Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ "

Carte d'identité

Nom : Mayer
Prénom : Louan (oui je sais j'ai pas mis Gabriel en prénom, mais il y a une raison à cela)
Âge : 27 ans
Sexe : Homme (surprise ^♥^)
Groupe : Blaue Hunde ou Rose d'Argent, je vous laisse choisir par rapport à la suite de ma fiche...
Rang : Prostitué de luxe / Lieutenant des Blaue Hunde

Portrait Robot & Psychologie

Description Physique
"C'est une personne possédant un physique proche d'une femme, la poitrine en moins bien sur. Il faut dire que pour une fille je l'aurait qualifié de banale, mais sachant pertinemment que cette belle créature est un homme, le décrire prend une tout autre dimension. Quand on pose ses yeux sur lui pour la première fois le faite qu'il ne mesure pas plus d'un mètre soixante sept passe vraiment en dernier plan. On vas dire qu'on ai plus absorbé a contempler son doux visage cerner par ses cheveux d'une longueur démesuré. Son visage emplis de douceur fait naitre en moi une émotion bien différente de celle que je m'imaginait ressentir si je croisé un jour Angelleine's Mörder (le tueur au fil de pêche). Je l'aurais imaginé plus effrayant, d'apparence plus dangereuse ; je n'aurais jamais pensais que je serrais tuer par un être aux trais si angélique, semblant aussi frêle et fragile que la rose en soi. Son visage et fin, je vais peut-être paraitre fou mais je suis heureux que la dernière vision que j'ai eu de se monde soi celle d'une créature sans la moindre imperfection physique. Quel dommage que cet être soit aussi sombre que les nuit qu'il choisie pour exécuter ses victimes, comme moi... Sa peau est pâle et pourtant si belle. Elle semble douce et éveille en moi des souvenir du passé où je passais des heure à contemplé cet astre luisant et magnifique qu'est notre lune. La seul chose qui ai venue souiller ce corps délicat est un tatouage à sa cheville gauche. Qu'est-ce qui pourrait représenté mieux Gabriel que cette rose blanche au reflet bleu et ses ronces qui encercles sa cheville, menaçantes et à la fois tel un lien indestructible. Une beauté froide pour une créature tout aussi froide et dangereuse...

Il est là face à moi me regardant perdre peu à peu un peu plus de force à chaque fois que son fil resserre son étreinte au tour de mon coup ; j'ai du mal à respiré mais je suis encore conscient, je ne peu pas crier donc je me laisse aller petit à petit perdant mon regard dans ses long cheveux sombre. Comme j'ai aimé passer ma main dans ceux ci autre fois ; doux et si fin, cet cascade de chocolat au reflet de rubis glissant lentement dans son dos je n'en ai jamais vue d'une tel longueur, chez aucune de toutes ses femme que j'ai put croiser ou côtoyer dans dans ma courte vie. Je les ai rarement vue totalement lâcher en dehors de ses nuit chaud que j'ai put partager avec lui, il les nous presque tout le temps. Il sont souvent maintenue en queue lâche par un ruban, mais je l'ai déjà vue se les relever une fois dans ma vie, mettant à vue son fin coup. Il m'as rendu fou ce jours là, totalement dépendant, je pense que c'est ça qui m'a mener à ma perte, j'aurais du me méfié mais je ne l'ai pas fait. Bien au contraire, j'ai voulu toujours plus, pouvoir laisser glisser mes main sur sa peau et jouer avec ses cheveux. Il a toujours aimé ses grelots qu'il porte encore aujourd'hui d'ailleurs. Il n'a jamais voulu me dire pourquoi il l'ai portais à ses de mèche un peu plus coute à l'avant, mais en tout cas leur son me fait un peu plus perdre pied, m'emmenant loin de cette réalité, de cette souffrance qu'il me fait endurer.

J'ose enfin porté un regard vers ses yeux. Il était beaucoup plus beau dans mes souvenir, plus joyeux plus calme ; mais ce regard qu'il possède et qui fait chavirer les cœur, ce regard ambré n'est plus pour moi. Ses yeux caramel au éclat d'ambre qui vous donne envie de vous abandonner au plaisir charnelle et qui vous rassure, mais ils ont laissé place à une couleur plus sombre et à la fois plus animal. Ce chocolat que j'aimais tant à laissé place à un marron puce presque noir qui me fait sombré un peu plus dans les ténèbres grandissant. La seul lumière que je vois désormais dans ses pupille ne me rassure pas du tout. Ces éclats ambres qui le rendait si sympathique et bon de vivre on laissé place à une tinte plus or, donnant à son regard un côté animal en chasse que je ne lui ai jamais connue. C'est donc ce regard que tu donne à tes victime comme dernière image ? Ce regard qui ne dévoile de toi que cette envie et se plaisir de voir celles ci suffoquer et sombré lentement dans les limbe, passant de vie à trépas. Je ne peut plus supporter de voir ceux ci posé sur ma personne, je ferme donc les yeux revoyant ceux que j'ai toujours aimé voir, ce regard joyeux, gourmand coquin par fois surpris. La surprise et tellement rare dans tes yeux mais c'est celle ci que je préfère dans tes yeux ambre, elle te donne un air si innocent, si loin du monstre insaisissable que décri les journaux.

Puis le souvenir de son corps nue me reviens en mémoire. Je ré-ouvre les yeux un court instant avant que mon âme ne quitte pour de bon mon corps ; son corps si fin est toujours présent devant moi bien que je sache que ce n'est qu'un souvenir je me sent soulagé et loin de la réalité. Il est si fin, ses hanche son anormalement marqué pour un homme, se l'a ne le rend que plus beau et désirable. Je me laisse submerger par se sentiment d'une nuit passé avec lui, ma dernière. Je sent encore ses doigt long et fin réveiller chaque partie de mon corps. Il aurait put être pianiste avec de tel main, pourtant celle-ci n'ont jamais touché le moindre instrument, enfin aucun autre instrument que ses fils meurtrier seul élément que la police à pour associer chacun de ses meurtres à cet être de la mort qu'il se plais à être par moment. Peut-être que dans une autre vie j'arriverais à le faire changer, à faire en sorte que ses mains se serve plus à détruire mais à créer des chose aussi belle que lui... Ça y est je sais que c'est la fin je sens que mes dernière force me quitte et bientôt je me laisse quitter mon corps sur un dernier souffle."

Dernière minute de Wilson Schneider

Description mentale
"Je connais bien Gabriel, d'ailleurs qui ne le connaitrait pas dans l'établissement à par les nouveaux. On peu dire que c'est plutôt une personne qui ne passe pas inaperçue, rare sont ceux qui après l'avoir vue une fois ne soit tombé sous son charme, que se soit pour son physique que sa façon d'être en lui même. Moi qui suis venue ici pour fuir l'ennuie de la vie, reprendre mon souffle loin des traqua de mon travaille et de ma femme, je n'aurais jamais pensé que cette petite boule d'énergie ambulante puisse me redonner goût à la vie. Il est si adorable, comme un enfant qui n'a jamais grandi, resté innocent loin de toutes ses chose horrible que l'on pourrais lire dans les journaux ou voir à la télé. Il a toujours besoin de bouger que se sois pour accompagner quelqu'un ou pour des service plus intime. Donc il est très difficile de passer à côté d'une personne comme lui rien que par son agitation quotidienne, Il sait se faire calme quand cela doit être le cas, c'est d'ailleurs assez déroutant de le voir passé de puce électrique à un calme presque olympien.

Depuis le temps que je fréquente cet établissement je l'ai toujours vue proposer son aide à droite à gauche quand cela était nécessaire, c'est un être très serviable et qui ne rechigne pas quand on lui demande quelque chose, il le fait même avec le sourire. Quel sourire radieux, le voir sourire ainsi me fait chaud au cœur et je ne doit surement pas être le seul à penser cela. Quand quelque chose ne va pas dans ma vie je repense à son sourire si chaleureux qui me fait un peu oublier mes traqua jusqu'au soir ou je viens quérir sa présence. C'est ce que j'aime avec lui, c'est une personne très à l'écoute ; il me laisse par fois lui parler sans m'interrompre puis il me réconforte. Il ne m'a pas fallu beaucoup d'effort pour faire abstraction du faite que se soit un homme avec qui je sois en compagnie mes soir de déprime. Si mes adversaire en politique savait que certain soir je viens me réfugier dans les bras fin et sensuel qu'un jeune homme, ma carrière politique en prendrait un coup.

Une fois j'ai payé pour deux jours avec lui, je dois dire que cela m'as couté cher mais que j'en ai eu pour mon argent. Surement les deux plus beau jours de ma vie, ma femme n'a jamais sut être aussi attrayante que lui, que se soit sur un oreiller ou les peu de temps où nous nous voyons. Il est très cultivé que se soit en politique, loisir ou histoire. Par contre je ne peut pas en dire au temps de ses compétence en technologie de nos jours... La fois ou je lui ai fait toucher à un ordinateur pour la première fois de sa vie il a mis prés de deux jours pour m'envoyer un mail vide, en plus il m'a appelé dans la foulé à trois heure du matin pour me demandé si j'avais vue qu'il m'avais réussi à m'envoyer un mail. Ça ma fait comprendre que mieux valais le laissé dans son monde dépasser que de le faire se mettre à la technologie. Par contre je dois dire que c'est un fin gourmet, je n'ai jamais aussi bien mangé que dans un restaurant cinq étoile, en plus il sait faire de tout au fourneau. Demandé lui n'importe quoi pour votre repas et tout ce que vous mangerez par la suite vous paraitra fade.

Gabriel est une personne qui parfois vie sur son petit nuage, d'ailleurs il est attendrissant quand il est dans la lune, je pourrais le contempler ainsi pendant des heures. Le reste du temps, malgré qu'il soit extrêmement serviable, je doit dire qu'il est assez maladroit, en dehors de ses aptitude au lit bien sur. Il se blesse par fois pour un rien et bute dans un caillou invisible, d'ailleurs il ne semble être de nature fragile, par fois on ne le vois pas de plusieurs jours dans l'établissement. Par fois il se mets dans des situations incroyable, il faut dire qu'il a plutôt une curiosité maladive, combiner avec sa discrétion d'éléphant dans un magasin de porcelaine, le résultat est plutôt dangereux. Une chance que son visage angélique et son attitude d'enfant adorable fasse craquer les gens et que ça lui permette de se sortir de mauvaise passe. J'espère qu'il ne se métra pas dans un trop gros pétrin où ce un petit ange ne puisse s'échapper, remarque qui pourrait ne pas aimer un ange pareille ?"

Vision d'un habituer de la rose d'argent

"Tous ce que je peux te dire sur lui c'est qu'on ne connait pas grand chose sur lui, même les membres les plus ancien ici ne savent pas beaucoup plus de chose que ce qu'on peut lire de lui sur le net ou dans les journaux. Personne l'a jamais vue ici, je crois bien que dans tout Blaue Hunde la seul personne qui ne connaisse vraiment son identité ce soit la grande patronne. A chaque fois qu'il doit donner des consigne c'est pas le billet d'un automate mécanique. La seul chose que l'on connaisse de lui c'est sa voix et ses compétence à tuer. Ce n'est pas pour rien qu'il est notre lieutenant, il excelle dans son art. Ce que je sais de lui sur ça façon de procéder est se que j'ai entendu dans les couloir et se que la grande patronne à bien voulut nous dire sur lui. Il aurait à ce qu'il parait commencé très tôt à tuer, ses première cible aurait était des personnes prise au hasard pendant une période où il aurait vécu en chine, il aurait même tuer sa famille là bas. C'est d’ailleurs là bas qu'il a peaufiné son art de tuer, des moine de Shaolin eux même à ce qui paraitrait ; mais si tu veux mon avis c'est juste que des histoires à dormir debout. Qui aurais voulut d'un tueur assoiffé de sang comme lui là bas ?

Oui j'ai bien dit un tueur assoiffé de sang. Il n'exécute pas que des mission pour notre organisme, d’ailleurs tous les journaux en parle et tu as forcément lut quelques article sur lui. Notre lieutenant n'est autre que l'Angelleine's Mörder, c'est ainsi qu'il l'on nommés après ses premier meurtre à Berlin, un serial killeurs bien insaisissable depuis le temps qu'il lui court après. Ça doit pas être facile de dénicher un tueur qui frappe au hasard, n'importe qui peut être sa victime du jour au lendemain, il ne ferait aucune différence entre homme, femme et enfant. Il y a eu des survivant à ses attaque bien sur, mais impossible pour eux de fournir une quelconque information sur à quoi il ressemblerait. Tous ce qui l'on vue son mort, ceux qui on survécus ne se souvienne que de sa voix, c'est pour dire rien de plus que ce que nous savons sur lui.

Il n'est pas vraiment du genre très bavard, que se soit pour nous donner des information de façon assez froide et distant, ou avec ses victime a qui il n'a presque rien dit et quand ce fut le cas ses paroles étaient, à ce qui parait, terrifiante. Ils dise que quand il les a agressés, ils sentaient dans sa voix cet jouissance malsaine de les voir souffrir. Que chaque paroles qu'il a prononcé leurs donnait l'impression d'agoniser un peu plus, de se faire poignarder, leur sang se serrait glacé et se glacera surement encore quand il viendra finir son travaille. Les journaux en on parlé et c'est la pure vérité je te l'assure, ce gars et revenue tuer trois des personnes qu'il avait laissé envie la première fois.C'est un psychopathe qui ne vie que pour tuer. Les meurtre qu'on lui confit ici ne suffise même pas à combler son envie de meurtre. J'espère ne jamais être l'une de ses victime, rien que de l'entendre je n'ai pas envie de le connaitre plus je t'assure.Dans les couloir des rumeur circule comme quoi des membres de Blaue Hunde l'aurais vue, vue sa véritable identité...Et bien il les aurait tout bonnement éliminé de sang froid. C'est pas que j'ai tendance à croire les ouïe dire des couloirs, bien au contraire, mais cet rumeur là j'ai bien peur qu'elle soit vrai. Si tu veux un conseille de la part d'un vieux membres comme moi petit, ne cherche jamais à découvrir qui il est vraiment. Le voir signerait ton arrêt de mort..."

Information sur le lieutenant de Blaue Hunde par un ancien membre à un nouveau

"Notre sujet, le Angelleine's Mörder, se trouve faire partie des tueur en série, ce n'est pas un tueur de masse. Il ne s'en prendra pas à un groupe de personne et ne laissera derrière lui qu'une seul victime. Contrairement au tueur de masse qui chercherais à tuer le plus grand nombres de personnes en utilisant une armes à feu, lui est plus subtile. Chaque scène du crime est comme une œuvre d'art, il ne laisse rien au hasard et les peu d'indice que l'on peut trouvé en ses lieu pourrais incriminer plus des trois-quart de Londres. Cela doit être une personne avec assez de force physique, vue la carrure de certaine victime, et il doit avoir minimum vingt neuf ans, vue depuis combien de temps il tue sans s'être fait attraper. La méthode qu'il emplois pour tuer ses victimes démontre que c'est surement un homme et il y a des possibilité qu'il est déjà côtoyer ses victime avant de commettre son crime. Il n'y a aucun lien qui lie chacune de ses victimes entre elle, on dirait qu'il tape au hasard pour assouvir un besoin vital pour lui, le seul lien entre ses meurtre est la méthode qu'il emploi ; d'où d'ailleurs son surnom de "Tueur au fil de pêche" donnée par la presse, depuis le début de ses crimes.

Si je devait m'en tenir au tableau des différent tueur en série, érigé par Warren Wille en 1974 et A. Lee en 1988, je le désignerais comme un psychopathe dont les actes sont commis pour satisfaire un besoin de voir une victime envahi par la peur. Mais ce tueur est je doit dire plus complexe que cela à mon avis ; et je pense que c'est la raison pour la quel aucune autorité n'a encore put mettre la main dessus. c'est une personne intelligente qui ne laisse derrière qu'une victime et par fois du fil de pêche. Il prend toute ses précaution, le fil qu'il emplois pourrait avoir était acheté par n'importe qui dans un super marché du coin, de plus il arrive que l'on retrouve sur cette scène de crime du fil de pêche qui a servit pour plusieurs autres meurtre. Il attaque toujours ses victime dans une rue isolé de nuit, et ne leur laisse presque aucune chance.

Je confirme que ce tueur qui a tuer plusieurs Allemand à Berlin pendant prés de sept ans a surement déménagé pour une bonne raisons ici, et continue sa folie meurtrière dans nos rues. Prés de onze ans qu'il tue sans être pris et se joue de la police, c'est tout bonnement incroyable. De nombreux passionné suive son parcours de puis longtemps, des curieux, une véritable communauté qui suit ses "exploit" sur le net, à la télé et dans nos journaux. Cet personnes doit tirer une grande satisfaction de l'intérêt qu'on lui porte, cet intérêt a surement pris une place importante dans sa vie. Si un jours on le démasque, je ne serrais pas surpris qu'on retrouve chez lui des coupure de presse parlant de ses actions passés. Il fait partie des serial killer géographiquement stable, il n'aime pas changer ses habitude et doit surement vivre et travailler dans notre belle ville de Londre. Je ne suis pas sur qu'il vive de ses meurtre, ils semble les réaliser pour son propre itérer, il surement pas devoir répondre à une façon de tuer autre que la sienne.

Il y a un nom pour chaque chose et ses aussi le cas pour désigner les personne répondant à son profil psychologique, il fait partie indéniablement pour des "Thrill Killer". Il tue par ce qu'il en à besoin, besoin de ressentir le frisson de voir ses victimes agoniser lentement devant ses yeux par ses soins. " Un esprit peut-êrte mauvais sans être anormal", c'est une phrase qu'a dit Denis Nilsen une fois et je pense que c'est le cas du Angelleine's Mörder. Cela ne doit pas être une personne atteinte mentalement de trisomie ou quelconque handicape, c'est surement une personne comme vous est moi que vous côtoyez peut-être tout les jours, c'est ça qui fait de lui un être insaisissable et mystérieux. Les gens craigne ses personne là mais à la fois les admire. Peut-être un jours quelqu'un se ventera d'avoir connue le Angelleine's Mörder, mais pour le moment il est aussi invisible qu'un fantôme...

Pourquoi a t'il choisi ses victime et pas d'autre ? Je pense que ses personne on était au mauvais endroit au mauvais moment et que cela aurait put être n'importe qui. Quels risque l'agresseur a-t-il pris pour commettre ces actes ignoble ? Aucun. Il a pris toutes ses précaution, n'a laissé aucune trace que sa signature, la preuve en ai que l'on ignore tout bonnement qui il ai et qu'il est même possible qu'il ne soit pas tout à fait comme je l'ai décri. Ses victimes qui on eu la chance de survivre on dit qu'il ne parlait presque pas, mais peut-être est-il tout le contraire dans sa vie de monsieur tous le monde. Enfin peut-on dire que ce soit une chance de lui avoir survécu ? Les survivants de ses massacre vivront tout le reste de leurs vie avec la peur qu'il revienne finir ce qu'il avait commençait. Espérons que nous l'attraperons avant que ce ne soit le cas..."

Profil psychologique du Angelleine's Mörder par un profiler Anglais

"Une voix douce et chaleureuse commence à me parler, il dit être le tueur dont tous les journaux parle et en fuite. J'ai vraiment du mal à y croire, je doute fort qu'une personne a la voix aussi agréable puisse être cet assassin qui tue de sang froid dans nos rues depuis quatre ans. Je le laisse continuer même si cet personne se plais à se faire passer pour ce qu'il n'est pas je me doit de le laisser soulager sa conscience. Il continue à me parler me disant que se n'est pas la première fois qu'il vient se confesser et que ça lui ai vitale de savoir que dieu lui pardonne ses pêchés. Je lui dit de continuer prétend une oreille attentive à chaque mots qu'il prononce. Cela fait trois moi qu'il ne s'est pas confessé et il s'en excuse. Il m'avertis que cela risque d'être long et qu'il ne rentrera pas dans tout les détaille. Il semble perdu et à la fois si sur de lui, à chacune de ses parole. Il commence à me raconter une nuit où il aurait tuer une femme dans une des rues adjacente à Oxford.

J'en ai des sueur froide quand il commence à aborder les événement. Il me dit qu'il en peut pas s'en empêcher, qu'il ressent le besoin de tuer. Il me dit aussi qu'il adore ses moment ou son fil se resserre lentement sur la gorge de la personne qu'il a pris pour cible. Il ne la connaissait pas, mais c'était elle dont-il ressentait le besoin de voir souffrir. Il l'a vue une fois dans la rue en rentrant chez lui et a commençais à la surveiller. Non pour en savoir plus sur elle et pour resserrer ses lien sur elle et passer à l'attaque. Il continue à me décrire la longue agonie de cette femme, je pris pour que son âme est rejoins notre seigneur et soit en paix malgré ce qu'elle a subit. Puis une fois cette scène fini il me dit qu'au court de ses trois dernier mois il aurais tuer trois personne comme cela et deux autre qu'il c'est plut à laisser en vie de longues heures, les menant à l'agonie puis les laissant reprendre leurs souffre avant de reprendre. Qu'il aime faire des fois souffrir ses victimes pendant des heures. Il est rarement dérangé et prend donc son temps, la nuit peu de monde se balade dans les rues de Londres depuis son arrivé ici. Il me dit qu'il a conscience de la peur qu'il engendre au tour de lui quand il est l'Angelleine's Mörder, il aime savoir que les gens on peur de lui, mais préfère le voir dans leurs yeux quand leurs âmes quitte leurs enveloppe charnelle pour rejoindre notre père à tous. Il me décrit parfaitement le tueur sanglant qu'est l'Angelleine's Mörder ; je n'est plus de doute mon seigneur il est vraiment ce qu'il dit être... Puis il me dit qu'il a toujours était comme ça qu'il n'était pas ce "monstre" que décrit les journaux, qu'il est encore pire ; et je le crois.

Puis il aborde sa vie de tout les jours, je me surprend a sourire et a trouver se meurtrier bien sympathique. Il me raconte comment il est si différent de quand il tue, tout en me précisant bien qu'il n'est pas schizophrène, qu'il est juste lui. Que cet ange resté enfant et gaffeur est la même personne que le tueur, qu'il est ainsi et que ça lui plais. Il plaisante me racontant au milieu de son récit des blagues, c'est une personne très enjouer et qui aime plaisanté qui se dévoile à moi maintenant. Puis il me parle de ce qu'il fait dans la vie. Il se prostitue par plaisir, il m'avoue que si la luxure est un pêché il se trouve être le plus grand des pêcheurs. Après m'avoir parlé de ce côté de sa vie, il me parle de son autre moyen de vivre. Il me dit parfois effectuer des contrat, toujours pour le plaisir mais aussi pour vivre. Malgré que je n'est pas une grande estime pour les personnes prenant la vie d'autrui je me surprend a apprécier celui ci. Mon père pardonné moi de trouvé l'un de vos fils plaisant et de bonne compagnie malgré ce qu'il a fait.

Je me permet de lui demandé s'il ne pense pas que ce qu'il fait soit un acte malveillant. Il rigole légèrement à ma question, son rire et cristallin, malgré que je ne le vois pas je devine une belle personne que les gens se plaise à côtoyer tous les jours, tant qu'ils ne font pas partie de ses cibles. Il me répond qu'il ne pense pas faire du mal, qu'a chaque fois qu'il prend une vie, il prend une vie sur des milliard d'autre, que ce n'est presque rien. Il ne se vois pas faire du mal et ne ressent aucune pitié pour les personne qu'il tue. Il me dit qu'a chaque fois qu'il tue quelqu'un il prie pour que son âme rejoigne notre seigneur. Il semble avoir beaucoup d'estime pour les hommes de dieu comme je le suis. Il me remercie de l'avoir écouté et me dit qu'il ne pense pas que j'accepte de l'absoudre de ses pêchés. Je le retient lui disant qu'avouer ses faute c'est le début du pardon. Je l'absous de tous ses pêchés. Il reste silencieux un instant puis me remercie, me promettant de revenir se confesser plus régulièrement. Je sens dans sa voix de la joie, du soulagement, comme si cela lui était nécessaire de venir ici. Il quitte le confessionnal, mais je sais au font de moi qu'il reviendra souvent me voir..."

Confession de Gabriel à un homme de foi

Ambitions & Souhaits
Gabriel n'a pas vraiment d’ambition personnel avait dire, si ce n'est d'éliminer ses cibles et les éventuel personne qui s'en sont sortie. Rentre donc en compte dans sa liste sa patronne Lady Frau Blau qui par le passé a était une de ses cibles, et qui l'ai toujours. Il a d'ailleurs une listes de chaque personne éliminé et a éliminé. Après cela peut paraître surprenant et surement irréaliste, mais se cher Gabriel désire être papa. Il ne désire pas vraiment fonder une famille, juste avoir un enfant... Après c'est une personne qui vie au jour le jour, même quand il tue ; il tue quand il a besoin dans les jours qui suives.

Préférences & Relations

Quelques précisions
Orientation sexuelle : Homosexuel ukeeeeeee!! X)
Loisirs : Une phrase : "Sex, alcool and murder, what else ?"
Objet fétiche : Ses objets fétiches connues sont différent suivant s'il est assassin ou Gabriel. En temps qu'assassin son objet fétiche lui a valus son nom... du fil de pêche. Après en temps que Gabriel il est très attaché a ses grelots, il ne s'en sépare que très rarement.
Autre : Malgré qu'il sois totalement technophobe il utilise à chacun de ses meurtres un petit bijoux de la technologie : un changement de voix.

Situation Relationnelle
Bien qu'il ne sois pas schizophrène Louan possède des réputation assait différente suivant la personne à qui on a eu à faire. Gabriel est réputer pour être une personne très maladroite mais des plus adorable, le prostituer de la rose d'argent à se payer au moins une fois dans sa vie d'après les clients. A la rose elle même il est réputé pour être assez maladroit mais très serviable. "Une vrai pile électrique mais avec deux pieds gauches" d'après le dirigeant de la rose d'argent. Il est aussi connue pour être une personne toujours souriante, rare sont les moment où il ne sourie pas.
Après c'est une toute autre réputation qu'il c'est faite dans chaque foyer de Londres et au delà... Réputation d'un tueur à sang froid et insaisissable. Les réactions des gens à l'égare du Angelleine's Mörder sont divers et varier, peur, fascination, colère... Dans tout les cas les gens craigne ce nom sans visage.
Au sein de l'agence Blaue Hunde, le lieutenant est un personnage très mystérieux qu'il ne vos mieux pas chercher à rencontrer. Il est stricte et froid. Il a la réputation de tuer aussi bien ses ennemis que ses alliés quand ceux ci le vois, donc les gens ne connaisse qu'une voix.

Nom : Mayer
Prénom : Eymeric
Job : Décédé
Lien : Autre fois Louan était très attacher à celui ci, bien que ce ne sois pas son père biologique. Il est d'ailleurs aussi incompétent que lui en technologie. C'était un archéologue peu connue mais très assidue dans son travaille. Louan n'a plus aucun souvenir de lui comme de tout les autre membre de sa famille, pour lui il fait partie de son passé dont-il ne tien pas à se rappeler.

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Mamani

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Maman2

Nom : Mayer
Prénom : Othilie
Job : Décédé
Lien : La douceur et la beauté de Gabreil vient sans contestation de cette femme. µPour lui c'est la femme la plus douce et belle du monde, comme tout enfant dirait de ça mère. Quand il était petit il se considérait comme son chevalier protecteur. C'était une femme très faible physiquement. Elle fut le premier membre de sa famille qu'il tua ; pour la protéger...

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Soeur2

Nom : Mayer
Prénom : Alycia
Job : Décédé
Lien : L'opposé même de Louan, elle ressemblait beaucoup à sa mère, les même problèmes de santé. Pour Louan elle était aussi précieuse que sa mère, il les a aussi oublier toute les deux. Il était très lier à elle et devait être elle aussi protéger par lui des malveillance de ce monde...

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Maitre

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Maitre2

Nom : Xiāo
Prénom : Li Wei
Job : Moine Shaolin
Lien : C'est lui qui a pris soin de Louan pendant ses quatre ans d'apprentissage en temps que moine Shaolin. Louan et lui sont en froid depuis les premier meurtre de Gabriel. Le petit louan et Li Wei, voyaient le monde de la même façon ; mais depuis maintenant treize ans leurs avis diverge. C'est depuis ce temps là que Louan c'est tourné vers le catholicisme et que le vielle homme fait partie du passé.

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Bossso

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Boss2e

Nom / Prénom : Inconnue
Pseudonyme : Frau Blau
Job : Dirigeante de Blaue Hunde
Lien : La première fois que Angelleine's Mörder a rencontré Frau Blau, ça a finie dans un bain de sang. Celle si était presque intouchable et ce chère Gabriel a finie dans un sale état. Juste après son réveil celle ci l'invita a rejoindre les rang de Blaue Hunde en temps que lieutenant. Il accepta et depuis lors travaille pour elle. A chaque fois qu'il vient a devoir la rencontré il tente de la tuer, mais se rend toujours avant de risquer d'être blessé. C'est devenu un jeu entre eux, et bien sur celle ci figure sur sa liste des personnes a éliminer.

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Reseaue

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Reseau2

Nom : O'Neil
Prénom : Zachary
Job : Gérant de la rose d'argent
Lien : Gabriel connais cette personne vite fait. Il bosse pour lui depuis son arrivé en Angletaire avec le Blaue Hunde. Quand celui ci lui demande de l'aide il est rare que Gabriel refuse.

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Prtre2

Nom : Inconnue
Prénom : Père William
Job : Prêtre
Lien : C'est le seul a bien avoir voulut l'absoudre de ses pêché et qui le fait à chaque fois. C'est actuellement la seul personne envers qui Gabriel serrait prés a donné sa vie et le seul a connaitre la totalité de son caractère, bien que celui ci ignore a quoi il ressemble. C'est son ami, son confident. Il se plait par fois a parler de tout et de rien avec lui pendant sa confession.

Nom : Aucun
Prénom : Aucun
Job : Faire tourner le monde
Lien : Pour Louan, celui ci l'a créé pour accomplie tous ses meurtre. Il est aussi important que le père William, même plus, dans ça vie actuel. Il accomplie la mission que celui ci lui a confié. C'est une personne très croyante qui a interprété la bible à sa façon.

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Jouet2

Nom : Wolff
Prénom : Karl
Job : Commissaire principale à Londres
Lien : Il a était et est toujours charger de l'enquête au tour du Angelleine's Mörder, et cherche à l'attraper depuis son arrivé en Angletaire. Il ne démordra pas jusqu'à ce qu'il l'est mener devant les tribunaux et condamné. Il se refuse de le tuer, voulant que celui ci réponde de ses crime. Angelleine's Mörder se plait a se jouer de lui et a le narguer après chaque crime au téléphone ou sur un petit magnétophone envoyé par la poste. C'est son jouet et il est souvent au courent de l'avancement de l'enquête de celui ci ; et accessoirement de ses habitudes. Il a même déjà déposé plusieurs magnétophones directement chez lui.

Nom : Greenford
Prénom : Marvin
Job : Membre de la rose d'argent / Informateur
Lien : Pour Gabriel le lien qui le lie à cette personne est très simple et consiste en : "Je donne des sous il me donne des câlins ♥ ". Étant très quémandeur d'affection manquante dans sa vie il s'est très vite attacher à cette personne. Une personne qui n'as aucune notion de l'argent comme ce chère Gaby est près à donné tout ce qu'il a sur lui pour un simple geste affectif, même intéressé.

Gabriel : " I'm so Carpe Diem ♥ " Amorzt

Nom : (en attente du joueur)
Prénom : (en attente du joueur)
Job : Membre de la RVJ
Lien : Cet personne a sue se créer une place importante dans la vie, l'esprit et le coeur de Gabriel. Ca a été son premier compagnon. Malgrés que Gabriel se soit attaqué à lui en cherchant à le tuer, les apparence son trompeuse. Si celui ci la laissé en vie c'est pour presque la même raison que celle qui l'as poussé à le plonger dans le coma : l'amour. Tuer, protéger celui qu'on aime de soi et de l'organisation que l'on sert...

Biographie

Passé
La vie de Louan Mayer 1989/1995
(de 5 à 11 ans)

"Cette mutation est finalement une bonne chose. Au début je craniais que ce là affecte ma famille, mais le poste était tellement important à mes yeux qu'ils m'ont poussaient à accepter. C'est une chance unique que de pouvoir travailler sur des fouille aussi interressante. Mais je m'en suis tout de même voulut, d'un côté même s'ils étaient consentant, c'est mon entousiasme à se projet qui les à poussé à me suivre. Othilie c'est très vite adapté, même encore plus vite que moi à notre nouveau lieu de vie, mais notre fils Louan a eu beaucoup de problème à prendre ses repère dans se monde tout nouveau pour lui. Il faut dire que ce ne doit pas être très facile pour un enfant de se faire des nouveaux amis dans un pays dont on ne connais pas la langue. Je me fais du soucie pour lui encore maintenant, il ne passe presque jamais de temps avec les enfant de son age, ou plutôt il reste toujours avec moi s'éloignant des éventuel enfants qui chercheraient à avoir un premier contacte avec lui.

Quand il n'ai pas dans un trou réalisé pour les fouille à me regarder travaillé, il est avec sa mère. C'est un drôle de petit bonhomme que nous avons fait là Othilie et moi. Silencieux, mais possaidant le courage d'un tigre comme dise les moine du monastère en parlant de lui. C'est vrai qu'il n'a peur de rien, les serpent ne l'effraye pas alors que moi je suis totalement tétanisé. Il les attrape même avec les mains pour les éloigner quand ceux ci se trouve trop proche du lieu ou je me trouve, comme inconcient du danger qu'il en cours si l'un d'eux se retournait contre lui. Quand on lui demande pourquoi il passe au temps de temps à regarder Othilie sans rien faire d'autre au lieu d'allez jouer comme tous enfant de son age, il répond simplement qu'il doit la protéger. D'un côté ça nous fait sourir sur tout depuis qu'on lui a apris qu'il allait bientôt avoir une petite soeur. Plus quelque mois à attendre."

Extrait du journal de Eymeric Mayer, 3 Mai 1990

"Le grand jours est enfin arrivé, notre famille compte un nouveau membre. La petite Alycia Mayer est née hier soir vers les 22H, Louan n'a pas osé la prendre dans ses bras, surement de peur de la faire tombé. Mais il n'a d'yeux que pour ce petit bout de choux, Je suis le plus heureux des pères."

Extrait du journal de Eymeric Mayer, 24 Août 1990

"Plus de six mois que la petite est née et que Louan ne la quitte jamais plus de cinq minute des yeux. La fois où Othilie est allez faire les cours avec elle sans l'en avertir, il a disparu presque toute la journée. Nous nous somme fait un sang d'encre. J'ai dut abandoné mes fouille pour le chercher tellement ma femme était inquiette. C'est finalement un vieux moine du nom de Li Wei Xião qui l'a ramené épuisé une fois la nuit tombé. D'après Mr Xião, Louan aurait cherché sa soeur par tout dans le village et dans la forêt, une chance qu'il ne lui soit rien arrivé.

Par la suite nous avons beaucoup vue Mr Xião, le vielle homme semblait s'interresser fortement à notre fils. D'ailleur ils ont commençaient à passer beaucoup de temps ensemble, Louan ne fréquenté plus que nous ce qui d'un côté nous soulager beaucoup ma femme et moi même. Mais c'est encore très difficile, il faut dire que le voir fréquenter d'autre personne est un soulagement certe mais le problème est qu'il ne fréquente aucun jeune de son age. Celà fait tout de même plus d'un ans que nous somme instalé ici mais rien y fait comme s'il ne voulait pas s'intégrer. Certe il n'avait pas vraiment d'amis à Magdebourg mais ça commence à nous inquiéter de ne jamais le voir jouer avec les enfant du quartier.

Il y a quelques jours de celà Mr Xião est venue nous proposé une éventuel solution que Louan n'a pas rejeté pour le moment. Suite au discution avec chaqu'un d'entre nous il est venu à nous proposé de prendre Louan avec lui pour lui dans le monastère au dessus du village. Peut-être que ce serrait une bonne chose, il semble être très interraissé par tous se que dit Mr Xião et curieux. De plus il serrait pris en charge avec d'autre enfant plus ou moins agés que lui et cet apprentissage pourait l'ouvrir au autre à ce que nous a dit le viel homme. Nous allons surment accepter cet proposition, si bien sur Louan est d'accord pour s'éloigner de nous quelques années..."

Extrait du journal de Eymeric Mayer, 12 Mars 1991

"Mon vielle ami les parent du jeune garçon dont je t'avais parlé dans ma précédente lettre me l'on confié il y a de cela quelques jours. Comme je le pensais il apprend très vite, c'est un enfant intelligent et qui s'intéresse de tous. Les premiers jours de son arrivé on était difficile, il nous a était difficile de l'aider à s'intégrer, c'est pour cela que je n'ai pus t'écrire plus tôt. Il était très proche de sa famille ne plus être en contacte avec eux aussi soudainement à était un choque pour lui, bien qu'il en avait était avertie. Il s'est montré très instable pendant de nombreuse heure répartit dans la journée, il était difficile de le calmer. On aurait dit qu'un dragon furieux s'était introduit dans son corps. Il se mettait à taper partout cherchant à se blesser, provoquant de nombreux dégâts au monastère. A la suite de sa première crise je lui est demandé pourquoi il réagissait comme cela, ça réponse m'a un peu déstabilisé j’avoue. Il m'a dit qu'il cherché à se punir pour avoir fait passé ses désir personnel avant le bien de sa famille, qu'il avait choisi de ne plus les protéger pour apprendre et que pour cela il devait se punir. Cela a était difficile de lui faire comprendre qu'il n'avait rien fait de mal. Nous avons finalement réussi à lui faire se calmer, ses crise on commençaient à se faire moins violente, pour finir par disparaitre, le dragon s'en ai allez se rendormir.

Son évolution après cela a était plutôt impressionnante. Il s’intéresse beaucoup aux différent art que l'on apprend au jeune de son age, mais il ne se mêle toujours pas au autres jeune outre mesure. Par fois on le surprend à observer les plus âgés s'exercer. Il manque encore un peux d'endurance, ce qui est normale vue sa récente arrivé, mais il est persévérant et se plis sans rechigner au six heure d'entrainement en plein air habituel. Je pense qu'il pourrais allez loin, il boit nos paroles avec attention, posant par fois des questions. Mais il a encore beaucoup à apprendre notamment à s'ouvrir au autre et à se mêler à eux, mais je ne me fait pas de soucie sur ça. Te rappel-tu de l'enfant du village de Chuandixia ? Cet enfant est très épanouie et il semble s'intéresser au petit nouveau. Je suis allez le voir hier après avoir constater qu'il passé beaucoup de temps assis à rien dire près du jeune étranger ou à le suivre en silence. Il m'a dit qu'il l'intrigué et qu'il voulait le connaitre plus mais que le seul moyen qu'il a trouvé pour se rapproché de lui et de le suivre à distance raisonnable comme on apprivoiserait un tigre. Pour le moment il ne l'a pas repoussé, il s'est contenté de le regarder d'un regard noir les trois premier jours, mais cet méthode semble porter petit à petit ses fruit.

Je te donnerais des nouvelles de son évolutions mon vielle ami. Porte toi bien. Xião"

Lettre de Li Wei Xião à un ami, Avril 1991

"Mon vielle ami. Cela fait maintenant un an que Louan est arrivé, et comme je te l'ai dit dans mes dernière lettres il a bien évoluer. Wan-lu et lui sont presque inséparable, sauf quand Louan disparait. C'est de plus en plus fréquend ses temps si et ça commence à nous inquiéter, il part sans rien dire pendant de longues heures. Quand il disparait en fin de soirée on ne le revois pas avant le lendemain matin, toujours juste avant le début de l'entrainement. Je suis allez voir ses parent recemment pensant le trouver labas pendant l'une de ses nombreuse absence, mais il semble que ce ne soit pas chez eux qu'il se rend...Le lieu où il se rend reste pour chaqu'un d'entre nous encore un grand mystère. L'un de ses maître à essayer de lui faire dire où il se rendais mais l'enfant a préferer rester dans son mutisme, l'ignorant totalement. Mais je suis inquiet de nouveau mon ami, par les propos Wan-Lu sur Louan. Il m'a compté qu'il y a de cela quelques soir celui ci présentais des marque innabituel dans le dos et que cela n'était pas la première fois. Quand j'ai demandé au jeune étranger de venir me voir et de me montrer son dos je n'y ai vue aucune marque. C'est assez étrange car l'enfant de Chuandixia ne fait pas partie des jeune homme a compter des histoire pour s'amuser sur tout des histoire aussi grave. Louan ne veux pas me parler, lui qui c'est plus ouvers depuis son arrivé pourtant je suis assez surpris par se changement.

Tu me vois inquiet mon ami en se jour, Loan est un enfant débrouillard et très intéligent comme tu as du le comprendre avec mes dernieres lettres mais son mutisme ne me rasure guerre. Il est aussi moins assidu dans les entrènement évitant d'assister à certain d'entre eux. J'ai le sentiment que quelque chose de grave est arriver et arrive toujour, mais faute de preuve et s'il ne se decide pas à m'expliquer ce qui se passe je ne pourais malheureusement pas agire. Je pris tout les jours pour que ça sarange mais je dois avouer mon ami que c'est bien la première fois que j'ai si peu d'espoire en celle ci.

J'attendrais avec impatience ta visite mon vielle ami. Xião."

Lettre de Li Wei Xião à un ami, Février 1992

"J'étais là, j'ai tout vue, mais je ne dirais rien. Rien sur ma présence à se moment là, rien sur la joie que j'ai éprouvé en le voyant pousser son dernier soupir et le rôle que j'ai jouer dans cette mort. J'étais là comme à mon habitude, prés de cette mère et ses petit, j'ai mis beaucoup de temps a me faire accepter au sein de la petite famille mais les observer m'a beaucoup appris. Je crois bien que la tigresse n'a guère apprécier la façon d’agir de mon bourreau envers moi, il a était trop brusque et trop prés, il n'a pas eu le temps de réagir. J'étais là, jouant calmement, évitant les coup de patte de ses petits, il n'aurais pas du apparaitre aussi brusquement et encore moins insister. Pour lui échapper je me suis relevais et me suis enfuit le plus vite possible, le plus loin de lui...

J'ai crue que j'étais à l’abri, cacher en hauteur dans mon arbres. Mais il m'a rattraper et a essayer de me ramenez au monastère. Je voulais pas...J'avais peur...J'ai crié, je lui ai crié de me lâcher, mes joue on commençait à devenir humide. Puis plus rien il ne tirait plus mon bras et à commencer à hurler, j'en ai profiter pour allez me cacher dans un des buisson près de là ; et j'ai observé. Celle qui l'a fait me lâcher est bien la plus belle, elle est douce et protectrice et elle tient parfaitement son rôle de mère. Tout ce temps que j'ai passé à l'observer de loin puis de plus en plus près ma permis d'intégrer sa petite famille si l'on puis dire. Et face à cette étranger qu'a était maître Shen qui me menacé elle n'as pas mis longtemps à réagir, agissant comme si la vie d'un de ses propres enfant était menacé. Elle a était rapide et précise, attrapant le coup de l’intrus et s'écoulant de tous son poids sur le reste de son corps, aucune retraite ne lui a était possible. Elle a doucement resserrer sa prise sur celui ci l’étouffant de plus en plus, laissant son sang se répandre doucement sur son magnifique pelage tigré.

Elle c'est relevais lentement, une fois l’intrus mis hors d'état de nuire, puis elle s'est rapprocher de moi lentement. Je l'ai regarder droit dans les yeux, toute crainte disparue, comme effacer par la scène qui venait de se dérouler devant mes yeux, j'étais de nouveau en paix et en sécurité. Un jours moi aussi je pourrais protéger ma famille comme elle m'as protéger..."

Extrait du journal de Louan Mayer, 13 Juin 1993

"Je me sent comme libérer d'un poids qu'il me semble avoir porter pendant des années. Il fait sombre, mes main et mes vêtement sont encore recouvert de sang, de leurs sangs, mais qu'importe je sais qu'il sont enfin à l’abri. Je sais que je les ai enfin protégé comme cette tigresse il y a de cela deux ans. Je sourie, cela fait tellement longtemps que je n'avais était heureux et n'avait sourie comme ça. Moi qui avais toujours eu l’impression de les avoir abandonné, qui ai toujours étais persuader d'avoir fait passé mon bonheur avant celui des autre, me voilà enfin soulager. Je suis sur maintenant d'avoir bien agit, toutes ses années à suivre les conseille des moines du temples, toute ses années passé loin d'eux et se temps passé à apprendre la vie au près d'elle a enfin porter ses fruits. J'ai enfin put les protéger de tout se mal et ses horreur qui salisse se monde. Ils sont là à côté de moi pendant que je griffonne ses dernier mots sur se journal, ma sœur n'a jamais était aussi jolie avec cette jolie robe rose que je lui ai offert pour ses cinq an, elle va en faire tourner des tête. Ma mère, je ne l'ai jamais vue aussi sereine ses dernier temps, le mal qui la ronger depuis plusieurs années ne c'est pas calmer avec le temps, déformant de plus en plus régulièrement son magnifique visage, mais elle m'as sourie et elle me sourie encore, je savais que c'était un ange. Mon père lui n'as pas compris, il a dit que j'étais un monstre... Quand il m'a regarder j'ai eu l'impression de le revoir "lui" quand il est venue m'enlever à Xiwangmu. Comme elle je ne lui ai pas laisser le temps de s'en prendre au être le plus chère à mon cœur.

Mais pourquoi ? Pourquoi cette homme qui se disait mon père à t-il eu un regard aussi méprisant envers moi ?

Je crois avoir trouvé la réponse. Son seul but était bien le même que celui de maître Shen, m'éloigner des être que j'aime, m’empêcher de les protéger et les garder pour lui. Mais maintenant tout est fini. Je les ai protéger et elles sont maintenant en sureté, Xiwangmu veillera sur elles comme elle a veillé sur moi pendant toutes ses années. J'ai l'esprit en paix. Je sais se qu'il me reste a faire, je me doit d'être présentable, me laver et continuer ma route. Si je suis toujours là cela doit être pour une bonne raisons et je dois trouver la quel. Maître Li Wei m'a expliquer que des fois Bouddha choisissait sur terre des humains comme lui et moi pour le représenter, il a toujours dit que c'était lui qui avait décider de faire de moi ce que je suis. J'y ai beaucoup crue au début mais je commence à douté que ce soit lui qui est décidé de mettre sur ma route Xiwangmu. Je dois découvrir par moi même qui c'est et pourquoi. Mais pour le moment je suis fatiguer après avoir bruler se journal, je disparaitrais comme je l'ai toujours fais."

Extrait du journal de Louan Mayer, 17 Septembre 1995

Biographie suite

Un long séjour chez ses racines 2003/2007
(de 19 à 23 ans)

Cela fait maintenant deux heure que l'avion a pris son envol de Pekin et avec lui un nouveau départ s'offre à moi. J'ai pris un billet simple pour Berlin, ma ville natal, je laisse derrière moi quatorze an de vie. Je ne regrette pas ma décision de quitter la chine, mes souvenir sont encore trop présent là bas malgré qu'il se soit estomper avec le temps. Trois visage de plus en plus inconnue sur une photos, trois personne posant tout sourire, les souvenir d'une famille heureuse je crois. Mais tous ça est bien loin maintenant. Ses dernière année quelque chose me poussait de plus en plus vers se choix que j'ai fait de quitter la chine. Je ne regrette rien, je suis le chemin qu'il semble avoir choisi pour moi. Cela va faire maintenant trois ans que je me suis fâcher avec maître Xião, il n’approuvais pas ma façon de vivre et n'a pas arrêtait de me rabâcher que je ne suis pas entrain de suivre le bon chemin. Je ne suis pas d'accord avec lui, pourquoi ne suivrais-je pas le bon chemin alors que je suis temps attirer vers celui ci. Cela ne sert à rien d'y repenser, la distance m'aidera a oublier ce passage de ma vie, comme tous les autres d'ailleurs...

Le voyage est long on peut dire qu'a part dormir et griffonner ma vie sur se stupide cahier je n'ai pas grand chose a faire pour le moment. Je ne sais plus vraiment pourquoi je me suis mis à écrire sur ses feuilles blanche, je ne me rappel plus non plus quand j'ai commençais à le faire. Mais il faut croire que c'est devenu une habitude chez moi, je continue d'écrire et de bruler derrière moi mes anciens journaux, comme si par cette acte je faisais disparaitre le passé, l'effaçant à jamais ne laissant de lui derrière moi que des centre froide s'envoler au grès du vent. J'arriverais bientôt à la fin de celui ci, quelques page à griffonner d'encre noir et ce serra le commencement d'un nouveau cahier et la fin de mon passé.

Une fois arrivée à Berlin je dois me rendre dans une des agence près de là pour récupérer les clefs de mon nouveau logis. Je me suis enfin décidé à me fixer quelque par, laissant derière moi le sac de voyage, cherchant une nouvelle stabilité dans ma vie. Il faut croire que les voyage commence à me lacer. J'ai mis pamal d'argent de côté depuis le temps, suffisamment pour avoir le temps de trouver un nouveau travaille dans ce pays qui m'ouvre ses portes. mais pour l'heure un peu de repos ne me ferrait pas de mal, avec le décalage horaire je risque de mettre un peu de temps à m’habituer à ce changement d'heure.

Extrait du journal de Louan Mayer, 28 Décembre 2003

Cela va bientôt faire un mois que je vie à Berlin et je commence à me sentir comme chez moi. C'est première ligne de mon journal marque le véritable commencement de ma vie ici, comme le travaille que je viens de trouver. Travailler dans un night-club ne m'a jamais déranger, c'est une expérience plutôt à mon goût, j'ai déjà travailler dans ce genre de lieu, il faut dire que j'ai l'apparence pour. Le gérant m'a pris pour une jeune demoiselle quand je suis venue me présenter pour le poste de danseur qu'il proposait. J'ai encore beaucoup à apprendre dans ce lieu.

Deux des danseurs sont venue à ma rencontre dès mon premier jour. Kathia et Vladimir Kurski, ils se sont rencontré dans ce night-club, dans leurs bouche le striptease prend toute son importance, devenant un art interdit et sensuel. Ils ont trouver que j'étais trop moi même quand je me présenter. Kathia est impressionnant, on dirait une toute autre femme quand elle se présente à un inconnue, c'est une toute autre personne que la Kathia que je côtoyais. Entreprenante et sauvage sur scène, si je ne l'avait pas vue de mes propre yeux je n'aurais jamais imaginé que se soit la même jeune femme timide et sensible qui m’apprend à différencier ma vie priver du travail. Tendit que elle m'accorde un peu de son temps libre pour m'aider à me créer une toute autre identité, Vladimir m'apprend à séduire, il ne s'agit pas que d'être attirent et de se trémousser sur scène pour attirer la clientèle, il s'agit de l'envouter par des mouvement provocateur mais à la fois ne pas allez trop loin.

A côté je sort pas mal, avec eux comme seul. Quand je sort seul mes sortie on un bût bien différent de celle passé en leurs compagnie. Je n'ai jamais eu au temps de possibilité qu'ici pour développé cet art dans le quel j’excelle. Je n'ai encore rien tenter, il faut dire que le jeu est plus intéressant. Si en Chine il était facile de tisser une toile et de disparaitre sans laisser la possibilité au autorité de me retrouver, ici le chalenge et de plus grande taille. On ne fait pas de distinction, la mort de quelqu'un est dans tous les cas sévèrement punie, de plus il est rare que les gens reste seul longtemps. Il va falloir être plus prudent et laisser le moins de trace possible. Ils se donne les moyen d'attraper les gens comme moi, je suis apparemment classer avec eux : "les assassins". Même si les raisons qui me pousse à faire ça me classe apparemment dans la catégorie de ses psychopathe, je n'ai gère la même vision qu'eux. Si c'est ce qu'il attend de moi je le ferais, pour lui je me ferais discret et insaisissable.

Extrait du journal de Louan Mayer, 21 Janvier 2004

Kathie et Vladimir m'ont récemment demander de choisir un pseudonyme pour le travail, donné un nom a cette nouvelle identité que je me suis créé avec leurs aides. Gabriel...

Extrait du journal de Louan Mayer, 25 Février 2004

Six mois d'investigation, des centaine d'euros de recherche pour coincer ce malade qui fait la une de tous les journaux depuis autant de temps. Dire qu'au début quand nous avons trouver les premier cadavre on pensait à des règlement de compte entre gang et voilà que le département nous envois un profiler. Je me demande bien se que cet homme pourra nous apprendre de plus sur ce monstre. On possède tellement peu d'indice sur lui, le rapprochement entre tous ses meurtre qu'il a déjà commis n'ont put être rapprocher simplement parce que c'était le même mode opératoire. Trop peu de preuve tant de suspect possible, sur une ville aussi vaste que Berlin c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin.

On a bien crue l'avoir attraper il y a de cela quelques semaines, mais ce n'était qu'un pâle imitateur comme l'Angelleine's Mörder nous l'avait dit. Il a sut nous en donner la peuvent, je soupçonne même que ce soit lui qui nous ai mener jusqu’à lui. J'ignore à quoi il pensait en nous livrant cette individu sur un plateau d'argent, mais je doute fort que se soit simplement pour se débarrasser d'une personne gênante si non celui ci aurait surement fini comme tous les autres. J'espère que son attitude joueuse continuera et nous permettra de le placer en état d'arrestation dans peu de temps, si non j'ai bien peur que les cadavres s’empile à la morgue. Si seulement il pouvait nous laisser plus d'indice qu'un simple bout de fil de pèche ensanglanté et des messages audio dont-on ne peut rien tirer pour le moment. Il se joue de nous et semble en plus y prendre goût, comme si tous cela n'était qu'un jeu... S'il pense comme ça, sa confirmerait encore plus que c'est un monstre sans sentiment...

Rapport du commissaire Fehrenbach, Mercredi 19 Novembre 2004, 10:37 am

Je me demande qui est le plus cinglé des deux, le tueur ou le profiler. Ma fois l'expérience a était comment dire......instructive. Je doute fort que l'Angelleine's Mörder s'attaque à n'importe qui, en tout cas j'espère fort que ce fichu profiler nous est fait un mauvais profil si non je ne vois pas trop comment nous pourrions l'arrêter...

Je me demande bien comment réagirait ce tueur en apprenant que certain d'entre nous le considère comme un simple maniaque. Je pense que sa façon de procéder est plus complexe, mais comme l'a fait remarquer ce chère "monsieur Pöpfer", chacun son métier. Lui, il raconte ses connerie et pendant ce temps là moi je cherche a mettre se fou derrière les barreaux. Au moins la journée n'arrive pas qu'avec des mauvaise nouvelle, comme l'incompétence de cet homme. Des unité très prometteuse on rejoint notre équipe pour l'arrêter. Il était temps que le département prenne cet assassin plus au sérieux et nous envois des renforts.

Pour ne pas arranger les chose il semblerais qu'un des membre de notre équipe donne des info a ses sale rappasse de journaliste sur l'affaire. Comme si la population n'était pas assez effrayer par tous ses meurtre il faut encore qu'elles raconte que nous n'avons toujours aucune piste et que le tueur nous nargue. Je commence à comprendre qu'il puisse avoir envie de tuer des gens face à ce genres de personne. Heureusement pour moi que ses rapport ne sont pas lut si non je serrais bon pour la mise à pied.

Rapport du commissaire Fehrenbach, Mercredi 19 Novembre 2004, 06:24 pm

Cela fait maintenant deux ans qu'il tue sans le moindre ennuie. Malgré toutes les personnes qui ont travaillé sans relâche sur ses meurtre, après deux ans d’enquête il ne nous a pas laisser plus de preuve pouvant nous mener à lui. Il ne laisse rien derrière lui à par le corps de sa victime et de temps à autre un bout de file de pèche, même se file ne nous a mener nul part, un file banale acheter dans un magasin quelconque, bref rien...Pas un seul indice laisser derrière lui, ça en devient affligeant. Mais comme on dit tout à une fin, le temps de la retraite est arriver pour moi. Il semble que je ne résoudrais jamais le mystère de l'Angelleine's Mörder. J'espère que la nouvelle génération obtiendra plus de résultat que moi.

Je ne sais pas comment il l'a appris, mais cet assassin a appris pour ma fin de carrière. D’ailleurs j'ignore comment il a fait mais il a déposer sur mon bureau une cassette me souhaitant une bonne retraite, ainsi que la suite de la série de livre que je lis depuis quelques temps.Finalement il semblerait que cette assassin sans cœur en ai finalement un. Je ne laisserais pas cette cassette derrière moi, je sais pertinemment qu'on n'en tirera rien comme toutes les autre d’ailleurs... Je dois avouer que je comprend que plusieurs personne soit passionné par ce mystérieux assassin, je pense que je continuerais a suivre cette affaire encore longtemps après mon départ.

Rapport du commissaire Fehrenbach, Mardi 19 Avril 2006, 05:11 pm

La nuit est tombé vraiment lentement ce soir. Cela fait maintenant un moment que je suis cette personne à travers les rues, ces hommes ne semble pas vouloirs s'éloigner plus que cela d'elle, ce n'est pas grave je passerais pour une fois outre. Cela bien trop longtemps que je l'observe discrètement, je ne pourrais pas plus attendre l'envie de passer mon file au tour de sont coup fin se fait bien trop pressent maintenant. Trois hommes de moins en se monde ne feront pas grande différence. Je sent un sourire se former sur mon visage. Je connais bien ses ruelles depuis quelque temps, ma proie c'est pas mal déplacé dans se quartier pendant que je la filais et il se trouve que la rue qu'elle est entrain d'emprunter n'est presque jamais fréquenter. L'endroit idéal. Je pressais le pas à leurs suite discrètement deux file prés à servir. Une fois engager dans la longue ruelle faire marche arrière était devenue impossible, pour moi comme pour eux... D'un geste rapide et précis je fit passer mes files au dessus de barres de métal prévus pour des sortie de secours, des grand immeuble qui se dressaient de chaque côté de cette ruelle sombre. J’avançais un peu plus vite rattrapent les deux bille en plomb accrocher à leurs embout avant de les lancer en direction des deux homme l’accompagnant. Pendant que ceux si s'enrouler au tour de leurs coup, les prenant de court leurs laissant juste le temps de se demander ce qui se passait, je fit un bond en arrière attrapant les bout opposer et tirant en arrière avant le les enrouler au tour d'une des tuyauterie qui dépasser du mur à ma droite. Je n'ai pas assez de force pour les retenir mais celle ci est bien suffisante pour les insister à se placer sous les échafaudage de métal. Plus ils se débattrons plus leurs mort serra rapide et douloureuse.

J'ai toujours aimer voir mes victimes suffoquer un peu plus cherchant désespérément un peu de se précieux air qui les maintienne en vies. Ce spectacle fait toujours monté en moi une vague de plaisir incontrôlable, mais pour l'heure je ne prête plus vraiment attention au deux hommes qui agonise doucement. Le temps est comme figer, ces pingouins peuvent bouger tant qu'il veulent il n'ont plus la moindre importance, il n'y a plus que nous deux. Je la vois sourire, je pense qu'elle m'avait repérer depuis un moment, c'est a se demander si c'est elle qui est tomber dans ma toile ou si ce n'est pas plutôt moi qui suis venue délibérément dans la sienne. Elle me fait signe de m'avancer, je suis restais dans l'obscurité jusqu'à lors gardant mon identité encore un peu secrète pour si jamais, mais il semblerait que ça n'est plus vraiment d'importance. Je sourie à mon tour m'avançant, me dévoilant un peu plus à la lueur du réverbère qui trône au bout de la rue. Une pale lueur certes, mais bien suffisante pour que ma future victime puisse distinguer mes traits. Je me stoppe à une distance suffisamment raisonnable, mieux vaut jouer la carte de la prudence, j'ai comme le pressentiment que cette personne est loin d'être la même que j'ai pus observer jusqu'à lors.

Cela fait quelques minute que nous nous regardons en chien de faïence. Aucun d'entre nous n'a encore lancer les hostilités, ne sachant pas vraiment a qui nous avons affaire. Pour une fois je suis hésitant, c'est bien la première fois que l'on me fait face comme ça, ne cherchant ni à fuite, ni à m'attaquer le premier pour se défendre. Ma proie, qui semble vouloir devenir le chasseur, reste là sans bouger, un bout de tuyauterie dans la main ramasser surement au sol pendant un moment d’inattention de ma part. Quand à moi je n'ai pas bouger non plus, une de mes mains porter au niveau de mon coup tenant entre mes doigts le petit bout de métal au bout d'un de mes fil. L'impatience commence à prendre le dessus, je le sens. Je ne supporterais pas beaucoup plus longtemps de rester inactif, le risque de me faire prendre, entrain de commettre un acte sanctionnable par la loi humaine, est entrain de s'agrandir.

Je fini par prendre l’initiative, l'attente devenant vraiment trop longue, je ne peu risquer de rester bien plus longtemps ici. Je commençai à m'élancer, celle si riposta rapidement quand j'entrais a porter de son arme de circonstance, elle semble plutôt prévisible et finalement pas plus différente des autres. J'évitais son coup cherchant par la même occasion à enrouler mon fille au tour de son poignet, écartant ainsi la possibilité de me prendre un coup si elle venait à vouloir riposter à nouveau. Mais je semblais avoir sous estimer ma proie, car celle-ci déplaça son bras au même moment d'un mouvement rapide, faisant enrouler de se faite mon fil au tour du tube en métal. Je fut surpris un cours instant, suffisamment de temps apparemment pour qu'elle m’assène à son tour un coup dans le thorax. Je sentie une douleur violente me submerger sur mon côté gauche, me laissant un court instant le souffle coupé. Je m'éloignais rapidement de ma victime, devenue chasseur, cherchant à reprendre mon souffle tout en grimaçant de douleur. Elle me regarde de haut souriant de fierté, aucun son n'est sortie de ma bouche quand son coup à atteint sa cible, mais elle a pourtant se sourire, me faisant me sentir faible face à elle.

Mais je me reprend petit à petit, ce sourire m'aide malgré tout à me redresse et à refaire fasse à elle. Si elle me croit désarmer simplement parce que mon fil est rester enrouler au tour de son arme, elle se trompe lourdement. Je porte mes main au niveau des ruban qui me serve à retenir deux de mes longues mèches à l'avant. Tirant légèrement vers le bas je fais glisser doucement sur eux deux nouveaux fil. Je me retient de grimacer sous la douleurs que chacun de mes mouvement créé dans mon thorax. Chaque respiration est douloureuse, nul doute que cette proie m'est briser des côtes, mais lui montrer ma douleur ne ferait qu'amplifier sa fierté, donc je me retiens de grimacer et essaye d’agir comme si de rien été. Ce n'est pas la première fois que je fait semblant de ne rien sentir comme douleurs, j'ai appris à ne rien laisser paraitre... Cette fois c'est elle qui semble prendre les devant s'avançant rapidement vers moi, je me décale cette fois évitant de justesse un coup a fendre le crâne en deux, mais elle ne tarde pas non plus à faire dévier le bout de métal à nouveau dans ma direction. J'attrape l'un de mes deux fil, l'enroulant légèrement au tour des doigt de mon autre main. Je le tend rapidement entre moi et le tuyau, un bout dans chaque main, accueille celui ci en son centre. D'un geste rapide je croise les deux embout, coinçant le bout de fer rouiller. Le fil enrouler autour de mes doigt fin combiner avec la force du coup m'entaille légèrement la peau, laissant quelques perles de sang s’échapper de mes mains et allaient s'écraser au sol. Je me déplace sur le côté, m'aidant de mon poids pour attirer l’objet vers le sol et ainsi désarmer cette proie résistante. Je réussi à la faire lâcher, enfin elle fini par lâcher et me donne un coup de pied qui me fait tomber à la renverse, lâchant par ce faite le fil.

Je me redresse, cherchant à me relever rapidement, mais en vient. Une nouvelle douleur vient s'ajouter à la première, cette fois si au niveau de la cheville. Par reflex je l'attrape de ma main droit, faisant ainsi comprendre à mon ennemie, involontairement, que le combat est pratiquement gagner. Je la regarde d'un regard méprisant et emplis de douleur. Elle est la debout et fière, ramassant lentement son arme et commençant à se déplacé tout aussi lentement sur le côté, me regardant chercher à me relever en m'aidant d'une poubelle près de l'endroit où j'ai chuté. Je me redresse du mieux que je peux et tente une dernière attaque plutôt désespérer, il faut l'avouer, qu'elle esquive sans mal en se décalant sur le côté avant de me frapper à l'arrière de la tête. Je suis à moitié conscient, lutant contre cette obscurité dans la quel je suis entrain de sombré. Je me laisse glisser la regardant au dessus de moi avec un grand sourire victorieux. Je sourie à mon tour la surprenant quelque peu, avant de tirer sur le fil encore dans ma main avec ce qui me reste de force. Son sourire s'estompe alors qu'elle sent celui ci se resserrer au tour de son coup. Elle ne semble pas avoir remarquer que pendant ma dernière attaque désespérer j'avais enrouler celui ci au tour de son fin coup. Mais il ne me reste pas suffisamment de force et je finie par sombrer dans l'obscurité juste après l'avoir vue tombé à genoux à mes côté, manquant à son tour d'air. Tout est fini...

Souvenir de Gabriel un soir d'été 2007

Un mois passé enfermer dans une cage au fauve. Il y a de quoi rendre fou n'importe qui. Il faut dire que je ne m'attendais pas le moins du monde à se que ma petite escapade d'il y a un mois ne finisse comme ça. Je ne pensais pas que cette personne que j'avais désigner comme proie était aussi puissante, à croire que je me suis attaqué à la mauvaise personne pour une fois. Mais es-ce une si mauvaise chose que cela ? Cette rencontre va changer encore une fois ma vie sans nul doute. Frau Blau...

Quand je me suis réveillais derrière ses barreaux froid, je n'ai pas vraiment compris se qui c'était passé, elle n'y est pas allez de main morte c'est le moins qu'on puisse dire. Trois côte cassé, une cheville fouler et une sacrée bosse à la tête, j'ai de la chance de m'en être sortie qu'avec ça je crois bien que j'aurais put y passé si elle l'avait voulu. Mais apparemment elle en avait décidé autrement, préférant m'enfermer comme un animal dans cette pièce sale et glacial. J'ai pus constater à mon réveille qu'on m'avait prodigué les premier soin, un pansement encerclant ma tête, de quoi tenir ma cheville pour qu'elle puisse se réparer petit à petit. Ma respiration va encore être douloureuse quelques jours, mais la douleur et beaucoup plus supportable qu'au début.

Au début je préférais resté en retrait de la grille, restant assis sans rien dire dans un des coin de la cellule, mais comme à chaque fois que je loupe ma cible l’envie de prendre une vie se refait sentir. Au bout de trois semaine d'enfermement je devenais fou, le moindre mouvement derrière mes barreaux était devenue une véritable torture. Je ne compte plus le nombres de vie que j'ai ôté de derrière mes barreau pendant la semaine qui a précédé ma libération. La moindre personne qui s'approcher suffisamment près des grilles ne ressortait jamais vivant de cette pièce. Un simple bout de tissus peut devenir une arme dans se genre d'endroit. L'odeur du sang flotté sans relâche dans cette salle sans la moindre fenêtre, me rendant toujours plus agressif, et elle ne c'était toujours pas représenter devant moi depuis notre premier face à face.

Elle a fini par venir, je l'ai beaucoup fait rire m'agitant comme un tigre en cage faisant des allez retour le long des barreaux tout en ne la quittant pas des yeux. C'est elle qui a fini par prendre la parole comprenant surement qu'aucun mot à ce moment là serrait sortie de ma bouche. Je l'ai écouter en silence acquiesçant juste de la tête pour lui faire comprendre que j'étais d'accord avec elle. L'homme qui gardais depuis peu ses geôle ouvrit alors la porte et se fut bien la dernière chose qu'il ferait de sa vie, je m'en suis assurer. J'avais accepter de ne pas m'en prendre à elle dès ma sortie, pas à lui.

Par la suite je l'ai suivit à travers les nombreux couloirs vide du lieu où je me trouvais jusqu’à son bureau. Pendant un long moment des paroles furent échanger, où plutôt elle tenait un monologue avec comme seul réponse des grognement et des mouvement de la tête de ma part, lui faisant comprendre que je comprenais et que j'approuvais la plus par du temps se qu'elle disais. J'ignore combien de temps nous sommes resté dans cette pièce, mais en sortant en plus de ma liberté je me retrouver avec en ma possession un arrangement tout à mon avantage. Un serviteur dévouer pour elle en échange de ma liberté et d'un travailles plutôt intéressant je dois dire. Éliminer des personnes pour le bien d'une organisation, me permettant ainsi de combler se manque qui me rongeait enfermé dans ma prison sombre, il faut croire que ces lui qui m'a poussé vers elle. Mon art contre la possibilité de retenter ma chance d'éliminer ma proie au temps de fois que je le désire ? Pour quoi pas, si c'est juste ça qui l'intéresse c'est un bon échange, encore plus si ça me donne l'opportunité d'un jours pouvoir enfin éliminer ma proie je suis près à lui accorder tous se qu'elle désire et a lui être loyale jusqu’à sa mort...

Extrait du journal de Gabriel, 5 Août 2007

Nouvelle ville, nouvelle vie 2009/2012
(de 24 à 28 ans)

Cela va faire un mois qu'elle a choisi de changer de lieu. Je n'ai pas vraiment perdu de temps pour me décider à la suivre là bas, et est réussi à me dégoter cette éden situer non loin de Londre. C'est un lieu calme, loin des activités de la capitale et des personnes trop curieuse. On peut dire que je suis tombé amoureux de se petit coin de paradis sur terre. Cela a était certes assez difficile de trouver un lieu où séjourner à mon goût, mais il faut croire que l'argent accumuler dans ses lieux de pure plaisir m'ont ouvert des porte jusqu'à lors inaccessibles et bien plus attirantes que mon pauvre appartement délabré de Berlin. Finalement c'est une bonne chose que ma cible est décidé de se déplacer, il va falloir que je retrouve mes marques mais l'endroit est plaisant.

La première de mes préoccupations a était de trouver un emplois, pouvant subvenir à mes besoin. Ça a peut-être était plus compliqué que de trouver un nouveau logis. J'ai étais pas mal contrarié à cause de cela, mais tout viens à qui sais attendre comme on dit. J'ai finalement fini par tombé sur un lieu familier, en visitant la ville pour prendre mes marques, le travaille y est bien plutôt bien payé et semble subvenir amplement à mes besoins, voir même les dépasser. La battisse ne passait pas vraiment discrète au milieu de cette rue sombre, et encore ce n'était que l'extérieur. Je m'attendais à voir un lieu richement décoré, vue le premier aperçu que j'avais eu, mais je ne m'attendait pas vraiment à ce que ce lieu soit aussi beau. Tous cela m'a parue même totalement démesure, mais je dois avouer que cela collé plutôt bien au service que proposait cette bâtisse. Tous dans la chaleur, que se soit l'ambiance que donnée la décoration intérieur ou les êtres qui semblaient pouvoir réchauffé n'importe quel âme venu se perde dans cette luxure. Je ne suis pas resté longtemps dans la pièce principale, après avoir demandé quelque informations au premier employé passé près de moi, on m'a guidé à travers les couloirs vers le gérant de ce lieu de débauche. L'entrevue fut plus courte que je le pensais, il n'opposa pas vraiment de refus à ma demande de rejoindre ses employés. Voila une bonne chose de faite.

Cette ville regorge de personne irrespectueuse, ils sont vraiment tous pareil, vivant dans leurs pêcher et ne se souciant que de leur petite personne. La police semble, ici aussi, ne pas vraiment savoir comment réagir à mon arrivé. J'ai entendu dire qu'ils avaient mis un jeune homme à la tête du groupe d’enquêteur qui s'occupe de mon affaire. Il paraitrait que se soit une personne très prometteuse. Si certaine personne de se métier grimpe les échelons aussi vite grâce à leur connaissance, lui semble que lui est mérité son poste pour de très bonne raison. Il serrait peut-être temps que je me présente à lui, peut-être serra t'il aussi intéressant que le commissaire Fehrenbach, si c'est le cas on risque de bien s'amuser touts les deux.

Extrait du journal de Gabriel, 2 Janvier 2009

Il semblerait que nos collègues de Berlin aient eu de bonne raison de ne pas avoir encore attraper ce malade. Il fait preuve d'une grande minutie et ne laisse pas la moindre preuve derrière lui, comme si ce que nous trouvons à quelqu’une de ses attaques ne soit qu'un cauchemar qui ne laisse qu'un bref souvenir en nous. Mais pourtant ce n'en ai pas un... Les cadavres s'entassent dans la morgue depuis qu'il semble s'être déplacé, comme si on en avait pas assez comme ça. D’ailleurs pendant deux semaine, il y a de cela deux mois, on a dénombré plus de quatorze victimes mortes du même mode opératoire, SON mode opératoire. Mais malgré le grand nombre de meurtres qu'il a effectuer, ici ses dernier temps, rien, pas même un cheveux pouvant nous permettre de l'identifier.

La semaine dernière un homme a appelé au commissariat pour me voir. De ce qu'il a put me dire il a réussit a survivre à l'Angelleine's Mörder. Mais voila que ce matin, six jours après son appel, on retrouve son corps ensanglanté dans une ruelle mal fréquenté de Londre. Aucun témoin, aucun indice trouvé par la scientifique, aucune information pouvant nous aiguiller dans une direction, juste un témoin en moins et une victime de plus a ajouté à cette liste déjà trop longue. Il faut vraiment avoir perdu toute notion d'humanité pour s'en prendre comme ça à d'autre humain, il faut être devenue un monstre sans cœur, ça ne peut-être autrement...

Voilà, mes idée ne son plus vraiment claire... Le profileur engager par mes supérieurs vient de m'envoyer son rapport. Voilà que les bêtes assoiffés de sang sont décrite par cette homme comme d'une très grande intelligence, il nous aurais traiter d'idiot incapable ça aurais surement était la même chose. Nous voilà a devoir éplucher encore une fois, et de façon encore plus poussé, les liens qu'entretenait les victimes.
Relire son rapport me donne l'impression que notre chère profileur est tout au temps en admiration sur lui que le publique qui suis avec attention ses actes. Comment peut-on admirer une personne aussi froide, qui ne semble pas faire de différence entre un homme, une femme ou même un enfant ? Son avant dernière victime à fait beaucoup parlé de lui, elle n'avait que quinze ans.

Dire que cet ange de la mort m'a envoyé ce matin une cassette audio juste parce que ça l'amuser, il ne s'en ai même pas cacher. C'est d’ailleurs lui qui nous a indiquer l'emplacement du dernier cadavre, notre ex-témoin. Il trouvait qu'on mettait trop de temps à le trouver et que "ça devenait moins amusant de jouer avec moi qu'avec Monsieur Fehrenbach". Un jeu... Voila se à quoi rime ses crimes pour lui ? Un simple jeu ? Il faut que cela cesse un tel jeu n'a pas sa place dans nos rue. J'ai envoyais la cassette à nos expert. Espérons que celle ci nous fasse avancer, contrairement au dernières. Il faut qu'on l'arrête...

Rapport du commissaire Karl Wolff, Samedi 14 Mars 2009, 01:36 am

Je suis là, au côté d'un corps inerte à la respiration accompagner par le son redondant des machine qui le surveille, au côté de moi même C'est étrange d'être là pouvoir tout entendre et tout voir comme si on était réveillé, alors qu'il n'en est rien... J'ignore depuis combien de temps je suis là, j'ai l'impression que ça fait une éternité. Mes souvenir son flou comme si mon esprit ne voulait pas se rappeler des évènement passé, du temps écouler et sur tout de la raison qui m'as conduit à être là. Mais je ne peut me voilait là face plus longtemps, je sais comment j'ai atterris ici bien que la raison m’échappe encore. Je connais la personne qui m'as pousser dans se coma, il est là toujours aussi beau, à mes côté immobiles et silencieux depuis son entré dans ma chambre blanche.

Il a toujours était très douer pour dissimuler son identité, j'ignore toujours qui il est vraiment, quel est son vrai nom, depuis Mai dernier où nos route se sont entre mêlées. L’ignorance m'est égale depuis le début malgré un brin de curiosité mais encore plus maintenant... Je n'en ai plus pour très longtemps. J'ai enfin découvert une partie de toi, amour, mais il aurais peut-être mieux valu que je l'ignore... L'Angelleine's Mörder n'est pas réputer pour laissé une de ses victime encore en vis derrière lui, et tu es là pour finir le travail que tu as commencer. Il faut croire que la connaissance n'est pas toujours une bonne chose, savoir que tu faisais partie des Blaue Hunde à était là premier de mes erreur, la deuxième à était de t'avoir trop aimé au point de me laisser passé mes sentiment envers toi avant mon travail. Toi tu n'as pas fait ses erreur et tu continue dans cette vois.

Je profite une dernière fois de te voir, car là où tu vas m'envoyer je ne pourrais plus profiter de cette vision angélique. Ton corps ne m'est déjà plus accessible, tu persiste à te renfermer dans ton mutisme, t'es lèvre si fine et si douce ne s'ouvre même pas une dernière fois avant mon départ. Tes yeux son différent aujourd'hui, il ne ressemble pas à ceux à qui j'ai eu affaire avant mon réveille ici, ni à ceux rieur et plain de malice que j'aimais contemplé. Douterais-tu, ressentirais-tu la même chose que moi ? Est-ce de la tristesse ou du doute ? Non. L'Angelleine's Mörder n'as pas plus de pitié envers ses victime que les membres des Blaue Hunde, voir même moins.

Malgré que tu sois là pour finir se que tu as commençais tu ne semble pas t'être décider à passé à l'acte. Les bruit provenant du couloir te dérangeraient-ils ? Craindrais-tu de te faire voir où même attraper ? Ou attend-tu juste le meilleur moment pour passer encore une dernière fois tes bras fin au tour de ma gorge et laisser derrière leurs passage le dernier fils de ma vie ? Il passera inaperçue avec la marque encore présente sur mon coups et je doute que les crie du cardiographe ne t'inquiète. Tu as sue entrer dans ma chambre sans te faire voir, j'en suis persuadé, et tu en sortira comme si tu n'étais jamais venue.

Tu t'avance enfin vers mon corps, ta décision est prise. Si je contrôlais mon corps mon souffle se serrais surement couper et la machine se serrait affoler coupant court à se dernier moment de rêve qui est le mien. Tu n'as jamais perdu ta grâce, même sur le point de tuer tu est toujours aussi magnifique. La mort est presque douce et enviable être tes mains qui manie de façon experte ses file de mort. Tu es si près que j'en aurais frisonner, mais c'est si étrange de te voir te pencher ainsi, je serrais presque jaloux de tes victimes passé et future si tu leurs offre un tel spectacle à chaque fois. Mais là fin et la tu a passer tes main dans mes cheveux les laissant glisser vers mon coup, là mort va bientôt venir frapper à ma porte, juste le temps pour toi d'un chaste baissé et pour moi de laissé glisser mon esprit loin au font de mon corps et de la vision de ma mort...

Vision d'un homme dans le coma, 9 Décembre 2009

Il ne manquait plus que ça. Me voilà devant la table basse de mon salon à ré-écouté en boucle cette cassette audio qui n'était pas là ce matin et qui a était placé par une personne bien connue : l'Angelleine's Mörder. Il manquer plus que ça pour achever ma journée... Des cadavre qui n'arrête pas de s'entasser dans la morgue depuis qu'il est là, au début du mois une de ses victime à survécu mais de justesse, depuis il est dans le coma et ne semble pas pouvoir nous révéler l’identité de son agresseur avant un moment, et voilà que le jours de noël ce tueur viens déposé en personne chez moi cette cassette de fin d'année. A quoi joue t'il ? Comme si ce n'était pas assez difficile comme ça.

Je ne comprend vraiment pas, on dirais qu'il se fiche totalement de se qui l'entour, tuant tout se qui bouge rien que pour son plaisir propre. Mais ça ne colle pas avec ses messages et tout particulièrement celui que j'ai trouvé aujourd'hui. Une personne sans sentiment et tuant sans prêter la moindre attention à ce qu'il tue ne prendrait pas la peine d'envoyer un message de meilleur vœux à une personne qui cherche comme moi de le mettre derrière les barreaux. Cet personne est vraiment cinglé et soulèvent de nombreuse questions. Comme la raison qui l'as poussait à ne pas encore avoir tenter d'éliminer cette homme à l'hôpital.

Cela fait un peu plus d'un mois qu'il est arriver à l'hôpital, après avoir était trouver inerte par une femme et depuis rien, il est rester dans le coma. Les médecins on dit que tout allez bien maintenant mais pourtant celui ci ne se réveille toujours pas. Le doute de son réveille commence à s’installer auprès du corps médicale et les chance de savoir quelque chose de lui sur cet assassin qui nous fait tourner en bourrique depuis tant de temps s’amincit de jours en jours. J'espère qu'il se réveillera vite et pourra nous donner au moins un indice pouvant nous mener à lui. J'ai fais le nécessaire quand j'ai appris que cet homme étais en vis pour qu'il soit surveiller nuit et jours. Il ne manquerait plus que l'Angelleine's Mörder élimine notre seul témoin encore en vie...

Le gouvernement ne serra pas aussi magnanime si nous perdons encore un témoin. Le juge charger de l'affaire a sut parfaitement me faire passé le message. Mais se témoin ne change rien au faite que les cadavres s'entasse. Après la découverte de notre seul témoin encore envie, ce fou a tué bien plus qu'a son habitude. On dirait qu'il a chercher a rattraper tout les meurtre qu'il n'avait pas commis depuis un moment. Ces cadavres était moins fréquent et maintenant il envahisse la morgue depuis un mois. Je me suis demander au début sil était pas entrain de perdre encore plus les pédales et j'ai espéré fortement que ça le mènerais à commettre une erreur, mais ça n'as pas était le cas. Je pense maintenant que cet accé de folie a un lien directe avec la personne encore envie. Il faut absolument réussir à en tirer quelque chose et savoir quel lien les liés et se qui lie chacun des cadavres qu'il nous envois régulièrement.

Pensaient de Karll Wolff, 25 Décembre 2009

Je savais bien que cette rencontre allait être prometteuse. Maintenant trois moi que je l'ai rencontré et il continu à me pardonné, il est le seul qui a bien voulu comprendre et accepter que je partage se fardeau avec lui. Il n'a pas était le premier à vouloir m'aider... Penser à lui me sert toujours le cœur, je ne comprend pas pourquoi je n'ai pas put se jours là, pas put allez jusqu’au bout... Ce père William à sentie mon malaise lors de notre dernière entre vue quand il a aborder se sujet. Il semble persuader que c'est une bonne chose que je l'ai laissé en vie, que c'est dieu qui m'aurais empêcher de le protéger, qu'il veut que je le protège autrement. Le protéger autrement ? Mais comment ? Je n'ai jamais trouvé d'autre moyen que celui ci. Et s'ils s'en prenaient encore à lui, que je doive encore une fois répéter cet scène du passé, y arriverai-je ? Le père semble persuader que je saurais faire le bon choix la prochaine fois avec l'aide de dieu, mais quel est se choix à faire ?

Il faut croir que dieu veuille me faire comprendre quelque chose, que cette homme, de l'autre côté, dans cette boîte en bois sombre soit le lien qui me lie à lui le messager de mes actes et de sa volonté. Si certain prétendent porté la parole de dieu sans être capable de reconnaitre en un de leurs confesseur comme l'une de ses mains sur terre, ils me font bien rire. Peu d'entre eux mériteraient le titre dont ils se nomment : "les envoyaient de dieu". Quel foutaise. Les seul le méritant si ont ceux qui arrive à voir au travers de cette parois de bois fine, qui nous sépare d'eux, le véritable visage qui se cache en nous. Père William peut tout à fait s’octroyer se titre, il le mérite pour ses parole et ses actes.

En parlant de mérite, il semble trouvé amusant, lui aussi, ce petit jeu au quel nous jouons avec ce jeu commissaire. C'est petit histoire de mon passage dans l'intimité de ce jeune homme et des réaction de celui ci ne le lasse pas, me demandant même plus ample détaille sur la chose. Le temps passe toujours très vite en parlant en sa compagnie. C'est une personne qui ne s'intéresse pas qu'à ma personnalité de "tueur", qui me laisse parler de mes actions divine sans me coupé la parole et aime tout au temps parler de tous et de rien. La vie de tous les jours est plaine de petite épopée digne des plus grand récit du passé.

Aujourd'hui je suis arrivé plus tôt que prévue à l'église. La surprise de se que j'y est vue et entendu est tout à fait digne elle de l'adjectif de divin. Jamais je n'avais assisté à un tel sermon. Je me ferrais surement une joie d'arrivé plus souvent en avance, je pense...

Extrait du journal de Gabriel, 28 Octobre 2010

Derrière l'écran

Surnom : Gaby
Fréquence de connexion : Je suis plutôt disponible donc je dirais tous les jours ou j'allume mon ordinateur, après ça veux pas dire que je répondrais tout de suite aux RP.
Découverte du forum : Par Cricri / Eli
Niveau de jeux de rôle : Je pense que je me débrouille pas trop mal, tant que la personne avec qui je fait un RP donne la possibilité d'agire. En gros que au delà de se que j'ai écrit qu'il y est plus que juste une phrase de la part de votre perso. ><"
Autre : Je fais pas mal de fautes d'orthographe malgré mon niveau de RP. Désolé par avance, je suis dyslexique et dysorthographique lourde. Ça veux pas dire que j'écris mal, juste les mots en faite...

Gaby-chaaaaaan !♥ *va tripoter Gaby*

*bave abondamment* Décidément j'adore ta fiche, je m'en passe plus. *V* C'est trop bieeeeen, il ne me manque plus que Line et chuis au paradis. =v=

Brefouille, je te valide tout de suite hein, bon boulot franchement. x] Et tu me réserves plein de RP torrides hein. *_* *sent qu'il va se faire frapper au retour d'Akira*