« Rendormé le ... avant qu'il ne fasse rater toutes l'opération
-On a plus le temps... allait ici et rendormais le , le plus vite possible »

Qu'est-ce qui veulent me faire ? Te demanda tu les dents et les point seraient. Les larmes qui continuaient à couler sur ta petite joue, tu frissonnais. Allons qu'est-ce qui t'arrivait ? Tu ne passais pas réellement que les personnes ici t'aimaient ? Si !. Il fallait vraiment être naïf pour croire qu'on pourrait apprécier un être comme toi.
D'un coup, tes yeux s'élargisse de quelque centimètre. Tu te mis a haleter. Dans t'es jambe quelque chose te pénétrais et rampais le long de ton fémur. Cette violente douleurs fit enfin sortir un cri de douleurs de tes douces lèvres. Tes os, ta chair tout ton êtres te donner l'impression de se faire écraser par un étau. Quelque chose de long entrais en toi ça te faisais un mal horrible. Hurlant comme un fou avec le peu de voie qui te restais. Tes mains avaient fini leur léthargie temporaire et gesticulais dans toutes les sens pour essayer de libérer des sangles qui te maintenaient.

Personne ne prêter attention à ta petite rebellions. Ils continuaient leur travail en t'enfoncent toujours plus loin cette chose dans ton pauvre corps d'expérience, d'autre personne était entré dans la pièce pour te tenir tranquille. Ce n'était plus des larmes qui coulaient sur ton visage c'était un océan. La souffrance, la cruelle souffrance qu'on t'infligeait, à toi, pauvre chose sans importance qui n'avait rien demandé. Tu subissais la souffrance qui t'avait était épargner jusqu'à là. Tu avais envie de supplier le monde pour qu'on arrête. Envie de crier au secours. C'est quelques mots te brûlaient les lèvres. Mais qui ? Qui serait venu de sauver, toi, toi qui ne savais même pas qui tu étais.

« N'ai pas peur »

Tu sens des mains se poser sur t'es joue. Elle étaient toutes chaudes ses mains inconnus. Des cheveux venais te chatouiller le visage. Un front c'était collé contre le tiens, il était tout aussi chaud que les mains. Tu ne le voyais pas vraiment... tu ne vu que ses lèvres plutôt espèce qui te murmurait des mots doux, des mots tendres qui semblait te rassurais. Ton corps avait perdu toute ses force, tu ne sentais même plus la douleur. Seul la voie de cet inconnu te rester en tête. T'es paupière ce fermèrent, tu retournas à ton coma tout en voulant remercier l'étrange personne.

La réalité

Chaud... ses mains étaient si chaude, gloup gloup, encore ce bruit ? Mais qu'est-ce que c'est ? gloup gloup, c'est énervent à force, je veux rester tranquille, gloup gloup, il fait chaud ici aussi, gloup gloup, des voies ?
Tu sortis de ton profond sommeil et ouvris doucement les yeux, toutes les alentours était complètement flou, brouiller. Tu ne savais plus où tu étais, tu n'arrivais pas à te repérer, Déboussoler par la dernière fois, part tes derniers souvenir. D'ailleurs ton corps était encore tout engourdi. Tu regardais les personnes qui t'avaient tiré de ton repos. Encore des gens habiller en blanc, tu n'allais plus pouvoirs les voir, tous ses docteurs, médecins, infirmière. Ils avaient l'air de regarder quelque chose avec attention, mais pour toi qui avais du mal à voir tu n'aperçus pas ce qui obnubilait ses autres personnages,gloup gloup, tu baignais dans une étrange eau, on aurait dit que tu étais dans un aquarium. Tu était complètement émergé dans l'eau et le gloup gloup que tu entendais toutes les deux minutes n'était rien d'autre que le souffle de ta respiration.

Tu refermas les yeux, le sommeille de repris encore une fois....

tu ne sais pas combien de temps tu étais resté là a dormir. Peut-être deux jours, deux mois ou même deux ans. Qui sait ? Une odeur te chatouilla les narines, elle ne t'était pas familière, c'était une odeur de cigarette au parfum de la menthe, une qu'on ne trouvait pas dans le laboratoire. Ce n'était pas désagréable, tu appréciais plus cette odeur que celle des autre cigarette que tu avais pu sentir jusqu'ici. Tu caressas la chose qui te tenait pensant que c'était un coussin, tu fus surpris quand tu te rendis compte que c'était le torse de quelqu'un, d'un homme, tu reculas avant de te relever surpris. Tu ne pensais pas être dans la grande salle, ni dans l'aquarium, où étais-tu ? Impossible pour toi de voir quelque chose, tu avais un bandage sur t'es yeux. Malgré t'es effort pour l'enlever tu n'y était pas arrivé.

« Tiens la belle au bois dormant c'est réveiller ?

Cette voie ? C'était la voie de la dernière fois. Tu sautas presque de peur et de joie quand tu te rendus compte que cette personne était resté près de toi, tu lui posais rapidement certaine question :
Qui es-tu ? où je suis ? Qu'est-ce qu'on m'a fait ? Et combien de temps j'ai dormi ? ...
Attend bonhomme une question à la fois s'il te plait je ne suis pas un robot ! Répond-t-il sur un ton amusait et courtois. Je suis... pour toi, on va dire un ami, tu es dans ma chambre je t'y ai ramené après l'opération et tu as dormi une semaine sans de réveiller ma belle au bois dormant.

Tu l'écoute avec attention, tu t'énerve même pas alors, que cette personne avait l'air de connaître la raison de ton mal êtres passé. Tu caressais le bandage qui te cachait la vu. L'impression d'avoir bien compris ton utilité te fessait mal. Tu avalas plusieurs fois ta salive avant de bafouiller quelque mot dans des dents avant de le regarder, enfin tu mettais ton visage en direction de la voie qui t'avais parlé quelque seconde avant

- A quoi servais mon ... et arête de m'appelais belle au bois dormant !!

Il ne répondu pas, était-il en colère ? Fâché ? Énerver ? Non en plus il restait muet comme une tombe. Toi, tu ne comprenais pas pourquoi il ne voulait pas t'en parler ? Tu étais pourtant le premier concernés. Tu entendus le bruit des pas de quelqu'un qui s'avançait. Tu reculas un peu, tu avais peur de cette personne. Il prit ton visage entre ses mains, elles étaient toutes chaudes, encore une fois le mystérieux te chuchota des mots gentils. Tu fais une petite grimace, une grimace de dégoût. Tu te réfugias dans ses grands bras protecteurs, pleurant à cause de la douleur et de la peur que tu avais eu. Après tout tu n'as que six ans, tu n'es qu'un enfant, normale de pleurer après le traumatise que tu venais d'avoir.

Il te caressa les cheveux gentiment et d'une main aimant tout en chantonnent quelque chose pour calmer ta pauvre âme tourmenter, enfin quelqu'un te montrait de l'affection. Un peu d'amour qui te réchauffait ton pauvre petit coeur glacer. Ton visagene laissait voir aucune de t'es larmes, le bandage les empêcher de couler. Tu te mis à le supplier de t'expliquer, tu ne pouvais pas vivre avec ce secret. Il fallait que tu saches la réalité qui tu étais ? Et pourquoi tu étais ici. De toutes façons un jour du serais forcé de l'apprendre, alors mieux vaut que ce soit le plus tôt possible.

- Tu es ... as été trouvé par la patronne quand tu étais tout petit et tu as été élevé ici pour subir une lourde opération chirurgicale qui consiste à utilisais les nouvelles drogues mise au point pour renforcer des capacités de.... je ne sais plus trop quoi... je ne fais pas partie de se domaine désolé 30040054 !

Tu n'avais strictement rien compris à ce qu'il venait de te dire, mais tu sentis au plus profond de ton êtres que maintenant quelque chose de rongeais de l'intérieur. Tu n'était plus comme tous ses enfants. Non ! tu étais l'enfant qui de ses mains ne pouvaient naitre que la destruction, le néant. Tu te mordis la lèvre inférieure comme pour monter ton mal être à ton interlocuteur qui t'avaient rassuré plusieurs fois maintenant. Tu calmas tes flots de larmes en serrant l'homme étrange qui ne c'était toujours pas présenté. Tu ne passais plus à rien. Tu n'étais plus rien après tout, simplement une arme. Une arme humaine qui ressent et exprimes des émotions, mais ça tu allais sans toute aussi l'oublier avec le temps. L'humanité te tournais le dos, à toi, un êtres sans coeur, un déchet.

Cette idée te sembla supportable tant est si bien qu'il y aurait toujours ce personnage étrange à qui tu ne connaissais ni visage ni caractère. Tu le reconnais à sa voix, grave, forte et sensuelle à la fois, une voie qui semblait tout dire et ne rien dire du tout. Il gardait cette épais brouillard autour de lui qui ne faisait rien de plus que de te fasciner davantage. Cette personne qui te montrait un intérêt tout particulier, te toucher en plein coeur.

- Pourquoi je suis dans ta chambre déjà ?

Il se mit à rire comme un enfant à qui on aurait raconté le plus hilarante des blagues. T'ébouriffant les cheveux dans son délires. Tu ne savais pas ce qui avait de drôle dans ta phrase, mais c'était peut-être le décalage entre le sérieux et le hors-sujet qui le faisait rire. Un grand sourire ce dessina sur ton petit minois. Tu savais bien que maintenant, tu n'était plus qu'une arme qui ne devait servir cas ces pourquoi elle est née, ce pourquoi tu es née. Tes maigres bras seraient un peu plus ton nouvel amie. Lui aussi il te serait. Tu levas ton visage qui souriait légèrement pour le coller contre sa clavicule. Sa main passait dans ta chevelure pendant que tes yeux commencer à se fermer. Tu pouvais dormir, un petit quelque chose dans son coeur de rappeler que tu n'avais rien à craindre tant et si bien qu'il serait là, à te tenir pour te rassurer.

La formation

- fait un effort, tu fais plus de bruit qu'un éléphant.
Toi, tu te taisais
- La prochaine fois je n'exciterais pas ! Il posa sont horriblement magnum 357 qui puait encore la poudre sur ta petite tempe.

Leur contacte te fit frissonnais, ton impuissante face à cet homme qui te tenait au creux de sa main était pitoyable. J'appuie
sur la cachette ... et PAN !. »
Tu baissas la tête de peur, ça le fit bien rire, un rire sadique et froid pendant qu'avec son pied il te poussa à terre. Qu'elle monstre, tu étais aveugle, faible, minable et lui il t'enfonçait encore un peu plus dans la boue. Tu entendis ses bruits de pas ce dirigés faire la sortie. Le grincement de la porte, tu ne le voyais pas, mais tu savais qu'il te regardait, le regard d'un faucon sur sa future proie. Il claqua la porte. Tu te relevas en passant tes petits doigts sur les brûlures que tu ressentais sur ton corps. La plupart se trouvait sur tes joues. Trois égratignure provoquer certainement par les couteux que tu n'avais réussi a éviter tout à l'heure.

Depuis quelques jours maintenant toutes tes journées, tu les passais ici avec ce type. Personne ne t'avais enlevé ce truc qui privait la vu de tes beaux yeux. Tu avais du t'habituais à ta nouvelle façon de vivre. L'ouïe et le toucher était tes seules allié. Un pied en avant pour trainer l'autre toucher par une balle de ce fichu revolver. Rampent contre les murs pour pouvoir sortir de cette salle d'entrainement. Tu pris la poignée entre ta main, tu allais la tourner pour pousser la porte quand quelqu'un le fit plus rapidement à ta place, il tira si fort sur la porte que ça te projeta en avant. Normalement, ta jambe se serait mis en avant, mais pendant l'entrainement tu t''étais pris une balle en plein tibia et la bougé te demander assez d'effort. Tant pis, tu allais t'écraser au sol comme un gland, ce qui ne changera pas trop de l'habitude.
Tu te préparas à rencontre le sol quand un bras de pris par la taille et te rattrapa, un bras qui appartenais à une personne que tu connaissais bien. Il était ton seul et unique amis. Certes plus âgé mais ton ami malgré tout. La seule personne qui ne te prenait pas que pour un sujet expérience.

« Coucou toi et ben tu tiens plus sur t'es jambes ?

Tu fis une sorte de grimace vexer et commença à lui crier dessus comme une mère sur son fils qui aurait fait une grosse bêtise

- Idiot, je me suis pris une balle d'un magnum 375 dans la jambe comment veux-tu que je marche ?

Il souriait après cette phrase. Tu le savais ben. Il aimait te voir en comme ça.

- Allait on va soigner tout ça

Il te prit comme une princesse, c'était à la vois gênant et amusant. Tu ne voyais rien, mais tu sentais les regards des autres sur l'étrange couple que vous étiers. Il te ramena dans une pièce qui était devenue un peu comme refuge aussi en même temps qu'une infirmerie de fortune. Comme toujours il te posa sur le lit. Ta petite tête boudeuse avait était effacé quand tu pris dans tes bras un cousin que tu sera fort contre ton torse. Maintenant que sa chambre était aussi devenue la tienne, tu prenais toujours les boudins et les cousins pour te reposer de tes dures journées.

Ton ami était allé prendre la trousse de secoure. La porte grincé, facile de le reconnaître. Tu seras le coussin toute en te touchant le bandage. Cette étrange chose te privent de lumière. Ton visage tomba sur ton coussin. La vu ne servait à rien quand tu étais dans le noir, mais elle te serait bien utile quand tu es dans cette stupide salle d'entrainement. Les plans qu'on te donnait et les informations sur papier était tous rédigés de manière à ce que tu puisse comprendre soit à l'oral soit au toucher. Mais même avec ça, il n'était pas rare de te voir tout sanglant à la fin de la journée. Les signes spécifiques pour chaque arme avais chaque sensation diffèrent.

Un long soupir ce laissa entendre à demi étouffer à cause du coussin. Tombant comme une masse, détallant de tout ton long sur le matelas. La douleur dans ta jambe était comme des coups d'éclairs, cela t'avais surpris, mais se prendre une balle ne fessait pas si mal que ça. Tu avais imaginé une douleur plus intense, quoi qu'à partir de tes reins tu ne sentais plus ta cuise, ni ce qui avait après. Tu ne bougeais pas, tu ne pouvais pas ça fessait trop mal.

Alors, explique moi comme tu fais pour ne jamais réussir à te repérer ? Même dans un placard je suis sûr que tu pourrais te perdre ! Dit-il en te prenant délicatement ta jambe pour la poser sur une chaise.

- Je suis aveugle !!! ce n'est pas facile de me souvenir de tout... je suis enfant, j'ai que six ans ! Répondu-tu avec violence
- Tu cherches une excuse pour fuir ? Tu te caches derrière ton jeune âge n'est-ce pas ? Demanda-t-il sur un air septique
- Laisse-moi tranquille, c'est dur simplement ... ! tu arrêtas ta phrase, un rictus se créa et d'une voie dur tu révélas la vrainature de cette provocation plutôt puéril. Tu as fini avec cette piqure ?
- Commens-tu ? Mais tu as les yeux fermer ? Avoue que tu es un faux aveugle !
Tu ris de bon coeur cette fois si, l'idée d'être un faux aveugle était assez osé et tu lui répondu entre deux fous rires
- Oui exactement c'est pour m'aider à fuir, je me cache pour ne pas devoir faire des choses plus dur que ce qu'on me demande !
Lui aussi, il s'était mie à rire de bon coeur
- Je le savais ! Sinon c'était pas possible d'être aussi mauvais !

Comme toujours, tu ne savais pas s'il riait ou s'il était sérieux, mais bon c'était une des particularités que tu aimais chez lui. Le fait de ne jamais savoir ce qu'il avait derrière la tête. Tu avais toujours peur de prendre sa phrase trop au sérieux alors que c'était simplement pour rire. Sa faculté de prendre tout à la légère était le parfait signe de l'abrutisse profond. Simplement en l'écoutent tu pourrais comprendre qui ne s'agissait que d'un médiocre chercheurs ou d'un simple assistant. Mais c'était peut-être pour ça que tu l'aimais temps. Il était comme ce grand loup qui surveille le pauvre louveteaux qui s'amusait à défier les autres de la meute. Ou encore comme, comme un super héros. Oui, c'était comme ça que tu l'imaginais, en super héros.

- Repose toi, je tes soigner la blessure, moi je dois repartir au travail !

Tu l'entendis quitter la pièce après t'avoir encore une fois tout décoiffer avec ça grande main. Tout ce qui te restait à faire était de parfaire tes connaissances en matière de défense et de camouflage. Donc tu pris le petit ouvrage qui ne devrait faire que cinq ou six encyclopédies à lui tout seul et commença à lire*.
(* pour lire, il utilise des livres spécial qui sont écrit en lettres en reliefs )

neuf ans après

- Vous l'avez vue ?
- Non chef il est introuvable
- Trouver le, je le veux mort ou vif

Deux soldats s'éloignaient du groupe, tu les entendais au de loin, un grand sourire aux lèvres.

-Il ne va pas être dur à trouver, il est aveugle
- C'est vrai en plus ! Ils rigolèrent de bon coeur, mais plus pour très longtemps
- Êtres aveugle est si drôle que ça ?

Tu sentis que les deux autres ce retournèrent, tu aurais bien aimé voir leur tête ça devrait être hilarant. Mais pas le temps de rire, tu était en mission donc fallait rester concentré juste un peu espèce de flemmard. Elle n'allait pas se faire toute seule et tu n'était pas en vacances. Tu sortis ton revolver.

- Bon, je suis désolé, mais je n'ai pas le temps de jouer. Donc je vais vite mettre fin à ce jeu ennuyeux du chat et de la souris.

Tu tiras sans attendre les misérables paroles des condamnés. C'était toujours les-même paroles, le radotage c'était soulant à la longue. Le sang de tes victimes coula sur tes mains, mais bon, c'était pas vraiment le moment de se dire que ses mains étaient salie par le liquide de ses deux bon à rien. Le bruit des pas autres commencer à ce rapprocher. Trois pas en avant et hop tu soulevas la bouche des égout pour de faufiler à intérieure. Introuvable pour les chercheurs, du moins pour les deux prochaines heures, personne aura l'idée de te chercher ici, du moins pas celui là. Il ne pourrait pas savoir que tu avais appris en cachette tout le nouveau réseau des égouts. Tu connaissais par coeur celui de Berlin certes, mais à cause du déménagement forcer pour partir en Angleterre. Tu avais appris dû tout réapprendre cachette pour avoir un plan de secours. Tant mieux d'ailleurs, il venait de te servir. Tu partis plein ouest, c'était le seul endroit où il aurait pu se cachait.

Il était peut-être plus nombreux, mais tu n'allais pas de rentre bien gentiment ou encore de laissais faire par ses chiens. Tu allais sortir du laboratoire et êtres enfin libre. Stop, un bruit étrange ce rapprocher. Même pas tranquille quand tu essayais de te rappelais pourquoi tu était dans cette situation si désagréable. Tu sentis une odeur bien trop propre qui s'approchait bizarre, parce que le lieu où tu trouvais ne sentait pas réellement la rose. Tu ne faisais plus de bruit, l'écoulement de l'eau et les autres pas couvrais ta respiration. Une seconde et tu sautas sur l'étrange personne, l'éventrant au passage.

- Attention il est là !!

Mince les chercheurs, ils avaient été intelligent pour une fois, te voilà dans une position plutôt désavantageuse. C'était pas la peine de fuir maintenant tu n'auras pas assez d'une vie pour leurs fuir et s'en sortir vivant. La contre-attaque étais la seule chose à faire. Pour essayer d'arriver vivant au lieu de rendez-vous et surtout pour le retrouver. Revolver en main tu partis en courant et commençant ton carnage, tête couper, balle en plein coeur, dans la tête, tu ne sais plus combien de personnes étaient passé sous ta lames. Tu ne pus voir le nombre de cadavre qui croupissaient sur le sol, baignant dans une flaque de sang. Ils allaient certainement se faire bouffer par les rats et les souris qui hantaient ses lieux.

Tu quittas rapidement les égouttes, l'odeur commencer à te montait à la tête. Une fois dehors, il fut simple pour toi de te retrouver, tu connaissais par coeur le ressaut des égouts et encore plus les longs couloirs du labo. Ses lieux, tu connaissais les sur le bout des doigts. Tu marchais d'un pas calme, l'alarmes ne t'affoler pas, il fallait le retrouver avant qu'il ne le fusille. Vraiment on à pas idée de tuer quelqu'un simplement, car il était trop proche d'une expérience. Tu était la misérable expérience qui avait mie la vie de la seule personne qu'il appréciait en jeu. Tu parles d'une arme, même pas capable de protéger quelqu'un. Tu finis ta course devant la porte. Celle qui t'avait fait devenir ce que tu était. Tes mains ce posa sur les poignets, tu mentirais si tu disais que tu n'avais pas envie de partir en courant dans la chambre de ton ami, qui ne serait pas kidnappé, mais belle et bien là en train de fumer sa cigarette attendant que tu es finis ta journée d'entrainement. Tu secouas la tête. Les idées futiles aurais pu reste au placard aussi, une longue respiration et tu poussas les portes avec toutes tes forces.

- 30040054 ? Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Je viens te ... chercher ... ! tu t'étais dirigé vers le son de la voie, avec quelque obstacle quand même à cause de ses espèces de chercheurs qui croyaient qu'il allait pouvoir t'attacher si facilement. Tu ne préférais pas alerter les autres donc tu utilisais deskunais, c'était bien plus discret.
- Qu'est-ce que... tu ..as fais ? Te demanda-t-il avec une petite voix tremblante, comme horrifier.
- Je les es tué à ton avis... je ... préfère ça, à ce que ça soit toi qui soit tué et pourquoi tu es si étonner ? Ce n'est pas la première fois ! Tu le détachas et tu lui souris comme un gamin.
La scène des retrouvailles ne dura pas longtemps. Elle fut coupé par la voie d'une certaine personne Une personne dont la fierté n'avait d'égale que l'orgueil. Un certain faucon qui n'a certainement plus de coeur depuis très longtemps ou certainement qu'il n'en n'avais jamais eu.
- Quel charmante retrouvailles ! Je peux me joindre à vous ?
- Toi ... ? Qu'est-ce que tu veux à 30040054 ? Tu vus entrainer derrière ton ami, mais qu'est-ce qui se passait ? Tu ne pouvais rien faire à par écouter ce qui se passait.

Le fait simplement de se faire protéger par la personne que tu étais venus sauver était un peu osé. Il n'arrêtait pas de parler pour ne rien dire, rapprochant les mêmes choses quittent un sujet pour un autre et finalement revenir à ce sujet. Leurs discutions d'adulte était un peu dur à comprendre pour ton cerveaux, tu était simplement impuissante dans cette grande discutions. Les deux hommes commençaient à faire monté le ton de leurs conversations. Le ton monta, monta puis l'horrible sont d'une balle d'un magnum 357 venu arracher tes pauvres petit tympan. Un cris monta dans ta gorge, quelque chose de lourd te tomba dessus, tu le réceptionnas avec douceur. Le rire sadique de l'autre continuais et toi qui ne pouvais rien voir, tu n'était qu'une inutile chose.

La haine que tu ressentais à ce moment-là vus immense encore plus forte que toutes les autres fois au tu avais peut-êtres en colère. Tu voulais qu'il souffre, tu voulais sa mort à celui qui venait de la prendre à ton ami. Mais que faire, tu n'avais plus aucune arme, enfin du moins avec un chargeurs encore charger. Tous tes kunais avaient été lançais, tu effleuras de tes doigts quelque chose qui te fit faire un grand sourire, une idée magique venais de se révéler.
- Qu'est-ce qui te fait rire ? Tu devrais plutôt te préparer a mourir! S'éxclama-t-il
- je te retourne ton conseil.
Tu jetas au sol une bombe fumigène, tu était complètement caché maintenant grâce a l'épais rideau qui devrais maintenant remplir toute la pièce. Comme tu t'y attendais, ton ennemi tourner en rond pour savoir où est-ce que tu était, il se mit à parler fort et à rire ! Il cria entre de fou rire :
- Idiot ni toi, ni moi ne voyons rien ... tu ne peux pas m'attaquer, comme moi je ne peux pas !

Qui est l'idiot ? il aurait dû savoir que vu que tu ne voyais rien depuis ton plus jeune âge, ça ne te dérangais en rien. Mais grâce a ça et au bêtise de son adversaire, tu avais l'avantage. Il te fut facile te prendre son arme. Tu n'avais pas eu besoins de grandes choses pour le battre en plus ça n'avait duré très longtemps. Tu posas l'arme sur son crane. L'image de ses dix dernières années passaient avec lui, te revenus a l'esprit. Toutes ses années allaient vraiment faire partir du passais au moment ou ton doigt pressera la détente. Ce n'étais pas la première fois que tu rêvais de ce jour-là sauf que la c'était dans la réalité. Le vrai de vrai, une fois la détente presser, tu n'auras plus jamais cette horrible personne sur le dos. Le chasseur allait devenir la proie et cette fois si c'était toi qui serais le plus fort.

- Une dernière volonté ?
-Tu ne peux pas me tuer ... tu ne peux pas ... ! paniqua-t-il
-Oh que si et je vais le savourais !

Tu pressas doucement la détente, le coup parti. Le bruit sourd d'un objet lourd tomba sur le sol. Le cadavre sans vis avait dû tomber dans son propre sang avec quelque morceau de cervelle qui serait parti avec le coup. Tes joue sentie quelque chose de chaud, certainement les éclaboussure de sang. Tu n'imaginais même pas ta tenues et ton apparence, tu devais êtres pire que... tu n'osais même pas l'imaginais. Ce fut un grand silence qui suivait ce coup de feu. Toi-même, tu ne savais plus quoi faire ni pensé. Rester là, à attendre que les autres arrivent pour te tuer ? C'est peut-être la meilleure chose à faire après tout, où est-ce que tu allais bien pouvoir aller ? Qui voudrait de toi aussi ? Une chose qui ne sait faire que tuer n'avais pas ça place dans le monde des «VRAI » humain.

- 30040054 .... 300... 400....54... ?! murmura une faible voie.

Tu te retournas et te précipita au chevet du mourant. De ton meilleur ami, de ce vieux qui t'avais toujours protégés. Son corps était frigorifié. Tu le seras fort, les larmes perles sur tes joues même si on ne les voyait pas. Tu te sentais vidée de toute ton énergie, mais heureux, heureux de voir ton ami encore vivant peut-être pas pour très longtemps mais vivant quand même.

- 30040054, je crois que maintenant ... tu n'auras plus besoin de ça ...!

Tu sentis sa grosse main normalement si chaud, devenus aussi froide que les profondeurs des abyss. Tu sentais quelque chose s'enlever à partir de ton front. Une chose qui t'avait bien souvent désavantager et qui t'avais était enlevé de force y a très longtemps. Aujourd'hui, tu allais enfin le retrouver.

- Allait ouvre tes yeux .... Lavi... ! Demanda-t-il d'une voie encore plus faible
- Lavi ? C'est quoi ça ? Répondus-tu en ouvrant grand les paupières laissent voir aux yeux de tous tes magnifique yeux à l'iris de couleurs bleu-gris ou émeraude.

Pour la première fois du vu enfin a quoi ressemblait ton mystérieus meilleur ami. Enfin tu n'avais pu apercevoir que ses grands yeux or, ses cheveux était tout poisseux à cause du sang qu'il en avait bris la couleur et le reste de son visage était caché par une sorte de gros masques. Il souriait, sont air amusé n'avais pas disparus.

- Lavi, c'est ton....... prénom. !

Tu vus des larmes coulaient sur de ses yeux, toi aussi tu pleurais, tu le voyais là en train de perdre vie et tu étais impuissant pour lui venir en aide.

- Mon prénom ? Je m'appelle Lavi ?! Tu le seras fort contre toi
Je crois que nos chemins vont se séparer ici ma belle au bois dormant ! Il haleta plusieurs fois pour essayer de reprend sa respiration, A la prochaine ... 30040054 ... je suis heureux d'avoir passé toutes ses années avec toi, mon petit Lavi ...

La fin de cette phrase signa l'arrête de sa vie. Ton monde, 30040054 venais de se faire détruit par la dur réalité. Tu déposas le corps de ton ami convenablement, les mains ce rejoignant sur sa poitrine. La tête droits fessant le plafond, tu lui souris et tu repartis. Le choix s'offrait à toi soit tu retournais à l'intérieur pour te faire tuer ou esclavager, soit tu franchissais l'autre porte qui donnait assez à l'autre monde. Le monde que tu espérais temps connaître était là aux creux de ta main. Allait tu saisissais ta chance ou simplement la laisser filer comme ton ami ? Après quelque doute de peur et d'angoisse tu te décidas a franchir la porte. Empoignant sauvagement la poignée et en la poussant de toute des forces faire l'extérieur. ça ne s'ouvrait pas, deuxième essayer, tu essayas encore et encore jusqu'à t'apercevoir que tu t'était trompé de coté, fallait pas pousser, mais tiré. Après avoir fait un grand souri de ta bêtise, tu ouvris réellement cette porte.

Le vent venu fouetter ton visage et entrainer dans l'air tes longs cheveux blonds. La vu du ciel te remplies de joies, les nuages, les oiseaux tout semblaient te souhait le bonjour. Tu gonflas au maximum des poumons du nouvel air. De l'air de la vrai vie. Lavi, tu venais de naitre parmi le monde des véritable hommes. L'expérience 30040054 était morte, Lavi, lui était née. Tu avanças jusqu'au bout de la terrasse. Au loin une immense flaque d'eau venais se fracasser contre les rochers d'en dessous. La vu de ce spectacle magique t'avais fait oublier, les chercheurs qui commençais a tout se regrouper à l'intérieur.

- Bye bye le labo' !

Tu jetas deux grenade dans la pièce et courus le plus vite possible jusqu'à passer par- dessus les rambardes de sécurité. Tu plongeais tout droit dans l'océan, la grosse flaque comme tu l'avais appeler tout à l'heure. Ton petit jouer créa une magnifique explosion qui envoya valsais tous ton ancienne maison. Quant à toi tu crias de toutes tes forces pour que le monde entier t'entende , un cris de pur bonheurs que tu n'osas faire qu'une fois d'ailleurs, tu crias fort et haut :

- Je m'appelle lavi.

L'entré en scène

Par mal chance (ou bonne chance) les agents de red victom étaient venus de chercher à l'hôpital. Tu avais été trouvé quelque jour plutôt par des pêcheurs et sauvé miraculeusement de la noyade. Les médias parlèrent de l'enfant sauvais a deux doigts de la mort, mais pour quelques personnes le doute restait, qui était ce gamin de quinze ans complètement inconnu de tous ? Qui venait de se faire sauver ? Personne ne pu trouvais la réponse donc on envoya quelqu'un enlevait ce doute, un agent de la red victom justice. Tu leurs expliquas tout ce qu'il voulait savoir et même un peu plus. Choqué part t'es révélation et rapport un peu trop proche avec les Blaue Hunde, il t'emmena voir le grand patron. Tu rencontras alors, Victom Black le fondateur de la red victom jusctice et l'ennemi juré de Frau. Après une courte discutions, car tu t'ennuyais à mourir dans ce genre de grand bureaux, ce grand personnage de proposa de faire partie de son agence proposition que tu ne refusas pas. Aujourd'hui encore on peut te voir parcourant les couloirs de ta nouvelle 'maison'

Plus
rien à dire .

Derrière l'écran

Surnom : Alise, Nezu ou simplement Baka
Fréquence de connexion : Par jours, par semaines, par mois... Combien de fois êtes-vous là ? Disons que je suis là quand il le faut
Découverte du forum : Mon frère U.U (et le pub qu'avait fait No Face)
Niveau de jeux de rôle : Heu ... vais dire moyen -
Autre : ~~èwé je ferais jamais de rp avec yu~~ Très beau forum (non magnifique forum) mais on a un peu de mal à ce repéré

Informateur Messages : 24 Date d'inscription : 22/08/2011

Allais viens là, Lavi *à l'impréssion d'appeler son chien* Je savais que tu ne pouvais pas te passer de moi U.U et moi non plus je veux pas rp avec toi =P

Tu as fait un début de fiche tout petit. =P et pas bienvenus

Invité

Je te remercie de cette accueil

Salut ! ^^

Je sais que tu n'as pas fini ta fiche mais j'en profite pour te prévenir d'un petit truc. =) Rien de bien grave mais ça pourrait t'aider, même si on te l'a peut-être dit ? Enfin, peu importe, il faudrait que tu penses à relire plusieurs fois ton texte, il y a quelques fautes que tu aurais pu éviter comme "Asse" qui s'orthographie en réalité "Est-ce". Après il y a quelques fautes minimes comme l'oubli de retirer un "te" dans "de te ta chère liberté", le remplacement de "goût" par "coup" un peu plus bas sans doutes à cause du correcteur orthographique (ça m'arrive parfois aussi xD) ou plus haut "s'en fuir" qui devrait être "s"enfuir", mais rien de bien grave, ça se lit encore, juste pour te conseiller de relire, ce serait dommage que certains ne lisent pas tes fiches à cause des fautes d'orthographe et de grammaire (je parle en connaissance de cause, j'étais bien pire que toi avant, même les administrateurs ne me lisaient plus T_T) parce que je trouve que tu écris très bien. ^o^

Pose-toi les questions simples dans ta relecture comme "ici j'ai utilisé la troisième personne donc ça s'écrit..." ou "Ici j'ai un mot qui finit par é/er/ait, je remplace avec un verbe du troisième groupe pour savoir lequel du é, du er ou du ait doit être mis à la fin" ou "ici c'est un pluriel donc j'ajoute s / je finis par x" ou même surtout (j'arrêtais pas de faire des fautes sur ça moi ! ><) "ici j'utilise Tout, au pluriel c'est Tous, au féminin c'est Toute et au féminin pluriel c'est Toutes, qu'est-ce que j'utilise dans cette phrase ?", je te jure que ça aide, en tous cas moi ça m'a bien aidé jusqu'à aujourd'hui. ^.^

Voilà voilà, bonne continuation, j'attends la suite de ta fiche avec plaisir. ^_^

Invité

Merci Akira Udo sama .... en réalité je mettais même pas relue et j'avais poster comme ça ! merci de m'avoir rappelais a l'ordre et j'en profite pour annoncer que j'ai fini ma fiche de présentation !!! * et oui pas trop tôt*

Akira, tu m'impressionnes, toi qui ne faisais que des fautes avant. xD

Youhouuu, un petit blond tout mignon ! <3 *porte* Enfin bon, j'vais pas m'attarder sur des commentaires foireux sinon je vais oublier ce que je veux dire. >< Alors ta fiche est très bien, j'ai pris grand plaisir à la lire, quelques petits soucis néanmoins pour être sûr que cela tienne bien la route quant à l'histoire déjà définie. Je suis un adepte des nouvelles idées, je pense que chaque idée a le droit d'être prise en compte, et je dois avouer que bien que réticent à l'idée de voir un laboratoire déboulé j'ai commencé à y prendre goût en lisant ton histoire, c'était intéressant et j'y ai pris grand plaisir à découvrir le parcours de ton personnage. Visiblement, il fait parti des rares personnages pour lesquels l'Histoire RP pourrait convenir.

Néanmoins (car il y en a toujours avec moi alors tu peux me taper à chaque fois que je le dis si tu veux X3) par soucis de réalité les petits détails sur ce laboratoire sont à prendre en compte. Pour faire court, j'ai tiqué lorsque l'ami a parlé du laboratoire et des expériences qui y sont pratiquées. Transmission d'ADN ? D'un point de vue réaliste, c'est difficile à croire, bien que d'un point de vue scientifique c'est l'avenir. Plus sérieusement, bien que ce soit une idée intéressante, je ne pense pas qu'elle puisse être acceptée sur la RVJ Agency. Cependant et comme mon cerveau fonctionne toujours à cent à l'heure quand je lis (ça doit être pour ça que j'ai des idées et commentaires tordus après xD), je pense que j'ai trouvé une idée qui pourrait te permettre de garder l'idée tout en reprenant un peu de réalisme. Oh, ce n'est rien d'exceptionnel, je pense simplement que remplacer l'idée de l'ADN des criminels par une drogue un peu particulière (et n'allez pas me dire que j'ai trop lu de City Hunter, c'est pas nouveau XD) pourrait peut-être arranger un peu le coup. Évidemment, cela peut poser problème, mais nous ne parlons pas ici des drogues dites addictives, pas de simples drogues de sortie d'établissement, mais plutôt des drogues plus pertinentes apportant une modification physiologique sans apporter la moindre dépendance (pas sûr que ça existe mais après recherche je pense pouvoir confirmer qu'il y a de fortes chances, surtout en laboratoire).

Bon, évidemment, le laboratoire en pleine mer (et non océan, je ne pense pas que Lavi ait pu nager sur une telle distance, mais comme l'image me plait bien néanmoins je ne demande pas modification de ce côté là *porte*) est un peu difficile à imaginer, mais avec un peu de réflexion c'est une idée acceptable. Donc pour résumer, une modification de l'histoire d'ADN est demandée (pas la peine de trop développer si tu veux pas, ceux qui comprennent pas n'auront qu'à aller faire des recherches, après tout c'est ce qu'on fait tous puisqu'on a notre bon ami Google sous la main et son copain Wikipédia) ainsi que quelques autres précisions, rien d'énorme, un petit résumé de sa vie précédente sans trop de précision, juste pour expliquer comment il a atterrit en laboratoire (kidnapping, naissance au sein des Blaue Hunde... ?) sans forcément avoir besoin ici de le faire narrer par le personnage lui-même (si tu ne veux pas qu'il connaisse son passé, contente-toi d'un rapide résumé à la troisième personne du moment que c'est compréhensible).

Voilà, pour le moment c'est tout, si tu peux aussi ajouter une rapide explication à la fin de son arrivée dans la RVJ Agency, ça m'arrangerai personnellement pour gérer les relations patron-agent. Après, il faut que j'en parle avec Akira au sujet du niveau de missionnaire, car c'est en effet peu probable de l'être à 15 ans mais avec l'intervention des drogues il peut y avoir une petite exception, il nous reste à en parler un peu, dès qu'une décision sera prise tu seras mis au courant, j'attends avec impatience de pouvoir te valider belle au bois dormant.♥

Et au fait, il a quel âge quand il fait exploser le labo ?

Me revoilààà ! Ben heureusement que je me suis connectée tôt, j'aurai pas vu qu'il y avait des changements. xD Ben Victom tu as raison, l'histoire est géniale, moi j'adore chuis fan. ^^

Bon, Lavi, voilà pour les modifications quant à ton rang : nous avons discuté avec Victom et il est difficilement imaginable que ton personnage puisse être devenu comme ça Missionnaire, mais difficilement imaginable ne veut pas dire impossible ! Aussi, nous te proposons une idée toute bête. Comme tu as pu le voir j'imagine dans la description des rangs dans la gestion, un missionnaire peut être reconnu par Victom. Si tu ne peux devenir missionnaire à ton âge par le compte de tes missions, tu peux éventuellement être accepté par le patron, aussi nous te proposons tout bêtement de marquer en tant que rang pour le moment Espion (tu peux écrire comme Raymond l'a fait "entre espion et missionnaire" si tu veux) et Victom te réserve tout de suite après validation un RP pour que ton personnage et le sien discutent d'une éventuelle promotion (je surveille, s'il te saute dessus je viens l'exterminer --'). Si ton personnage est convainquant ou si quelque chose en lui interpelle Victom, tu pourras passer Missionnaire, dans le cas contraire ben... Espion c'est pas si mal que ça, ça peut toujours te permettre de faire tout un tas de missions, la différence sera que tu pourras être appelé à aider un groupe d'information ou d'infiltration plutôt que d'être appelé à des missions en extérieur et missions spéciales, ce qui ne t'empêche pas suite à un exploit ou à un certain nombre de mission plus tard de devenir missionnaire cela va de soit. ^^ Cela te convient-il ?

Invité

Je vais m'occuper tout de suite de ces quelques petits problèmes. Merci à vous Victom pour l'idée de la drogue qui fera j'en suis sur bien plus réaliste que mon idée de départ !

Après pour répondre a votre question sur l'âge, Lavi à 15 ans quand il met le laboratoire en miette (calcul = 6 ans (âge de son opération) + neuf (âge après sa formation de tueur = 15 ans) Il ne me serait pas venu à l'esprit de le faire en dessous de cette âge parce que sinon je ne pense pas que ça aurais été crédible un seul moment !

Si ça ne pose de problème à personne je suis tenté par ta proposition Akira Udo sama ! Et cela me convient parfait. J'en profite pour vous remercier d'avoir apprécié ma fiche !

Informateur Messages : 24 Date d'inscription : 22/08/2011

Lavi .... je te hais toi et tes fiches de trois pages U.U ... elle est bien ton histoire =) j'adore ^.<

Invité

Merci yuyu =) J'ai mortifier ma fiche juste quand tu la lue !

Voilà voilà, j'ai lu tes modifications, cela devrait convenir parfaitement. ^^ Il faudra juste que je pense à indiquer à la future Frau Blau de lire un peu de ton histoire pour sa fiche, mais ça c'est mon affaire. XD
Sur ce je te valide, Bon jeu !♥

PS : Je suis pas sur mon ordinateur pour le moment, je t'envoie l'introduction dans mon bureau dès que possible.♥