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 Shizuo Meshle : Un serveur de Bar

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Shizuo Meshle : Un serveur de Bar Empty
MessageSujet: Shizuo Meshle : Un serveur de Bar   Shizuo Meshle : Un serveur de Bar EmptyVen 24 Aoû - 12:55

Carte d'identité

Nom : Meshle ; Origine : Anglais : Père
Prénom : Shizuo ; Origine : Japonnais : Mère
Âge : 21 ans
Sexe : homme et fier de l'être
Groupe : Citoyen
Rang : Vous laisse choisir





Portrait Robot & Psychologie

Description Physique


Tu es comme les papillons qui sort de sa cristallise, tu as tes propres ailles au mille et une facette.

Sur le haut de ton crane, une imposante chevelure à la teinte étrange te tomber sur les oreilles. A ta naissance, tu avais eu les cheveux châtains clair qui au fil du temps avait fini par devenir légèrement vert ou chatain tirant vers le roux. Tu n’avais jamais su pourquoi ta faible chevelure brune avais fini par perdre sa pigmentation, pour te donner cette incroyable couleur. Souvent quand les rayons farceur du soleil s’amuser avec tes cheveux doux et soyeux, quelques légères reflets bleuté apparaissaient. Ta coupe était assez simple, cheveux en bataille mi long qui te laisser apparaitre qu’un légère morceau de ta nuque, te cachant parfaitement l’arrière de ta tête, tu avais profité du fait de n’être plus à l’orphelinat pour ne plus devoir faire la rait au milieu comme les gentils petits garçons de quatre ans de la bonne société de Londres. Tu t’étais laisser poucet la franche sur le devant de ton front, l’effacent pratiquement de ton portrait. Tu avais toujours eu envie d’avoir les cheveux aussi long qu’une fille au grand drame de la mère supérieure qui ne supporter pas les cheveux long. Pauvre femme, elle qui avait tant de fois essayer de te les couper sans succès.

Bien sûr tu procéder des sourcils qui se retrouver à demi visible à cause de la franche. Positionnais à leur place, au-dessus de chaque œil, qui marquer un petit trait héréditaire de ta mère japonaise. Tu avais toi aussi légèrement les yeux tirait, pratiquement invisible à cause de tes pupilles a la teinte azure. Le bleu était dans ton regard, un mélange de ciel et d’océan qui éclairé tes pupilles. L’exprexion qui se lisait dans ses perles était d’un doux commun aux enfants innocent. Digne d’un bon serveur dans un bar, légèrement dragueur et sachant jouer de son charme auprès des femmes qui adore retrouvé leur instins maternelle. Des petites paumettes rosé comme la peau d’un nouveau née venait réchauffer le doux visage légèrement ovale que tu posséder. Etrangement, ton nez n’était pas plat comme celui de ta mère, ni pour autant ressemblait au nez arlequin de ton père. Tu avais un nez normal voir un peu aplatis sur le haut, mais rien de bien choquant vus t’es origine japonaise héréditaire cette fois encore de ta chère génitrice, la preuve d’un partage équitable entre tes deux parents pour te crée.

De fine lèvres rose tirant légèrement sur un timide rouge, encadré tes petites dents blanches parfaitement aligné. C’était réellement une fierté t’avoir ce sourire si charmeur, les femmes adorait les sourire a pleine dent d’un innocent garçon, plus jeune qu’elle. Les restes ne méritaient pas d’être d’écrit, après tout, tout le monde avait des oreilles et des mentons, et les tiens n’était ni des œuvre d’art ni même horrible au point qu’il serait important de les décrire. Tu avais un léger tique quand tu t’enerver, ton visage paralizé légèrement un sourire sadique, tandis que tes yeux devenait aussi gris sombre que le ciel menacent d’un orage. C’était un tic nerveux t’après le médecin de l’orphelinat, quelque chose qui ce provoqué chimiquement pour te faire relâcher la pression. Tu étais déjà connu pour avoir une force un peu plus supérieure a la normal, qui c’était créé au fil des combats avec tes camarades et des sports de combat qu’on t’avait fait pratiquer en croyant que tu étais hyperactif. En tout, tu avais fait de la boxe à l’anglaise bien sûr, l’escrime, des sports bien à l’anglaise malgré le fait qu’il avait aussi fait du judo et karaté un moment. Même si son sport préféré était quand même le combat des rues.

Rien dans ta silhouette montré que tu avais de telle corde à ton arc, tu étais petit élancer grâce à l’escrime qui t’avais d’ôter d’une souplesse remarquable et d’une démarche ce voulant timide, mais pleinement assuré quand tu savais ou allait. La plus part de tes vêtements sont assez sombre marqué par une touche de couleur vive qui s’accorde parfaitement avec ton innocence naturel et ton sourire qui ne te quitté pas ton visage une seule seconde, même si un même collier revient tout le temps sur ses tenus. Ton plus grand complexe était tes mains que certaine personne avait appelaient main de fille à cause de tes longs doigt fin, tu au nombreux travaux de serveur. L’escrime t’avais aussi bien aidée à rester assez chétive même si tu n’avais pas les même mensuration qu’une fille pour autant, quoi que tu n’en était pas loin . Tu posséder des jambes et des pieds qui malheureusement était plat, composé eux de cinq doigts chacun.




Description mentale

Caractère

Souriant, ce mot t’allait à merveille à toi qui ne fessait que ça, innocent et crédule, tu n’avais jamais réellement grandi. Tu préféré reste une sorte d’enfant innocent sans pour tant l’être totalement. Tu n’utiliser que ce visage pour plaire aux femmes que tu voulais avoir comme jouet provisoire. Jouir d’un pouvoir de séduction comme celui-là ne te fessait pas peur, et pour autant tu aimer jouer avec les femmes qui savait qu’elle n’avait rien à perdre a fréquenté un aussi mignon petit garçon. Tu aimer croire que tu n’étais que ce petit garçon souriant. Mais c’était bien diffèrent dans la réalité. C’était peut-être pour ça que tu n’avais encore personne dans ton cœur, ni dans ton lit, quel tristesse pour toi qui supporter très mal la solitude. Tu aimer ton petit chez toi, avec tes bestioles qui te rappelaient que le monde n’était pas si noir dans ce bas monde.

Un imbécile heureux que beaucoup de personne ne t’apprécie pas dans les quartier, enfin surtout ceux qui avait tâter de ton points sur cause de l’emportement, c’était si mal à croire qu’en réalité la violence était le seul moyen pour toi d’exprimer des sentiment que tu n’arriver pas exprimer. Une sorte d’échappatoire avec des coups plutôt que des mots, peu de personne l’avais compris malheureusement, c’était aussi pour ça que j’ai toi, la décharge aurait pu y vive, tu cassé tout sans réellement le faire exprès. Toi qui t’attacher pour un rien, tu étais réellement trop sensible. Pourtant pas de pitié pour les personnes qui t’enerver, mais tu n’arrivais pas à ne pas t’en vouloir quand tu casser une tasse que tu avais peut être acheté juste hier. C’était ridicule tu le savais bien mais pas très grave personne ne te voyais comme ça.

Seul ton amis avait compris pourquoi ton caractère de feu et d’ange était complétement diffèrent de ton vrai visage que tu ne montrais jamais. Après tout y avait-il réellement quelqu’un qui pouvait se vanter d’avoir laissé son vrai visage devant tout le monde sans son masque de fierté. Tu attendrais peut-être que quelqu’un ne te pouce à le montré légèrement, mais ce n’était pas gagner après tout, les garçons qui courait Londres n’avait rien de très charment et tu n’avais pas l’intention de jouer l’amant pacotille. Mais le fait que tu aimer la compagnie de femme mature à grosse poitrine était légèrement troublante pour quelqu’un qui était censé aimé les hommes. Mais après tout qu’est ce qui n’était pas contraire chez toi, tu étais comme ça un contracte entre ce que tu désiré réellement et ce que tu fessais. Encore un visage torturé par les regarde des autres.

Tu t’énerve vite, tu frappes fort, tu t’en veux, ton esprit était comme ça. Tu ne saurais pas le décrire toi-même en sachant que ses le tiens, légèrement maso pour souffrir de tout ce que tu craignais, un peu sado pour faire souffrir les autres, rien de tout cela ne fessait de toi quelqu’un de bien ou de mal. Tu étais comme tu étais quelqu’un de banal dans une grande ville.



Ambitions & Souhaits

Rien en particulier




Préférences & Relations

Quelques précisions

Orientation sexuelle : Homosexuel exclusivement
Loisirs : dormir, manger, jouer, casser, frapper etc ...
Objet fétiche : son collier en forme de goute d'eau
Autre : Il a peur des grande flamme, traumatise d'enfant ou il saig bruler à un bucher de bois.


Situation Relationnelle

Certainement connu de quelque racaille du coin et de criminel qui aimerais ce rafraichir dans une ambiance plutôt chaude dans le bar.




Biographie

Passé

Toi, tu es née un jour de pluie dans une région reculé de l’Angleterre, au Nord-Ouest de Newcastle, dans un petit village composait de seulement de 500 habitants. Ta famille était alors composait de Misaya Kanuka, ta mère, une japonaise qui avait fui sa famille dans les bras d'un homme nommé Walter James Meshles, un riche fils de bourgeois de Londres, ton père. Ils avaient emménagé dans ce tout petit village pour échapper aux pressions familiales et ainsi vivre une vie heureuse ensemble. Walter était un homme aimant et chaleureux. Un homme qui aidait sa femme comme il le pouvait, s'occupant des travaux lourds. Misaya, elle était la parfaite femme de maison, douce et délicate sachant trouver un équilibre pour chaque chose. C'était dans cet univers parfait que Shizuo Scott Meshle vut le jour. Ce bébé fut choyé, cajolé et aimé aussi bien par ses parents que part tous les gens du village. Tout le monde connaissaient les Meshle et les aimaient. Leur gentillesse était sans limite et leur bonté n'avait d'égale que leur beauté. Leur maison était toute en haut du village et surplombé la vallée. C'était une charmente chaumière, qui avait tout pour offrir la joie et la paix aux habitants. C'était dans cet univers magique que Shizuo avait grandis jusqu'à ce que ta vie prenne un virage qui allait t'éloigner de tous ce que tu connaissais, tu n'avais alors que cinq ans.

5iem Années


La journée se termina comme tant d’autres déjà, toujours le même soleil si lumineux qui jouer à cache-cache avec les nuages pour nous donner dans l’immensité du ciel des couleurs vives. L’arc en ciel du bonheur, tu restais longtemps à l’observer du toit de l’école élémentaire. Tu avais encore désobéi, tout le monde savait qu’il ne fallait pas escalader les toits des immeubles, mais qu’importe tu le fessais quand même, c’était le seul endroit assez haut pour admirer les rayons roses et orangers du ciel à travers le village. D’ici, le clocher de la petite église catholique du village semblait faite d’or ou d'argent. Les feuilles quittaient leur tenu sobre pour prendre des couleurs festives orangés ou rouges selon leur envie comme à l’arrivée de l’automne. Allongé sur les tuiles qui laissaient échapper toute la douce chaleur accumulé pendant la journée tu t’amusais à contempler l’océan de nuages. Malheureusement un cri te tira de ta cachette secrète, te relevant sans la moindre envie pour voir qui venait d’interrompre ton moment de paix ; c’était ta maîtresse, la pauvre femme, chaque soir elle devait partir à ta recherche à travers toute l’école. Elle était si jolie quand elle s’énervait, ses cheveux blonds dans le vent et ses yeux noirs comme des pierres noirs sacrées te fusillant du regard. La jeune femme qui devait avoir dépassé la vingtaine depuis assez longtemps monta jusqu’à l’étage supérieur. Celui que tu utilisais pour attraper les premières tuiles pour te hisser jusqu’ici.

Elle regarda un moment le plus beau des spectacles que la nature avait à nous offrir en ce soir de beau temps. Son visage était encore plus joli de près, des traits fins qui entouraient ses douces lèvres, légèrement pulpeuses, rougis par du rouge à lèvre. Tes joues commençaient doucement à rosir alors que tu la contemplais, elle possédait de belles jambes légèrement apparentes sous sa jupe noire de professeure. Un chemisier légèrement trop serré au niveau de sa poitrine, la laissant apparaître pour chaque personne un peu plus grande qu'elle ce qui n’était pas difficile ta maîtresse n’était pas très grande, plus petite que la moyenne. Tu fixas sa taille qui n’avait rien à envier à la taille de guêpe de ta maman, elle devait bien faire dans les cinquante kilogrammes pour une poitrine de bonnet F. Ton visage ce tourna de l’autre cote, frottant tes joues pour faire te donner une bonne raison d’avoir des marques rouges. Un certain moment passa, mais tu serais incapable de dire combien de temps vous estes reste là admirais le soleil qui avait presque disparus derrière l’église maintenant, elle te fit signe de descendre, il était tard et il fallait que tu rentres chez toi comme tous les soirs. Tu t’exécutas rapidement, ce n’était pas difficile tu étais un véritable petit singe quand il s’agissait d’aller dans des endroits impossibles. Tes pieds touchèrent la petite rambarde, large d’à peine cinq centimètres, mais assez solide pour te porter et d’un bond, tu arrivas devant la maîtresse qui secouait la tête : exaspéré.

Elle te tira hors de l’école en te disant que si elle te reprenait à refaire ça elle préviendrait tes parents. Tu hochas la tête en signe de compréhension, c’était tout le temps le même refrain, mais elle ne le fessait jamais. Souriant en lui disant a demain, tu partis en direction de la montagne, dos au soleil, ta maison juste en face. Courant à pleine vitesse, saluant en passant tes copains qui eux jouaient ensemble en bas de chez eux. Toi, tu ne le pouvais pas, tu vivais trop loin du village et il n'y avait pas de voisin là-bas, tu n’étais pas malheureux pour autant tu aimais ta maison comme elle était, loin ou pas de tes amis, tu ne l’aurais échangé pour rien au monde. Tu sorti du village avant de commencer à gravir la petite pente plutôt raide qui menait jusqu’à chez toi. Tu t’arrêtas deux fois pour reprendre ton souffle avant d’arriver devant la grande porte en bois sculpté. Tu posas tes chaussures dans le petit placard et enfilas tes pantoufles. Vous viviez ici à l’anglaise, mais quelques traditions japonaises de ta mère restaient courantes dans la vie familiale. Tu allas ouvrir quand ton père allait sortir, tu remarquas immédiatement que sur son visage une marque de tristesse était gravé. Cette vision te poignarda en plein cœur. Il rigola de sa maladresse en te voyant et pour s’excuser d’avoir failli t’envoyer la porte en pleine tête, il te caressa les cheveux le sourire aux lèvres, un sourire bien terne. Tu souris quand même, après tout ce n’était peut-être que ton imagination qui te jouer des tours. Tout allait bien, ce n’était que toi qui avais imaginé ton papa triste. Oui, tout allait très bien.

Ton père t’emmena à l’étable après t’avoir fait remettre tes chaussures. Il ne t’avait pas laissé le temps de poser tes affaires dans la maison étrangement, mais c’était certainement urgent donc tu le suivis sans poser de question, l’étable n’est pas loin après tout et tes affaires n’était pas bien lourdes, le plaisir de rendre service était normal avec les parents que tu avais après tout. Ton père enleva le cadenas qui maintenait les deux portes fermées avant de te faire entrer dans l’étable, tes yeux s’ouvrirent grand quand ils vus cette pièce habituellement pleine de babioles en tous genre juste bon pour la casse qui était devenue complètement vide. Impressionné, comme si on venait de te montrer la huitième merveille du monde, tu courus un peu partout pour voir ce palace d’espace vide. Tes rires de gamin heureux raisonnaient dans cette immensité, tu eu l’impression, un moment, de te retrouver projeté au fin fond d’un océan gelé, seul, abandonné de tous. Le temps d’un lèges frisson qui te parcourra de tout ton être, tu eus peur de cet espace complétement vide. Ton géniteur te passa un petit carton à porter pendant que lui, en porter cinq au bout de chaque bras. Tu l’emmenas jusqu’au bas des escaliers, posant délicatement le colis sur le sol avant de te ruer à la maison, tu rentras dans la maison en courant. Maman t’avais certainement préparé un bon goûté comme tu les aimais t’attendant dans la cuisine et elle sera là pour t’accueillir toute en s’activant pour préparer un bon petit plat pour ce soir en écoutant tes histoires de petit écolier.

Ton regard se posa sur un mur blanc écarlate quand tu ouvris la porte, aussi blanc que la neige qui tombait quelques fois sur le village. Les meubles avaient là aussi disparus, seuls des petites marques de poucier restaient accrochés pour marquer le passage d’objets. Tu cherchas ta mère du regard, ne comprenant en rien à ce qui se passait dans cette maison, tu t’avanças dans le couloir, tout avait disparus, les tableaux, les meubles, tout, même ta maman qui devait se trouver dans la cuisine ne si trouvait pas. Tu cherchas de partout avant de monter au premier étage, la chercher dans les chambres. Elle n’était pas dans la sienne, ni même dans la salle de bain. Tu mis un certain temps avant de finir par la trouver dans ta chambre en train de terminer un dernier carton. Tu sautas dans ses bras soulagé de la retrouver en pleine forme, elle te caressa les cheveux en te demandant ce qui venait de ce passé pour que tu sois tout trempé. Secouant pour signaler que tout allait bien, tu relevas la tête pour lui demander ce qui se passait pour que tout le domaine soit complétement déserter. Fidèle à elle-même, ta mère te sera contre elle gardant la tête haute, malgré que son regard ce tordais à rester impassible. Caressant de ses doigts fins tes cheveux gris, elle parla de sa douce vois mélodieuse comme si elle essayer apaisais ton cœur. Elle sourit doucement en commence son récit.

Le père de ton père, ton grand père venait de rendre l’âme et sa veuve, donc ta grand-mère qui avait toujours était en contact avec ton géniteur avais supplié son fils de revenir à Londres. Misaya et Walter, après avoir réfléchie et discuté un long moment avait décidé de rentré comme convenus dans la lettre. Elle t’embrassa le front tendrement en ce relevant. Tu venais de comprendre pourquoi la maison avait était dépassais de tous les meubles, vous déménager dans une grandes villes pour vivre auprès de ta grand-mère, cela signifiait beaucoup de chose comme dire adieu à tes copains, au village, a votre belle chaumière. A ce moment ton visage pris exactement la même expression que tes parents. Ta mère te lava, mais ses yeux ne te voyais pas, ses yeux était troubler par un épais brouillard. Doucement comme si tu avais eu peur de la briser en la frôlant ta petite main se posa sur la joue de ta maman, ta petite voix raisonna timidement pour formuler une phrase ‘’je te protègerais maman’’. Un sourire idiot sur le visage, tu étais un enfant qui croyait dur comme faire a ses mots.

Le lendemain matin, vous quittes le village et tous les gens que vous aimaient. La traverser de l’aller principale ce fessait dans le silence le plus total comme si un corbillard passait surplomber de la mort en personne. Le ciel était aussi gris que vos visages, tes parents assis en face de toi, sans mot dire. Ce laissant bercer par le roulement, plus loin, tu voyais ton passé petit à petit s’effacer dans l’horizon gris sombres et devant les nuages noirs de tempête de Londres qui approcher.


10iem Années


Un garçon couru vers toi, armer de ses poings, son visage semblait sûr de lui près à te faire mordre la poucier comme un vulgaire moustique. Il essaya de te toucher a de nombreuse reprise malheureusement tu les évitas habillement, certaine même de justesse avant d’attrapé son bras. Son visage ainsi découvert tu n’eus aucun mal a remonté ton point frappant de plein fouet sous le menton du pauvre bougre. Tu jetas ta sucette au loin en te relevant, ton premier advenant venait de tomber au sol ce tenant son pauvre visage, tordu de douleur. Tu allais te tournait pour voir si il n’y avait pas d’autre personne près à faire une énorme bêtise, mais un corps étranger te maintenais en arrière, t’agrippent les bras pour te les relever de façon à ce que tu ne puisses plus utiliser tes mains. Un léger soupir ce fit entendre alors qu’un troisième personnage apparaisse sous tes yeux, armer d’un bâton, il comptait certainement vengeais son copain à terre. Pathétique, tu écrasas le pied du garçon qui te maintenait, tournant sur toi-même rapidement avant de frapper de ton poing la joue gauche de ce tricheur. L’autre en profita bien sûr pour te frapper à la tête de manière à t’assommer. Heureusement tu te retournas juste à temps pour lui sauter dessus et l’étranglé, abatant tes poings sur lui jusqu’à que la maitresse arrive pour t’éloignais de lui.

Tu fus transporter dans le bureau de la directrice pour la cinquième depuis ton arriver dans cette nouvelle écoles. A peine t’avait-elle vus qu’elle avait déjà décroché le téléphone pour appeler tes parents pour les prévenir que tu avais continué malgré les nombreux avertissements qu’il t’avait était donné. Tu fus invité à t’assoir sur le seul siège présent en face du grand bureau de pin de Madame la Directrice. La pièce était semblait sinistre, l’horrible tapisserie qui orner les murs avec l’ignoble couleur vertagres, comme si on avait installé de vieille carpette sur un mur faute de moyen pour s’acheter une bonne tapisserie. L’horrible coucou tictaque tandis que le temps défilé. Ta maitresse et la directrice semblait discuter dans un sorte de petit boudoir qui ce trouvais cacher derrière une porte. On ne voyait pas le magnifique bout de bois qui était lui-même soigneusement cacher par une armoire installer spécialement devant. Un toc à la porte, fit sortir les petits sourit de leurs pièces secrètes. Accueillent tes parents d’un air désolé, tu tournais la tête pour ne pas les voir. Sentent pourtant le regard plein de compassion de ta mère et l’air complètement dépasser de ton père sur toi. Ils discutèrent une bonne heure avec la directrice pour parler de ton comportement violent avec tes petit camarade, à la fin de entrevus cela c’était terminer comme les six première écoles que tu avais déjà fait, on venait de te renvoyer.

Cela fait cinq que tu vivais dans la grande Londres, on t’avait renvoyé de six écoles différentes, maintenant sept pour coup et blessure envers les enfants de l’établissement. Tu étais devenu violent un mois après ta rentrée dans la grande classe de primaire, tu ne supportais plus la moindre mauvaise réplique des autres sur ton compte. A chaque fois que quelqu’un t’énerver, tu en revenais a la violence pour le calmer, malgré que bien souvent tu ne souhaites pas leurs faire du mal, tes réaction était assez primitives. Tes parents ne savais plus quoi faire pour que tu puisses continuer ton éducation convenablement, chaque fois qu’on te renvoyer c’était à ta mère de faire la classe ce qui n’aidé pas ton père qui avait besoin d’elle pour diverse raison. L’entreprise de ton grand père après la succession avait marché à merveille, ton père fessait vivre la famille et avait pu complet tous les désirés de ta mère en lui offrent une belle maison dans l’un des plus beaux quartiers de Londres.

Tu montas directement dans ta chambre une fois arriver. Ton père avait perdu tout dévouement pour te faire remonter la pente niveau scolarité et ta pauvre maman n’arrivait pas à imaginer que son petit garçon soit devenu si cruel envers les autres. Fermant la porte en clé avant de marcher jusqu’à ton balcon, montant sur la rambarde pour escalader le toit de ta maison. Tu t’allongeas sur les tuiles regardant le ciel noirci de Londres. Quelques habitudes n’avaient pas changé même si tu avais quitté ton petit village. Seule la bonne humeur de la maison avait changé. Ta mère était de plus en plus réserver, elle délirait parfois tout seule dans la cuisine en criant qu’ils n’auraient jamais dû venir, que ton père était un criminel. Elle n’avait plus rien de la femme digne et fier qui avait bercé ton enfance, l’éternel complice de ton géniteur n’était plus qu’une femme rongé par l’angoisse de la grande ville. Sur ce point, elle n’avait rien à envier à ton père. Un homme qui ne vivait plus qu’à travers son travaille, découchant le soir, cette homme n’avais plus de place pour personne dans son cœur.

Tu descendu de ton perchoir pour allait prendre quelque chose à manger dans la cuisine, tous ses évènement t’avais ouvert l’appétit. Tu fis le chemin au sens inverse jusqu’à te retrouver dans la cuisine, tu te servie un grand verre de lait pour la troisième fois que tu bu d’une traite. Ton père passa rapidement devant toi, sans te voir, pour ce rué dans le hall accueille une très belle femme avec une poitrine généreuse. Tu reposas la bouteille de lait à sa place alors, que tu entendais la femme recoullait de sa voix de vipère, elle semblait exister par quelque chose si on écouté attentivement les questions quelle prononcer à l’égard de la femme de ton père. Il lui certifia qui n’y avait que toi enfermer dans ta chambre. Tu te collas contre le mur pour mieux écouté cette intéressent conversation, c’était étrange qu’une femme vienne à la maison ainsi sans que maman n’est rien préparer pour le thé. Tu attendis que leur bruits de pas soit assez loin pour remonter dans ta chambre, après tout c’était certainement une collègue de travail de ton cher géniteur.

Sans faire le moindre bruit, tu te hissa hors de la cuisine, marchant a patte de velours pour passer devant le bureau de ton père sans faire le moindre bruit qui lui aurait valu le besoin de sortir pour t’ordonner de disparaitre dans ta chambre. Tu t’arrêtas au toilette cinq bonne minute avant de repartir pour regagner ta chambre. Seulement un bruit étrange émanant de la chambre de tes parents attira ton attention. Marchant doucement pour allait rejoindre le seuil de la porte à quelques pas de ta chambres et des toilettes, le bruit ce fessant de plus en plus fort, mais tu ne savais pas si c’était le fait que tu te rapprochais ou si c’était réellement les .. les gémissement qui augmentais. Tu écouta un petit moment devant la porte ces bruit étrange, la curiosité était trop grande, ta main appuya sur la poignet de la porte pour l’entrouvris légèrement pour voir quels drôle d’animal pouvais faire autant de bruit. Ton souffle s’arrêta nette quand tu vis ton père avec l’inconnu complétement nu sur le lit, ta main se mis a tremblait alors que tu assister au débat sexuel d’un homme avec une femme qui n’était pas la sienne.

Tu vus l’horreur, le corps d’une femme. Tu tordu ton visage d’horreur, les larmes qui te montais aux yeux, tu eu envie hurler, malheureusement aucun son ne sortais, tes yeux toujours braqué sur ce qui se passait. Ses à ce moment-là que la porte du placard s’ouvrit et que ta mère apparus folle de rage, le visage saignant de larmes salé qui avait rendu son visage aussi rouge qu’une tomate. Elle tenait devant elle un revolver alors, qu’elle hurlais au diable a ton père et a son horrible maitresse. Toi, tu étais toujours pétrifier devant les scènes qui ce dérouler, mais un sourire idiot sur les lèvres. Tu retrouver en cette femme qui semblait folle un semblant de fierté de la mère qu’elle avait était dans ton enfance. Âpres tu ne serais dire ce qui se serait passait, tu vus le corps de ta mère s’effondrait sur le sol dans un bruit sourd, un silence pesant après de telle hurlement. Les draps blanc en lin ce recouvres petit à petit d’un rouge lugubre. Les larmes coulaient sur tes joues alors que tu rentrais dans la chambre. La tête de ta mère était allongeais dans une mare de sang, ton regard tourna pour voir la poitrine de ton père déchirais par les balles au niveau du cœur, essayant de le secoué pour le relever mais rien à faire ni l’un ni l’autre ne semblait vouloir ouvrir les yeux.


21iem Année


A 18 ans tu avais quitté pour de bon l’orphelinat dans lequel on t’avait emmené à la mort de tes parents, tout le monde fut rassurais de te voir partir, depuis ton arrivais tu n’avais pas changé te montrant violent a la première réflexion d’une personne mal attention. Tu avais essayé de t’en échapper par mille et une façons. Tu souri doucement, plus la peine d’y pensais maintenant tu étais libre depuis deux ans, comme phœnix libère de ses entrave. Tu étais partie avec un misérable sac à bout de bras, c’était tous que tu avais conservé de tes parents et c’était largement suffisant en plus des quelques affaires pour te changer. Tu avais du te débrouiller tout seul pour pouvoir survivre dans la grande ville avec les faibles économies de tes parents. Commencent d’abord par te trouver un travail et de quoi te loger pour vivre. La vie d’adulte c’était offerte à toi sur un plateau d’argent.

Tu avais dû quitter aussi ton premier amour, non réciproque malheureusement, tu t’étais rendu compte a 16 ans que n’aime pas les filles. Tu étais plus attirais par les hommes, même si tu gardais une certaine plaisance a contemplais les femmes fessant plus du bonnet D. Ce garçon n’avais jamais rien su de tes sentiments à son égard, mais c’était certainement mieux comme ça, tu avais une sacrée réputation de fauteur de trouble à l’orphelinat malgré le fait que beaucoup d’enfant d’apprécier. Les animaux aussi, tu avais sauvé un grand nombre de petite bête, comme quoi tu ne fessais pas que détruire les choses que tu approcher. Tu fini même par avoir une déclaration d’amour d’une jolie jeune femme a grosse poitrine comme tu les aimes, et la pauvre n’as pas dû en revenir quand tu lui a dit que tu n’aimes rien chez elle avec un sourire d’enfant.

Maintenant tu travailler dans un bar plutôt mal famé des bas quartiers de Londres, endroit ou traine parfois pas mal de monde du mauvais coter de la barrière, la clientèle était plutôt présente à cause d’un club de prostitution pas loin, ce n’était pas très grave s’il avait mauvaise réputation, tu te sentais bien ici et on ne te renvoyais pas quand tu frapper un ou deux client désobligent a ta sortie. Tu enchaine les heures avec ton seul amis que tu avais rencontré lors du l’entretiens d’embauche y a deux ans, il t’avait aidé à trouver un appartement au dernier étages ou plutôt sur le toit d’un immeuble. Tu y vivais depuis que tu avais quitté l’orphelinat avec trois chat des rues et deux pigeon qui avait formé leur nid sur ta terrasse, il manquait un peu de place mais tu étais parfaitement a ton aise ici…

…La suite de ta vie ce joue maintenant…
.



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Shizuo aillent peur du feu ne s'approche rarement des grillade ou des feu de bois sur la plage. Il n'as pas trop peur d'une allumette même s'il ne se sent réellement pas à l'aise.



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Akira Udo
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Shizuo Meshle : Un serveur de Bar Empty
MessageSujet: Re: Shizuo Meshle : Un serveur de Bar   Shizuo Meshle : Un serveur de Bar EmptyVen 24 Aoû - 19:21

"Bienvenue".

Je suis désolée mais ta fiche ne convient pas du tout ! >< Je vais commencer par ce que j'ai vu au survol de la fiche :

1 - Tu fais beaucoup trop de fautes : "saig" à la place de de "s'est" notamment m'a choquée, il y a aussi "frange" confondu avec "franche" ou "posséder" avec "procéder" ou même "aquilin" avec "arlequin" (j'imagine que aquilin tu l'as pris de la fiche de Victom puisque c'est le seul qui a un nez comme ça...) par exemple, mais il y a aussi de grosses erreurs de sens, comme "Blanc écarlate". Le blanc ne peut être écarlate, se sont deux couleurs totalement différentes, et ça n'a même pas un sens figuré ! J'imagine que tu voulais dire éclatant, mais il y a d'autres phrases à sens douteux comme ça... Il ne faut pas essayer de faire des phrases complexes ou poétiques en RP quand on n'y arrive pas, c'est un privilège réservé à ceux qui sont très forts en Français !

2 - Ton style d'écriture ne te conviens pas. Un RP se fait à la première personne pour permettre une description précise des sentiments, et à la troisième personne pour une narration simple, mais la seconde personne est à éviter à tous prix ! Si très bien maîtrisé ce style peut être éventuellement pris dans des RP de PETITE TAILLE, soit des niveaux 6 à 10 lignes, mais il n'est pas agréable de lire un texte complet à la seconde personne du singulier : penses-tu que ce serait agréable de lire un livre entier écrit comme ça ?

3 - Même si la mère de Shizuo est japonais, il est rare voire impossible qu'un anglais porte un prénom japonais avec un nom anglais, déjà qu'il est difficile d'imaginer en anglais et un japonais amoureux puisque ces deux pays ont des traditions aux opposés extrêmes et une mentalité en opposition également.

4 - Règle enfreinte : on a déjà réprimandé un autre membre à cause de ça et Trahison même a été avertie pour avoir mis trop de dialogue, mais là ton histoire c'est carrément du RP, alors tu vas devoir la recommencer.


Je passe à la description :

1 - Irréalisme ! Il est impossible d'avoir naturellement les cheveux verts ! (surtout que vert est l'opposition du rouge alors du vert tirant sur le roux...)

2 - Il y a beaucoup de phrases qui n'ont aucun sens, comme dans le second paragraphe (sans compter les deux lignes avant le premier paragraphe comme étant un paragraphe) de la description physique...

3 - Des femmes qui se laissent draguer et retrouver leur instinct maternel auprès d'un gamin. °_° Non, sérieusement reprends-toi, les femmes ne sont pas ainsi. ><' Les femmes ne courent pas après les gamins, soit un peu logique bon sang ! T_T

4 - Recherche le sens de tic nerveux et on reparlera du paragraphe qui en parle dans ta description...

5 - L'escrime c'est d'origine japonaise ou française, je sais plus, en tous cas pas anglaise........ Fais des recherches !!

6 - Attention aux oppositions : une démarche timide ne peut pas être assurée et inversement, et quelqu'un qui fait de l'escrime n'a pas de démarche timide. Quelqu'un qui fait de la boxe n'est pas doté d'un corps frêle d'enfant, et s'il fait de nombreux sports ENCORE MOINS ! D'autant plus que un coup tu parles d'innocence et l'autre coup de sadisme, faut m'expliquer là, sérieusement...

7 - Le physique ne comporte pas que le visage, on n'a aucune information bien précise en plus : peu d'informations sur le corps, et des informations contradictoires un peu dans toute la description. Sois précis, arrête de tourner autour du pot si ce style ne te convient pas...

8 - Hors de question qu'un personnage frêle soit plus fort que la moyenne, ça je laisse pas passer.

9 - On n'obtient pas de doigts fins à cause d'un travail tel que serveur, pianiste à la limite ok mais bon... Et un homme ne peut décemment pas avoir des mensurations de femme, encore moins avec du sport.


Le mental :

1 - Je n'y arrive pas, il y a beaucoup trop de fautes ! >< Je ne sais pas ce que tu utilises comme correcteur, mais changes-en, arrête d'utiliser des mots ou expressions un peu difficiles et surtout relis-toi !!

2 - Tu ne décris pas suffisamment le caractère de ton personnage, c'est trop ouvert, c'est comme si tu n'avais rien dit à propos de ton personnage, tu as parlé toujours de la même chose du début à la fin du texte, c'est comme si tu n'avais rien dit.

3 - On ne peut pas être angélique et avoir un caractère de feu en même temps...

4 - Comme tu dis : un homosexuel n'est pas attiré par les femmes, alors soit tu es homosexuel soit tu es bisexuel, il faut savoir faire la part des choses.


Les informations secondaires :

1 - Pour les ambitions et souhaits j'admets que tu peux avoir un peu la flemme mais tout de même...

2 - Avoir un traumatisme en se brûlant à un bucher de bois... Ah d'accord, quand même, j'imaginais pas ça. °_°"

3 - Je persiste, soit t'es homo soit t'es bi...

4 - Encore un coup de flemme sur les loisirs ? J'ai envie de dire, c'est encore un peu comme si tu n'avais rien dit. Surtout si tu dis que ton perso s'énerve quand il casse quelque chose et après tu dis que c'est un de ses loisirs. SOIT LOGIQUE !!!


Enfin l'histoire :

1 - Sérieusement fait attention au RP dans les histoires, c'est très difficile à lire surtout pour moi, généralement je compte sur Victom pour ça mais là étant un peu forcée... Et j'ai pas le courage d'aller jusqu'au bout alors oui je n'ai pas tout lu.

2 - ... En Angleterre, c'est pas principalement protestant ? ._. Catholique c'est en France quand même, et les orphelinats dans ce genre... Sur ce point je suis pas sûre mais quand même.

3 - "et ses yeux noirs comme des pierres noirs sacrées te fusillant du regard" ... Une double-répétition. ._. C'est à ça que sert la relecture, à éviter les textes lourds. Si tu as la flemme de te relire, c'est que ton texte est trop lourd alors il faut que tu apprennes à écrire autrement.

4 - 50kg avec un bonnet F, même moi j'y crois pas... Elle est anorexique ta maîtresse ? Enfin, je dis ça mais je dis rien hein... Je vais arrêter de parler des passages anecdotiques, excuse-moi, mais c'est pour te montrer que la précision dans l'histoire d'abord ça fait RP et ensuite ça induit en erreur.

5 - ... Tu peux m'expliquer pourquoi dans l'histoire t'as les cheveux gris et dans le physique tu les as un coup verts un coup châtains roux ? DÉCIDE-TOI !

6 - Comme si à dix ans des garçons se battaient avec des bâtons... Et comme si un garçon pouvait esquiver un coup de bâton de cette façon, soit réaliste, tu n'aurais pas le temps.

7 - Tu connais la définition de boudoir ? Encore des fautes nombreuses et des mots dont il faut revoir le sens...

8 - ... Décidément le passage des 10 années est irréaliste. Surtout à la fin...

9 - Encore beaucoup de passages où tu te contredis : tout le monde est content de le voir partir mais tout le monde l'appréciait... Woaw, ça serait cool des camarades comme ça, j'en veux moi. *porte*

10 - T'as trouvé un travail où on te renvois pas si tu frappes un client ? Tu me présentes le patron ?



Je t'enverrai quelques autres précisions par MP par la même occasion... Je prend beaucoup de passages avec ironie, mais c'est surtout pour te faire remarquer le côté ironique. En définitive, je crains de devoir te demander de refaire toute la fiche. En sa totalité.
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Shizuo Meshle : Un serveur de Bar
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